Fiche de Syriane

-Nom et Prénom :
Syriane Demester.

-Age :
80 années elfiques. 20 années humaines.

-Race et camp :
Elfe indépendante.

-Description du personnage :

Physique
Je suis de taille moyenne, et je déteste avoir affaire à plus grand que moi. Depuis toute petite, mes cheveux sont longs, noirs et légers. Quand le soleil se fait dur sur les terres d’Alagaësia, ils prennent des reflets roux. Mes yeux, qui sont ce que je préfère dans mon physique, sont d’un bleu éclatant. Ils deviennent parfois bleus nuits quand je suis de mauvaise humeur ou tout simplement parce que je n’ai pas envie qu’on m’approche ... Mes parents m’ont dis que mes yeux n’ont pas toujours été ainsi, mais je n’ai pas souvenir qu’ils aient été différents ... Bref, passons au reste de ma personne. Quand j’étais un peu plus jeune, je détestais les armes ; j’ai refusé la formation que suivaient tous ceux de mon âge (J’avais déjà un caractère bien trempé ...) et je suis restée longtemps une petite fille gracile et surtout ... Fragile. Comme cette situation m’ennuyait et que je n’avais nulle envie d’avouer ma honte d’être différente des autres, je m’entrainais longtemps par de simples figures observées chez les adultes. J’acquis, au fil du temps, une maîtrise étonnante de mon corps ... Autrement dit, je figure parmi les elfes les plus agiles de la nation. Brillant, non ? Je ne suis pas très musclée, mais mon habilité est surhumaine ~ c’est le mot puisque je suis une elfe. Et je m’habille ... Comme une elfe. Allez, sur ce coup-là je précise vaguement : j’ai un faible pour les robes de tissu elfique quand je suis dans mon pays, et sur les routes je porte une simple tunique et une jupe en laine. Il est même courant que je sois vêtue comme une humaine, ce qui surprend ceux de mon peuple.
Caractère
Je deviens vite effrayante. C’est une façon de parler ; au quotidien, je suis quelqu’un de calme, de doux et de posé. Mais, comment dire ... Il ne faut pas me marcher sur les pieds. Je sais depuis longtemps qu’on me considère comme l’elfe la plus susceptible du pays. Mes proches y sont habitués, mes parents l’ont d’ailleurs accepté depuis longtemps ~ heureusement parce que je ne suis pas un cadeau tous les jours. Même si je me fiche assez des intérêts des elfes dans la guerre contre l’Empire, il n’est pas rare que je me joigne au camp des Vardens dans le seul but de satisfaire mon caractère rebelle. Je reste cependant une véritable indépendante ; la solitude ne m’a jamais fais peur, bien au contraire, et pour sauvegarder ma tranquillité je n’hésite pas à faire marcher ma langue de vipère.


-Votre passé :

~

-Description de ses pouvoirs :

Il est évident que je parle l’ancien langage, et ce sans la moindre difficulté. Eka weohnata néiat haina ono ! (vous avez de la chance qu’on ne puisse pas mentir en ancien langage). Bref, je maîtrise aussi de nombreux sorts, plus ou moins puissants, dont la plupart de ceux de base. Mon domaine préféré est le feu, j’en ais donc profité pendant ma courte formation pour me perfectionner dans cette matière : je connais de nombreux sorts, parfois très puissants, qui ont recours au feu.

-Description des armes :

Comme je l’ai déjà dis, je maîtrise à la perfection la dague que mon père m’a forgé. Elle est de longueur moyenne, sa lame prend des reflets blancs au soleil, et une paire d’ailes est sculptée sur la garde ~ l’un de mes caprices en l’honneur de Soudaine. Je me débrouille aussi très bien à l’épée, comme j’ai reçu une formation complète. Mais mon petit gabarit m’empêche de bien utiliser des armes comme les épées longues et les haches. Je ne porte sur moi que ma dague, et parfois une courte épée si le cœur y est ~ je déteste qu’on sache que je suis dangereuse (c’est moins marrant).

-Son passé :

C’est une assez longue histoire, vous êtes sûrs de vouloir l’entendre ? Oui, je sais, vous aimez bien les longues histoires, c’est la réplique habituelle ... Mais bon, au final, je n’ai pas tellement le choix, il va falloir que je vous raconte ma vie. Pour commencer, je suis le plus simplement du monde née à Farthen Dür il y’a près de 80 ans, à la mi-automne. Ma mère, Souane, était dragonnière. Je dis ‘était’ parce que, c’est évident, son dragon a été tué par les parjures. J’avoue que quand je vous raconte ça ma voix n’est pas dénuée de colère. Mais bon, on ne peut revenir sur le passé ? Bref, elle m’a souvent parlé de son dragon, de ses péripéties, et puis un petit peu de son chagrin quand son partenaire est mort. C’est comme ça qu’elle a connu mon père. Elle était entrée à Farthen Dür pour broyer du noir bien à l’abri chez les rebelles. Mon père était un combattant, un peu comme elle. Quand ils se sont rencontrés il est tout de suite tombé amoureux d’elle, et vous connaissez la suite. C’est un peu mon père qui a guérit ma mère de son malheur ... Mais ceci est une autre histoire, non ? Donc, je grandissais à Farthen Dür, miracle parmi les miracles. Vous ne comprenez pas pourquoi ? C’est pourtant simple. Les naissances chez les elfes sont déjà relativement rares. Imaginez maintenant qu’un elfe naisse dans la ville la mieux protégée du continent, qui plus est dans un territoire n’appartenant pas du tout aux elfes ! J’étais une perle, un petit trésor qu’on regardait passer avec émerveillement dans les couloirs de la cité, alors que la seule chose sortant de l’ordinaire dans mon physique était mes yeux qui à cette époque avaient la couleur du ciel ... Passons, j’eus une enfance des plus heureuse, c'est-à-dire que je passais mes 15 premières années chez les Vardens. Les humains qui m’entouraient étaient surpris par la lenteur à laquelle je grandissais. Le pays étant de moins en moins sûr, mes parents décidèrent de rentrer au Du Weldenvarden. Mon intégration au sein de mon propre peuple fut un véritable fiasco. Rares étaient les enfants de mon âge ; j’étais l’une des seules de ma génération. Toutefois, après quelques années d’adaptation pendant lesquelles je m’appliquais à être associable avec les autres, je fis la connaissance d’Ariana. Aussi chétive que moi, elle se brisait au moindre mot blessant alors que mon cœur était déjà aussi solide que le roc. Sachant qu’il y avait là une occasion rare de me faire une amie, je pris garde à surveiller mes paroles en sa présence. Sans même m’en rendre compte, je la protégeais des elfes plus âgés, car ceux-ci me fuyaient comme la peste. Nous devînmes pareilles à des sœurs, et aujourd’hui mon plus grand regret est que mes deux amies les plus proches ne puissent se connaître ; Asaïra aurait sûrement beaucoup rit devant la gentillesse d’Ariana, mais elle l’aurait très vite accepté. Allez savoir, peut-être se rencontreront-elles un jour ... Le monde est petit, ne dit-on pas ? Bref, revenons à nos moutons. Je passais, en comptant ma petite enfance, les 78 années les plus belles de ma vie. Alors apparut Soudaine. Eum, comment dire, je n’ai pas tellement envie de tout vous raconter ... À vrai dire, mes souvenirs la concernant sont on ne peut plus flous, y comprise sa naissance. Elle était blanche, elle était douce et ... Elle n’était pas normale. Son nom entier était Slytha Nadhis. C’était un être ni dragon, ni cheval. Un cheval aux ailes plumeuses, pareil aux animaux des contes qu’on me lisait dans mon enfance. Sauf que Soudaine était réelle. Je me rappelle qu’elle eut la même croissance qu’un dragon, et qu’elle se mit de même à voler un beau matin. Son apparition me fit gagner 120% de puissance supplémentaire dans le domaine magique. Tout se passait comme si j’étais devenue dragonnière ... Sauf qu’il n’en était rien. Soudaine n’était pas une dragonne. Et ça, tous ceux qui la connurent le comprirent et la rejetèrent dès lors. Peu de gens apprirent son existence, d’ailleurs. Mes parents, la reine et quelques personnes hautes placées ... À vrai dire, je suis issue d’une famille plutôt réputée. Ma mère est une des amies les plus proches de la reine, de part son ancien statut de dragonnière, et mon père a été armurier de la couronnes il y’a des lustres, avant même de combattre aux cotés des Vardens. Bref, quoi qu’on en dise, je ne suis pas une elfe ordinaire ... Et ce avant même que je ne trouve l’œuf de Soudaine. Au fait, vous savez pourquoi tout le monde l’appelle ainsi ? Parce que les gens sont persuadés qu’un dragon est le parfait miroir de son dragonnier. Or il est de notoriété publique que je ne suis pas du genre ‘prévisible’ ... Slytha fut donc surnommée Soudaine en mon honneur. Je trouvais rapidement ça hypocrite, mais ma nouvelle compagne détestait se dresser contre l’opinion publique. Elle n’avait pas du tout le même tempérament que moi, et par respect pour elle j’acceptais de continuer de l’appeler Soudaine, ce qui devint naturel entre nous. J’étais sa ‘petite sœur’ – au passage j’ai une trentaine d’années de plus qu’elle, mais allez savoir, si c’était une dragonne à l’origine elle peut avoir des milliers d’années de plus que moi ... – et elle était juste ‘Soudaine’ pour moi. Nous vécûmes près d’une année complètement coupées du reste de la nation. Visiblement, la reine ne tenait pas à ce que le monde découvre notre existence. Slytha n’en était pas vraiment gênée, alors que ma fierté en prit un coup. Bon, d’accord, je suis du genre à m’offenser facilement, mais avouez que dans une telle situation j’avais raison de m’échauffer ... Je fuguais donc, tout simplement. C’était un plan d’une simplicité presque louche, pourtant cela marcha sans problèmes. Les elfes caractérielles sont rares, c’est pourquoi leurs compères s’en méfient ; je ne pense pas que quelqu’un au tempérament moins rebelle que moi aurait eut l’audace de désobéir à la reine aussi ouvertement. Elle se prenait pour qui, celle-là ? Je n’avais que 79 ans que déjà on m’enfermait dans mon arbre maison avec un être magique qui n’était même pas un vrai dragon ! ... Non, je raconte n’importe quoi. J’aime Soudaine plus que tout. Enfin, j’aimais. Revenons-en à ma fuite, si vous voulez bien. À mon âge, il n’est jamais bien difficile d’échapper à la surveillance parentale. Et plus encore à celle d’une reine qui ne serait jamais venue vérifier ma présence chez les miens. J’avoue que ma mère m’aida un peu, comprenant ma réaction. Ma mère m’a toujours compris, d’ailleurs ; dans notre intimité, il lui est déjà arrivé de raconter sa jeunesse et toutes les folies qu’elle a vécu auprès des humains. Une fois elle m’a même dis qu’elle avait faillis épouser un de ces curieux êtres ... Bref, cela en était déjà trop pour mon cœur avide de liberté et d’expériences nouvelles. Je ne sais pas si c’est à cause de mon tempérament, mais je me suis rendue compte il y a peu que j’attends de la vie beaucoup plus de choses que les autres elfes de mon âge. Même les adultes me paressent ennuyeux, comme perclus dans leur vieille sagesse sans lendemain ... Stop, il ne faut pas que je critique mon peuple. Je suis une elfe, pas de doutes là-dessus ; la sagesse viendra plus tard, comme disent les humains. Quitte à avoir le cœur d’une humaine, autant en avoir aussi la vie. Je prenais donc les routes, suivie de ma compagne, et nous arpentâmes le pays pendant plusieurs mois, ville après ville, rencontre après rencontre. La liste des noms est bien trop longue, et je ne préfère pas risquer de mettre en danger mes amis rebelles ... Quoique, je ne rencontrais pas que des ennemis de l’Empire, et il m’arriva même bien des misères. Je passerai les détails de ce fabuleux voyage par et par delà l’Alagaësia. Mon seul regret est de ne pas m’être rendue sur les lointaines îles de Vroengard. J’en aurai sûrement l’occasion plus tard – à quoi bon être immortelle si l’on ne fait rien de son existence ? Bref, je me trouvais à ma deuxième année de vie commune avec Soudaine, en comptant notre année de réclusion, quand je décidais de rejoindre mon pays natal ; les Montagnes de Béors. C’était évident, inévitable même. Qui plus est, par les temps qui couraient, on allait sûrement avoir besoin de mon habilité dans les rangs des Vardens ... Mais je n’eus pas l’accueil que j’espérais. Certains humains se souvinrent de moi enfant, ce fut ce qui me sauva ; les Vardens furent choqués de me voir en compagnie d’un être ni cheval ni dragon. Ce fut pratiquement le même topo qu’au Du Weldenvarden. Même si les quelques habitants de Farthen Dür qui l’avaient rencontré trouvaient Soudaine merveilleuse, la reine considéra qu’il était plus sûr de la séparer de la population. Cette fois, je me trouvais seule, séparée de ma moitié. Les Vardens ne pouvaient se permettre de refuser l’aide incommensurable que leur apporteraient mes pouvoirs et ceux de Slytha. On la garda cependant en lieu sûr, loin des yeux de la populace. J’étais acceptée à la table de la reine et assistait aux plus grandes réunions, mais je ne pouvais voir ma compagne qu’une fois par jour. En vérité, je me demande encore comme je pus accepter une telle situation ... Peut-être m’imaginais-je qu’au fil du temps les Vardens nous accepteraient telles que nous étions, aussi étrange que fut Soudaine ? Toujours est-il qu’en dehors de ces longues journées de solitude, nous partions régulièrement en mission avec une poignée de soldat, tantôt pour débarrasser une ville du Surda de ses envahisseurs, tantôt pour décimer des Urgals trainant trop près de la ville-montagne. Ce n’étaient pas des travaux bien difficiles, cependant nous les prenions très à cœur. Après près d’un mois de ce rythme étrange, on m’annonça que j’allais bientôt pouvoir œuvrer auprès de la reine. On m’envoya donc pour une dernière mission dans la montagne. Ce fut ce jour-là que tout bascula. Ils étaient une quinzaine, installés en cercle autour d’un feu repérable à des kilomètres à la ronde ... J’eus beau répéter inlassablement aux Vardens qui m’accompagnaient que les Urgals n’étaient pas bêtes à ce point, et qu’il devait s’agir d’un guet-apens, ils refusèrent de me croire. En vérité, je pense que les troupes de Galbatorix avaient eus vent de mon existence et qu’ils souhaitaient m’empêcher de monter plus encore dans la hiérarchie des Rebelles, et ce par le moyen le plus simple ; mon meurtre. Mais rien n’est moins sûr, je n’ai jamais appris la vérité. Toujours est-il qu’une fois que nous les eûmes encerclé, ils ne réagirent pas le moins du monde ; une quarantaine d’autres monstres étaient cachés par la montagne. Ils se jetèrent sur nous, et nous sûmes immédiatement qu’il serait impossible de les battre. Cependant Soudaine tînt à résister jusqu’au bout, de telle manière que nous parvînmes à les décimer de deux bons tiers à nous deux. Je fis alors l’erreur de me tourner vers le restant des soldats pour leur faire signe de fuir avant que les Urgals ne contrattaquent. Une de ces horreurs se dressa contre moi, une lance au poing, et Soudaine s’interposa. Comme dans un rêve, je vis la pointe de son arme filer droit sur les côtes de ma compagne. Malgré sa force, Soudaine n’avait pas la résistance d’un dragon. Si cette lance la transperçait, elle mourrait comme n’importe quel cheval, je le devinais aisément. Mais je ne sus jamais ce qui arriva ; quand la pointe en fer toucha ma moitié, je sombrais dans une inconscience inexplicable. Depuis quand les dragonniers tombaient en syncope quand on frôlait leur dragon ? Bon, d’accord, Soudaine n’était pas une véritable dragonne, mais pour moi c’était tout comme. Quand je m’éveillais, mon environnement avait très largement changé. On m’apprit que j’avais dormis près d’une semaine. Soudaine était ... Introuvable ? J’eus beau crier que c’était impossible, pleurer toutes les larmes de mon corps qu’elle ne pouvait être morte, on me maintint couchée ; les soldats avaient eus le plus grand mal à protéger ma vie après ma perte de connaissance, et j’vais subis de nombreuses blessures. Un homme me fit alors remarquer : « Mais ... Que tenez-vous dans la main, Syriane-elda ? » Je le regardais sans comprendre, puis décrispais lentement mon poing gauche. Là était inexplicablement posée une plume, une plume blanche en cristal sur laquelle avait coulé une de mes larmes. Je la serrais de nouveau, étonnée de ne toujours pas l’avoir brisé. À vrai dire ... Je ne la sentais presque pas. Comme s’il avait été naturel qu’elle se trouve à cet endroit, et que mon corps avait accepté cet état des faits. Elle glissait un peu, cependant j’étais décidée à ne pas la lâcher ; je ressentais à présent un drôle de sentiment à son contact. C’était totalement insensé, mais je ressentais la présence de Soudaine. À bien y réfléchir, je n’avais pour le moment pas sentis sa mort, ni même son absence de façon trop douloureuse. Où qu’elle soit ... Elle était vivante. Je retournais de nombreuses fois sur le lieu du combat, mais n’y trouvait pas le moindre indice concernant la disparition de ma compagne. Point rassurant ; il n’y avait pas la moindre trace de sang là où elle s’était trouvée. La petite plume en cristal ne me quittait plus, je dénichais rapidement une chaine en argent et décidais ainsi que sa place définitive serait autour de mon cou. Ne plus pouvoir parler à Soudaine me rongeait et me ronge encore ... Sans l’avouer à personne, je considère que je la retrouverai un jour. Le plus tôt serait le mieux, évidemment. Cependant, je ne souhaitais pas m’appesantir parmi les Rebelles. La manière dont ils me chouchoutaient désormais me les faisait paraître hypocrites de par la façon dont ils avaient traité Soudaine. Je reprenais donc les routes, cette fois dans le but de rentrer au sein de mon peuple, aussi vieillot et assagi fut-il.

Re bienvenue (j'ai déjà du te la souhaiter xd)

Fiche refaite..

L'âge ne correspond pas trop, je crois. A 15 ans elle est encoe un petit enfant.

Désolée j'ai pas terminé c'était un message préventif O_O ... Mais elle a pas 15 ans, elle a 20 ans ^^ Et elle en parait 17. Donc je pense que ça devrait aller ... C'est pas que ça me dérange de changer son âge, ce serait juste étrange de changer ça après tout ce temps ... Elle a toujours eus cette âge-là ^^

Edit : Hm, finalement merci de ton conseil Wanda, j'ai finis par décider d'être plus âgée Je finirai ça dès que je peux.

wop wop wop, temps qu'elle n'est pas finie elle n'a rien à faire chez les indépendants ;-) Bon boulot Syriane ;-)

Oui chef, bien chef
J'ai terminé et édité ma fiche, mais la partie "passé" esr trop longue pour le message. J'ai tout essayé sans pouvoir l'ajouter.
Que fais-je ?

Tu fais un 2eme post

Je ne suis pas sûre qu'on puisse ... C'est pas dans le règlement des fiches mais bon ^^ Avec toutes les réponses déjà postées, c'est pas terrible comme idée ^^

heuh....a la bourre mais bienvenue ^^

Ah j'avoue c'est facheux... Tu peux éditer ton poste juste en dessous de la réponse d'Epine et je supprimerai le poste d'Epine ;-) Je te donne l'autorisation de faire un double poste exceptionnellement

Grand Merci, Fidy !
C'est fait

Ton histoire est très chouette. Merci beaucoup!
Une vraie écrivaine ;-)
Fiche bien entendu validée ;-)

Merci Fidy, ça me fait vraiment plaisir que tu dises ça ! ^^
Voilà chef, bien chef x')