Skye Lance Nouveau en Alagaësia
Nombre de messages : 12 Age : 31 Date d'inscription : 25/10/2009
| Sujet: Skye Lance Dim 25 Oct - 19:52 | |
| -Nom et Prénom : -Age : -Race et camp : - Humaine, et indépendante, enfin, trop jeune pour avoir des opinions politiques.
-Description du personnage :Physique -
La jeune Lance n’est pas une jeune fille spécialement fine et élancée, et encore moins grande. En effet, Skye est plutôt petite, haute comme trois pomme même. Cette gamine de dix ans ne doit pas mesurer plus d’un mètre trente-trois. Sinon pas vraiment fine, mais pas grosse pour autant, cette silhouette témoigne du milieu noble dans lequel elle a longtemps vécu. Sa peau est d’une couleur péchée, légèrement bronzée, tandis que sa chevelure se trouve être d’une base brune, naturellement méchée de reflets limite roux, et de diverses nuances châtaines. Celle-ci lui arrive au dessous des omoplates, vers le milieu du dos même, tombant avec souplesse, souvent coiffée en deux couettes rehaussés, nouées par deux rubans jaunes pâles, ainsi que d’une frange en pointe lui tombant entre les deux yeux, partant parfois en mèche. Ses yeux encore assez rond comme pour la plus part des enfants, témoignent de son jeune âge. Ceux-ci se trouvent être d’un marron brillant, rayonnant même, mais pourtant si impénétrable malgré le jeune âge de Skye. Cependant, on peut détecter dans son regard, une légère once de malice, ainsi que dans son sourire. Pour ce qui est de sa manière de se vêtir, la jeune fille avait autrefois maintes et maintes robes, presque une pour chaque jours du mois. Cependant, ce-ci n’était pas vraiment d’elle, c’était plus une obligation qu’autre chose. Enfin, depuis sa fugue, la jeune fille se contente d’une simple robe rose, relativement simple, malgré sa forme légèrement originale et un fin liseré blanc autour de celle-ci, et en plein milieu de celle-ci, dans le sens vertical. Cette robe s’avère avoir des manches débutant après les épaules, et se finissant aux poignets par des revers violets. Enfin, celle-ci se trouve surmontée d’un plastron blanc et violet, formant comme un papillon tribal, et de quatre boutons sur l’avant. Sinon, la gamine porte souvent de longues chaussettes blanches, commençant quelques centimètres après là où se fini sa tunique, vers le milieu des cuisses, elles aussi, avec quelques ornements violets. Enfin, ses chaussures sont des sortes de sabots confortables et résistants, un peu conçus comme les chaussures de chevaliers. Enfin, cette gamine ne perd pas de temps avec des accessoires inutiles, tels que des broches, colliers, bracelets ou bagues. Elle ne se dote seulement d’une cape, une paire de gants, et de sa plus vieille peluche qui l’accompagne dans touts ses voyages.
Caractère Skye n’est rien d’autre qu’une gamine capricieuse, pleurnicharde, irresponsable, mais surtout insupportable. En effet, elle est du genre enfant pourrie gâtée depuis sa plus tendre enfance, et il y aurait peu de chance pour qu’elle devienne un ange du jour au lendemain. Elle a tendance à effectuer ses caprices en publiques, ne pas mesurer ce qu’elle dit, et être impossible à vivre. Mais ça n’a pas toujours était le cas. En effet, au début, elle était d’une nature sage, adorable même. Aidante et altruiste, elle avait certaine tendances généreuses, passive, calme, voir même attentionnée envers les autres, dépourvue de toutes notions de profit. Seulement, la bourgeoisie lui ayant sortie par les yeux, et vivant toujours dans ce même milieu malsain pour elle, elle est devenue comme eux, hypocrite et franche à la fois. Usant de bonnes manières en publiques, traitant les autres comme des moins que rien. Ne pensant plus qu’à elle. Etant égoïste. Égocentrique. Une autre. Mais depuis sa fugue, tout à changer. Elle redevient elle-même, avec le côté de l’enfance qui resurgit. D’où cet air gamin et capricieux qu’elle n’a jamais put extérioriser. Il suffit seulement de percer sa carapace, et tout est là. En effet, une fois cette bulle éclatée, c’est une adorable gamine qui fait son apparition. De plus, du fait de son jeune âge, son côté ingénu, ignorant, rêveur et utopique domine chez elle, faisant confiance aux autre avec un peu trop de facilité malgré une pseudo détermination au premier abord. Elle est plutôt fidèle en amitié, croyant que le monde pourrait encore être beau. Sinon, elle a tendance à vite s’attacher aux gens, sans pour autant le montrer, et, plutôt peureuse, elle n’en reste pas moins un aimant à malchance. -Histoire : ------------------------------------------------------------------------------- Chapitre 0 : La naissance d'une héritière ------------------------------------------------------------------------------- C’était un début de printemps, comme tout les autres, en Mars même, il devait être dix neuf heures, vers le couché du soleil, une femme, pas plus âgée que la trentaine, voir la vingtaine, était allongée sur son lit, criant de douleur, comme si un couteau lui transperçait le ventre, les jambes, son corps en entier. Son mari n’était pas là, comme touts les soirs. Il travaillait bien trop tard pour ça. Ou bien allait-il voir des femmes danser à moitié nue pour quelques pièces. Peut-être était-il en train d’en mettre une autre dans la même situation que celle-ci. Peut importe, il ratait ainsi la naissance de sa fille. Ce ne fut que quelques heures plus tard, quand les ténèbres recouvraient les environs, que seule la cheminée illuminaient la pièce, ainsi que quelques bougies, que le nouveau père poussa la porte d’entrée, en même temps que le médecin sortait de la chambre de madame. Le docteur pria l’homme de rejoindre son officielle compagne. Et, c’est en pénétrant dans la pièce, si chaude, si chaleureuse, qu’il lâcha son manteau et son chapeau, qu’il comprit qu’en ce jour, sa vie avait changé. Il découvrait un nouveau visage dans les bras de sa femme, celui d’une petite fille, le crâne presque dégarnis, seulement recouverts de quelques mèches brunes, comme celles qu’il possédait en train de blanchir, ainsi que des yeux bruns, comme ceux de sa mère. Des yeux bruns impénétrables, comme des miroirs. C’est ainsi qu’est née la seule héritière de la famille Lanceant. Malgré le fait que le chef de famille eut longtemps désiré avoir un fils, il ne put s’empêcher d’être heureux de la naissance de cet enfant. Lui, qui pourtant si aigri par la vie, se remettait à sourire, tandis que la jeune femme perdait espoir. Elle pensait avoir gâchée sa vie, pensait ne plus pouvoir en profiter, et elle se mit à haïr d’avantage cet homme coupable de son malheur, et à détester cet enfant, pourtant conçut à partir de son sang, d’une de ses nuits de passion. Dès sa naissance, Skye, de son nom complet Skye Laura Guenièvre Lanceant Marial, se vit doté d’une vie de tout plaisir. Vivant dans la luxure, dans une famille aisée. Elle apprenait le piano et le violon dès ses trois ans. Se cultivait des légendes locales, apprenait les sciences, le chant, la danse, et l’art d’être une bonne épouse. Mais tout n’était qu’une apparence. Tout comme le reste de ce milieu. En effet, elle avait beau apparaître souriante sur les portraits peints de sa mère, son père est elle, il n’en restait pas moins que sa vie de famille était cauchemardesque. Son père, qu’elle aimait pourtant, n’était que très peu à la maison, et donc auprès d’elle, tandis que sa mère la traitée comme une bonne, une esclave, en l’absence de son époux. Il lui arrivait de la battre, de la bruler avec les instruments de la cheminée, mais la gamine continuait de se taire auprès de son paternel. Souriant toujours sur chaque portraits, commençant de plus en plus à cacher son vrai sois pour devenir comme les autres fréquentations. Pour devenir une enveloppe belle en extérieur, peu importait le contenue de la missive.
------------------------------------------------------------------------------- Chapitre 1 : La vérité éclate ------------------------------------------------------------------------------- Ce devait être en décembre. Non, en janvier. La nouvelle année venait de débutée, les coupes de champagnes étaient à peine rangées, et pourtant, le froid ne se dissipait pas. Parfois Skye apercevait même quelques flocons au travers des vitres de sa chambre, pleines de buées sur lesquelles elle aimait dessinée. C’était un jour comme un autre. Si ce n’est que son père ne travaillait pas aujourd’hui. Il était en bas, avec quelques convives. Il était tard, et plus un chat ne miauler dans la rue. Seuls restaient quelques mendiants, loin de ces maisons si belles. Skye était sensée dormir à cette heure, mais elle s’amusait, à la lumière d’une bougie presque totalement consumée, à souffler sur ses vitres. Observant les pavés sur le sol sur l’allée, puis ouvrant son livre de contes préférés, feuilletant chaque page sans pour autant comprendre toutes les phrases. Elle ne voulait pas s’endormir. Si elle dormait, elle se réveillerait seule, dans son lit, et au petit matin, son père serait de nouveau partit, travailler, comme tout les jours. Alors, une fois son livre refermé, pour garder un peu plus de son père auprès d’elle, elle s’allongea sur le sol, posa son oreille contre le parquet et écouta la voix de son protecteur. Un fin sourire se dessinait sur les lèvres de la jeune fille. Mais aujourd’hui était différent. Les convives partirent, puis, au lien de faire grincer les marches de l’escalier en les montant unes à unes, le couple se mit à discuter. Alors intéressée, la gamine de presque six ans écouta attentivement. Au début, ils se posaient des questions, répondant par une autre, puis ce fut au tour de phrases de mépris, d’insultes et de jurons de faire leurs arrivée. Des bruits de porcelaine brisée se firent entendre. Ce n’était plus une discussion, mais une dispute. La jeune femme pleurait en hurlant, tandis que le vieil homme haussait de plus en plus la voix en frappant la table du poing. Puis ce furent des mots véridiques, transperçant. Quelques minutes, quelques secondes de cet orage, qui pulvérisèrent le cœur de la gamine. Des mots qui la blessèrent au plus profond d’elle. « Un jour tu m’as mise enceinte. Tu as gâchée ma vie. Tu es un monstre. Je te méprise. Toi et ta fille. Vous êtes les même. Quand je regarde son air niais, ses légères bouclettes, je ne vois que toi. Je te hais. Tu as gâché ma vie. Elle est comme toi, elle a gâché ma vie. Je la hais, je la méprise. Avant, je m’étais éprise de toi. Je t’aimais. Tu m’as promis un enfant, et dès que mon corps à commencer à changer, tu es allé voir à gauche et à droite. Tu ne m’as jamais plus regardé de la même façon. Puis elle est venue au monde, la fille que j’avais un jour désirée. Mais tout l’amour que tu pouvais donner, c’était pour elle. Plus pour moi…. ! Quand est-ce que tu m’as touché pour la dernière fois ? Quand est-ce que tu m’as embrassé pour la dernière fois ? Quand est-ce que tu m’as dis ‘je t’aime’ pour la dernière fois ?! Quand ?!! Répond ! Ca dois fais cinq ou six ans. Tu te rends compte ?! Je t’aimais avant. Maintenant, je te hais. Je ne pars pas que dans l’espoir que tu crève, avec celle pour qui tu décrocherais la lune, et que tu me laisse ta fortune, que je refasse ma vie… ! Je vous hais tout les deux ! Je vous méprise tant… ! » A ces mots, tout s’arrêta. Le temps comme les hurlements. L’enfant se mit à pleurer, serrant son cœur, s’enfouissant sous la couette, alors que les marches grincèrent, la porte de la chambre conjugale claqua. Skye retint alors ses larmes, voyant la poignée de sa porte tournée peu à peu, et simula un somme crédible, un léger sourire aux lèvres, une respiration presque calme. La jeune mère s’agenouilla auprès du lit, et, dans un premier acte d’amour désintéressé depuis six ans déjà, elle caressa les cheveux de sa fille, écartant ceux-ci du front de l’ingénue et y déposant un baisé, prononçant une petite phrase, en pleurant sur le visage de l’enfant. « J’aurais voulut t’aimer comme une mère aime sa fille. Dans une autre vie peut-être trouverais-je le moyen de me faire pardonner. » A ces mots, elle se releva, et partit juste avant que Skye n’éclate en sanglot, sous ses couvertures…
------------------------------------------------------------------------------- Chapitre 2 : La perte d'un être cher ------------------------------------------------------------------------------- Le temps passa, c’était l’été, et pas une nuit ne s’était passé sans que la petite ne soit hantée par les paroles de sa mère cette fameuse nuit d’hiver. La gamine c’était peu à peu refermée sur elle-même, ne laissant aucune personne s’approchée d’elle. Elle ne se regardait dans un miroir que lorsqu’elle le devait, pour être ‘présentable’ au monde extérieur, et ainsi jouer la comédie. Mais en cette journée sèche où la jeune enfant ne devait que parader dans la rue, acheter quelques fleurs pour la décoration du salon, un mal être la saisit alors. Il n’était que huit heures, mais la maison semblait en deuil. Et c’était bel et bien le cas. La mère de Skye poussa la porte de la chambre de sa fille avant de lui annoncer, avec ce regard imperturbable, seulement ce sanglot dans la voix, presque étouffé pour être renié : « Ton père est mort. Il ne reste que toi et moi. » Ainsi, la vie de la jeune Lanceant était destinée à devenir un enfer. A se faire battre à longueur de journée, sans plus aucun contactes humains. Les seules personnes qu’elle croisait étaient parfois le boulanger ou le fleuriste, dont elle demandait d’un air vide une ou deux marchandise. Puis il y avait aussi la nourrisse, qui, chaque jours lui obligeait à mettre une robe différente, à se coiffé différemment. A être belle quoi qu’il arrive. C’était ça, se refermer sur soi-même. Une dépression avant même d’en avoir l’âge. Avant même que sa vie n’est commencée. La vie était dure, mais par cette absence d’émotion, la gamine refusait de voir la réalité. Pour elle, la vie pouvait encore être belle. Tout les soirs, depuis la mort de son père, Skye se réfugiait tôt dans la chambre. Au début, elle pleurait. Au bout d’un mois, elle se contentait de feuilleter son livre d’image en serrant son doudou de toutes ses forces. C’était une peluche que lui avait offerte son père, lors de ses trois ans. Les fils couturent commençaient à se découdre, et les boutons à se détacher, alors, quand il le fallait, pendant ses leçons de couture, elle remettait à neuf le seul souvenir de son père, dont l’image commençait peu à peu à s’estomper dans sa mémoire.
------------------------------------------------------------------------------- Chapitre 3 : Rencontre et décisions ------------------------------------------------------------------------------- Elle devait avoir huit ans, peut-être même neuf, la petiote, et la vie ne lui avait toujours pas arraché de sourire. Alors un jour, elle décida de partir en foret, l’espace d’une journée. S’éloignait de sa mère, quelques heures, quelques minutes, quelques instants seulement. Et, c’est ainsi, que tout une après midi dans la semaine, la petite fille fuyait, seulement accompagnée de son jouet. Elle retrouvait peu à peu le sourire, bien qu’en restant asociale. Sa vie pouvait redémarrée là où elle s’était arrêtée quelques années plus tôt. Puis un jour, dans son coin habituel, elle trouva un homme blessé, recroquevillé sur lui-même, à moitié caché dans un buisson. A la vue de l’enfant, l’homme essaya de se cacher un peu plus, tandis qu’elle, s’approchant d’un pas hésitant, ne savant plus parler aux gens, avant de s’accroupir devant lui. Elle écarta un peu le feuillage, pour observer cet homme. Il n’était pas très grand, quelques égratignures sur le visage, et des yeux d’un bleu profond, dans lesquels on croirait s’y noyait. A la vue de ces saphirs purs, la jeune fille voulut, pour la première fois depuis des mois, aidé quelqu’un. Alors elle se leva et alla s’asseoir à côté de lui, regardant de par et d’autre que personne ne l’observait. Alors qu’il lui demandait à maintes reprises pourquoi elle faisait ça, elle se contentait de sourire d’un air simplet et innocent. Le bras droit de l’homme était transpercé par une flèche, ce devait être sa plus grave blessure, et, bien que non mortelle, présente tout de même. Alors Skye déchira une partie de sa robe. Elle avait lut ça dans les livres. Elle fit alors un garrot à l’homme et brisa le projectile avec quelques difficultés avant de tiré doucement dessus, ne réussissant pas pour autant à la retirée. C’est ainsi que l’enfant soupira, baissant les yeux, et que l’homme, lui, ouvrit la bouche, légèrement enjoué. « Ma petite, tu es bien gentille. Tu m’as beaucoup aidé. Je ne suis qu’un simple voyageur, je n’ai rien à te proposer, si ce n’est peut-être un repas dans une auberge. Accepterais-tu, ce soir ? » Timide mais pourtant démangée par l’idée de dire oui, la jeune fille simula une hésitation, avant de sourire gaiment et d’hocher la tête. Heureux, les deux personnes parlèrent durant toutes l’après midi, puis se dirigèrent vers la ville, s’arrêtant à une auberge. Le voyageur commanda deux pot-au-feu bien complets, suivit d’un bouillon de viande. La jeune fille, au début hésitante, pris sa fourchette comme on lui avait apprit, regardant autour d’elle, et mangeant avec un air je-m’en-foutiste total, alors, l’homme rigola et lui dit dans un éclat de rire qu’ici, elle n’était pas obligée de faire de bonnes manières. Alors, comme affamée par tout ses repas vide de sens depuis le début de sa vie, elle se jeta sur la viande avec voracité, dégusta comme jamais. Ce spectacle dura près d’une heure. Après quoi, elle rentra chez elle, une fois la nuit à peine tombée, disant au revoir à cet inconnu. Une fois rentrée chez elle, juste la porte poussée, elle perdit ce sourire naturel. Redevant morne et inexpressive, serrant sa peluche contre elle, puis la déposant sur l’un des fauteuils près de la cheminée d’où les ombres du feu dansaient sur le mur. Elle s’assit à table, en même temps que sa mère, et un long repas, vide de paroles, vide d’amour, se déroula. Il était encore plus de que les précédant, et la jeune fille se contentait de trempé du pain du bout de sa fourchette, dans son potager de légume, regardant en face d’elle, sans ne voir plus que la silhouette d’une inconnue qui l’avait mise au monde. Le soir-même, au moment de se mettre au lit, la jeune fille réfléchit, et décida qu’elle aussi, voulait une vie pleine de dangers et de rire. Elle décida qu’elle aussi, voulait avoir une vie qui lui plait. Elle décida qu’elle fuirait d’ici, le plus tôt possible.
------------------------------------------------------------------------------- Chapitre 4 : Le départ d'une nouvelle vie ------------------------------------------------------------------------------- Quelques mois plus tard, après avoir revendu quelques bijoux, volé à sa mère quelques pièces d’or, la jeune fille prépara un sac de voyage, composé de quelques rechanges, de son livre de légendes préféré, et de sa peluches. Ainsi, elle se relevât de son lit, et, sur la pointe des pieds, vers minuit, la gamine à peine âgée d’une décennie, descendit les escaliers et poussât la porte d’entrée, laissant un dernier moment de nostalgie l’emparée. C’était fini, la vie de palais. Aujourd’hui, une vie de misère et de suspens allait démarrée pour elle. S’enfuyant alors, courant aux travers des rues, la jeune fille commença à s’égarée peu à peu, tantôt dans une forêt, tantôt dans une ville. Dans des plaines et des clairières aussi. Elle était perdue, commençant à vivre de rien, à se la jouée à la dure. Même si elle était sans défense, elle poursuivait son but d’aventure, à peine munie d’un coutelas, de son sac et de sa peluche, et c’est ainsi qu’elle raccourcit son nom en Skye Lance. -Description de ses pouvoirs : Skye détient le pouvoir de la lumière. En effet, celle-ci peut la modelée et la créée. Mais ne vous faites pas d’illusion, ce pouvoir a beau être spectaculaire énoncé de cette manière, la gamine, à son âge, et par son manques de sang froid et de concentration, n’arrive qu’à créer des flashs lumineux sous l’effet de la panique. Bien sûr, un apprentissage pourrait l’aider, mais à ce stade, elle ignore même le fait que c’est éclats brillant viennent d’elle. -Description des armes : Actuellement, la jeune Lance n’utilise pas réellement d’arme, si ce n’est un petit couteau, pour couper du bois, faire fuir quelques animaux, couper sa viande. Celui-ci appartenait à son père, se repliant sur lui-même et se dégainant facilement, il est l’arme idéale pour la jeune fille. Le manche de celui-ci mesure dans les cinq-sept centimètres, tandis que la lame est un peu plus longue. On peut voir sur celle-ci, une gravure noire avec écrit Jacke, le prénom de son père, et une plume, de phœnix surement. Le manche, lui est simple, en bois sculpté, ainsi qu’en métal sur certaines partie pour une bonne prise en main, le pommeau, lui est seulement composé d’une pierre noire, peut-être précieuse, peut-être pas. Cependant, l’arme de prédilection de Skye serait surement la Lance. En effet, plutôt habile, il lui ai arrivée à l’âge de neuf ans de jouer dans la salle d’arme de son père, et c’était avec cette arme relativement légère bien que grande qu’elle se sentait le plus à l’aise. -Autre : ✖- Je suis actuellement chez Yuris, d'où l'IP identique.
- Spoiler:
✖- Du groupe sanguin AB ✖- Elle est ambidextre ✖- Elle a étudier pendant six ans le piano et violon ✖- Elle sais bien cuisiner surtout pour son âge. Particulièrement les viennoiseries et desserts. ✖- Jacke Lanceant, était âgé de cinquante-deux ans quand il devint père, et son épouse, Maire-Laura Martial de vingt-trois ans. Skye fut la seule enfant de ce mariage. ✖- Son animal favori est le renard, sa fleur le lys, et ses couleurs préférées sont le blanc et le rose. ✖- Elle méprise la noblesse et aime l'aventure. ✖- Elle ne quitte jamais son doudou, le couteau de son père, et essaye de garder en constance son sourire d'enfant rêveur. ✖- Je peux mettre plus de détail, sur sa vie passée, sa famille, et compagnie. Je le ferais surement d'ailleurs. >.<
Dernière édition par Skye Lance le Lun 2 Nov - 13:43, édité 13 fois | |
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