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| Concours d'écriture n°7 - Textes | |
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Feu-de-neige Admin chevaleresque
Nombre de messages : 3644 Age : 33 Autres : Partout et nulle part Date d'inscription : 22/10/2006
| Sujet: Concours d'écriture n°7 - Textes Sam 4 Oct - 23:33 | |
| Voila le topic dans lequel vous posterez votre texte! Soyez nombreux et laissez cours à votre imagination. Je rappelle que le texte doit être de plus ou moins 30 lignes et que le thème est "trou de mémoire". Bonne rédaction!
(Ici postez votre texte (et seulement un et votre texte) toutes les remarques ou réflexions seront à poster dans l'autre topic Wink) | |
| | | Kentril Grand méchant loup
Nombre de messages : 4072 Age : 34 Autres : Do you really know me? I might be a god... Date d'inscription : 23/10/2006
| Sujet: Re: Concours d'écriture n°7 - Textes Dim 5 Oct - 14:43 | |
| Sundown
I cannot recognize my shadow Feels like my head is so hollow Seems like I scared my neighbor But I can't see myself in the mirror I tried to open the window Out there was only the moon glow A thousand screams of terror Kept me from opening my door
I sleep all day And walk all night I'm not okay I need to bite I lost my hair My teeth are sharp Live in despair Live in the dark
I cannot figure out what's happening Did it occur when I was sleeping? Will I ever get back to freedom? Will anybody answer to my question? Now I have to hide from the sun rays When the sun goes down is when I raise Yesterday's memories are still missing I don't have a clue, what am I becoming?
Hunger has taken control I have no will, I am a slave Someone's gone away my soul Now I have to live in a grave | |
| | | Plume Grand Bouchon de Liège
Nombre de messages : 2383 Age : 35 Date d'inscription : 03/09/2006
| Sujet: Re: Concours d'écriture n°7 - Textes Jeu 9 Oct - 22:53 | |
| La lueur orange de la braise s’intensifie dans l’obscurité, un souffle de fumée succède à cette lueur, emporté par un soupir d’aise.
Kaherdin Lidan éloigne sa pipe de sa bouche et regarde l’anneau de fumée se dissiper dans l’obscurité, mené par le vent marin qui entraîne le navire sur le grand océan, père du monde.
Depuis quand étaient-ils parti ? Six mois, un an, peut être deux. Dans cette immensité, la notion de temps se réduit à la simple succession du jour et de la nuit, parfois la forme de la lune donne une idée plus longue de ce temps passé loin de chez soi.
Le gabier ordonnait de donner du mout à la voilure, en prévision du grain que le vent forcissant attirait jusqu'à eux. Et comme à chaque tempête, au moins un serpent de mer roderait autour du vaisseau, attendant patiemment la chute d’un marin, emporté par une vague trop forte. C’était quelque chose que l’on ne pouvait oublier.
Depuis combien de temps étaient-ils parti ? Combien d’homme avait fini dans la gueule d’un serpent depuis qu’il avait prit le commandement du Parangon ? Combien de mois, voir même de jour, restait-il avant que le Lidan soit père ? Trop d’éléments restait inaccessible…
Ce que son esprit avait oublié, son corps s’en rappelait. Il avait rapidement retrouvé le pied marin et il anticipait chaque mouvement du bateau avec la grâce de quelqu’un né sur un pont.
Déjà, le sillage du serpent se dessinait sous la surface. En quelque instant, la tempête fut sur le vaisseau. Le mout donné plus tôt ne suffit pas et la voile du grand mat se déchira, emportant un homme avec elle. Le malheureux n’eu pas le temps de disparaître sous la surface, il n’y eu que le reflet des lanternes sur la muqueuse qui recouvrait le corps de la bête. Le remoud que le serpent créa en retournant dans son élément balaya le pont, emportant un autre homme.
Combien de temps le navire allait-il résister ? Quelle importance ? La dernière chose, le dernier souvenir, que le capitaine emporterait avec lui dans la mort serait l’allène du monstre, le tranchant de ses crocs, la vision de son fier navire tranché en deux dans un éclatement d’écharde de bois. Et ça, il aurait voulu l’oublier. | |
| | | Mila Digne des boss
Nombre de messages : 3010 Age : 29 Autres : aucun Date d'inscription : 06/06/2008
| Sujet: Re: Concours d'écriture n°7 - Textes Mer 15 Oct - 18:15 | |
| Cathy était éxténué, sa faisait des heures qu'elle marchait au bord de cette falaise. Se que lui avait réveler ses parents le matin même la forcait à avancer: se qu'elle appelé ses parents n'était pas ses parents bioloique, elle avait était adopté, ele avait 13 ans et elle était adopté. Certes elle préférait l'apprendre maintenant plutot que dans dix ans mais quand même, sa faisait un choc. La nuit tomba mais Cathy continua à avancer, sans s'en rendre compte elle se raprocha du bord , elle entendit un craquement pour ne plus rien sentir ensuite, elle se rendit compte qu'elle tomber, il n'y eu que quelque secondes entre sa chute et l'inévitable choc ,Il arriva enfin. Sous le choc Cathy perdit connaisance. Elle ne se réveilla que deux jours plus tards. Elle était dans une chambre, une femme était assise sur un canpé . Elle se précipita vers La jeune fille. La femme lui parla: "Cathy.... Cathy, sa va? -Vous me connaisez? -Tu ne me reconais pas? -Je devrais?" La femme s'absenta elle revint avec un homme avec une blouse blanche. il la questiona: "Alors ma grande , comment t'appelle tu? -Cathy. -Quel age as tu? - J'ai............ -Tu ne t'en souviens plus? -Si... J'ai.... -Se n'est as grave , dis moi juste qui est cete femme? -Je ne sais pas. -Se n'est pas grave." L'homme et la femme sorti. Il lui parla, . La femme revint, elle lui dit: "Ma petite , je suis ta mère, tu as 13 ans , tu est tombé d'une falaise , nous venions de t'annoncer que nous n'étions pas tes parents biologique sa t'a fait éxtrémement soufrir, tu as marché toute la journée , ne te voyant as revenir moi et ton père somme parti à ta recherche. Tu as perdu la mémoires. Le médecin m'a dit qu'elle pourrai revenir si il t'opérait seulent cette opération est dangereuse, qu'en pense tu ma chèrie? -Maman, je ne veux me souvenir de tout. -D'accords." La femme sortit, elle donna sa désicion au médécin. Cathy fut opérés, quelque heures plus tard elle se réveilla. Toute sa vie lui revint en tête. Son trou de mémoires n'avait était que momentané , il avait bien failli lui gacher la vie.
Dernière édition par Mila le Ven 24 Oct - 22:08, édité 1 fois | |
| | | Erythrine Digne des boss
Nombre de messages : 3044 Age : 34 Date d'inscription : 23/10/2006
| Sujet: Re: Concours d'écriture n°7 - Textes Mer 22 Oct - 22:43 | |
| Je ne comprends pas, je ne peux pas comprendre pourquoi par moment tu es si différent, pourquoi tu sembles être un autre. Quand tu te lèves le matin et que tu ne comprends pas mon animosité, quand tu t‘approches du chat et qu’il part en fuyant. Quand tu demandes quelque chose et qu’on te le refuse. C’est comme si tu étais redevenu celui que tu étais. Pourtant tu es violent, agressif, voire même odieux.
Mon petit frère, je crois que tu t’es perdu en toi-même et que toutes ces pertes de mémoires t’atteignent bien plus qu’autre chose. Mon petit frère si tu pouvais arrêter tout cela et redevenir toi-même. C’est peut être cela le début de la schizophrénie, c’est peut être ça le début de la fin, mais je ne veux pas y penser, je ne veux pas me dire que je vais te perdre et que je risque de t’oublier.
Mon petit frère, je t’aimais, je t’aime, mais je ne peux pas le mettre au futur parce que tu me fais tant souffrir. Tes absences me pèsent et ces regards vides, ces regards d’incompréhension me détruisent. J’aimerais que tu retrouves la mémoire et que tu sois celui que tu aurais pu être. Reviens moi ! | |
| | | Feu-de-neige Admin chevaleresque
Nombre de messages : 3644 Age : 33 Autres : Partout et nulle part Date d'inscription : 22/10/2006
| Sujet: Re: Concours d'écriture n°7 - Textes Mer 22 Oct - 22:47 | |
| La valse sombre
Seule dans ce grand trou noir je danse sur le silence. Une danse triste, désespérée et mélancolique. Là haut une faible lumière m’éclaire mais elle est bien pâle comparée à celle éclatante de mes souvenirs. Pourtant je persiste, j’essaye de toujours sauter plus haut vers cet espoir qui me rend plus légère. Souvent je tombe, je retombe mais sans cesse je me relève. Si seulement cette fissure pouvait être plus près, si seulement tu étais là pour me porter plus haut, peut-être atteindrais-je cette lueur et réapparaitrais-je dans ton esprit. Mais du fond de ton trou de mémoire je deviens ridiculement petite. Mes ailes n’ont plus de souffle pour me porter plus haut. Pourtant ton visage continue à hanter mon esprit et c’est pour retrouver ce sourire que je m’élance avec force vers les hauteurs. Parfois du haut de mes pointes, de mes sauts j’ai l’impression de voir la sortie, de voir ce noir tomber comme un voile et tes bras accueillir mes efforts, mais malheureusement ce n’est qu’illusions et images fictives que j’invente sans doute pour ne pas me laisser tomber dans l’oubli. Je ne demande pas grand-chose pourtant. Un regard, un sourire, te revoir et que je sente encore cette fierté d’exister à tes yeux. | |
| | | Seith Digne des boss
Nombre de messages : 4839 Age : 32 Autres : Si tu marches sur la queue d'un loup, ne soit pas étonné s'il te mord. Date d'inscription : 05/11/2007
| Sujet: Re: Concours d'écriture n°7 - Textes Ven 24 Oct - 20:03 | |
| Pour Nounours Il y a tellement de choses que j'aimerai oublier, toutes ces infamies, ces insultes à demi-dissimulées, toutes ces choses qui me dévorent de l'intérieur, toutes ces bassessses qui me font toujours plus détester le genre humain et son hypocrisie. Effacer de ma mémoires toutes ces crasses dont tu me dis toujours que je dois parler pour aller mieux. Mais je ne veux plus y penser, ni de près ni de loin. Toi que je fais sourire quand tu es au plus bas, j'aimerai que tu oublies que moi aussi je touche parfois que fond, mais que je me cache derrière mon humour. Ces trous de mémoire qui me viennent bien trop souvent pour une commission, une date de contrôle, des devoirs non-notés sur l'agenda;... je préfèrerais qu'ils soient dirigés vers tous les malheurs, ainsi peut-être, je serai toujours cette figure souriante, débordante de joie, à qui tu es incapable de faire "la gueule" plus de dix minutes. J'essaie pourtant d'oublier que "tout ne vas pas bien dans le meilleur des mondes". Je ne veux plus avoir à baisser les yeux devant chaque abruti qui m'a poignardé, de dos et de faces, ces filles creuses qui se croient -peut-être à raison- meilleures que moi, et tous ces ringards qui se croient beaux, ces heureux imbéciles qui pensent que je ne comprend pas leur hypocrisie "Salut ça va ?", mon oeil. Parfois, je me dis qu'avoir Alzeihmer serait mieux que de comprendre le fonctionnement des gens. Alors je m'isole des autres, même parfois de mes amis, je trouve la paix dans cette musique que presque la moiié des gens "normaux" considère comme barbare, ou je lis jusqu'à oublier ce foutu couloir, ce foutu internat, ce foutu lycée, et cette foutue conscience. Je répond parfois méchament, à toi, aux autres, pardonne-moi mon ami, mais il y a un moment ou on craque. Mais j'ai trouvé mon moyen d'oublier, en repoussant mes limites, mon endurance physique et mentale, me barricader toujours plus dans ma forteresse, et un jour, affronter tête haute tous ceux qui pètent plus haut que leur derrière, mais de façon plus subtile que le "t'as pas des amis ailleurs ?" et autres coups bas. Tu verras, un jour, ce sera à leur tour de souhaiter Alzeimer, et là, seulement là, je m'autoriserai à décadenasser "l'entrepot" de mes sentiments. Je te le promet mon ami, tu en sera le premier averti. "Chibi Neko" | |
| | | Wanda Surhomme
Nombre de messages : 2237 Age : 32 Date d'inscription : 22/10/2006
| Sujet: Re: Concours d'écriture n°7 - Textes Ven 24 Oct - 21:46 | |
| Je poste ici, mais ne me mettez pas dans le concours =)
Minuit. Communément appelée heure du crime par les adeptes du roman policier, mais pour moi, ce moment là, est l’heure ou rien ne vient plus troubler mon silence, l’instant ou je reste seule avec propre conscience. Rien n’y fait, rien ne change, c’est un problème, et je suis bien incapable de le résoudre. Même à coté d’autres présences, je suis toujours aussi isolée. Ils sont chanceux, eux, ils dorment, ils triomphent si facilement ! Mon corps appelle le sommeil, mon esprit le repousse, ou le sommeil me fuirait-il ? Qu’importent les raisons, quelle importance ? L’insomnie est cruelle, et gagne à tous les coups. Trois heures du matin, je suis si fatiguée que je serais bien incapable de me relever et de tenir debout. Mais je continue à rester les yeux perdus dans le vide, à ressasser tous mes remords, mes regrets, mes doutes et mes peurs, amis et traîtres de toujours qui attendent ce bon moment là pour ressurgir, instant de faiblesse. Rien n’y fait, rien n’y change, et l’aiguille continue son tour inlassablement. Quatre heures, Je vais la gagner, cette bataille, et je devrais le savoir, puisque cela se finit toujours de la même façon. Je devrais le savoir, mais mon esprit a abdiqué, ma raison est partie, que reste-il, après des nuits et des nuits de veille ? Le silence est tout autour de moi, plus personne ne vit à cette heure là. Même moi, j’ai arrêté de vivre, mon esprit a déserté, je suis allongée, vide de toute émotion, de toute pensée, et la seule chose qui réussit encore à me toucher : Je dois lever ce corps, et réveiller ce qui me reste de conscience dans deux heures et quelques. Sortir du trou noir dans lequel je me suis glissé progressivement, m’extirper de ce cauchemar vivant… | |
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