Post en rapport avec le défi désorthographiant lancé par Erythrine.
Deux vents la ferme de Gordon, les habitants de Carvahall étaient habitués à ne voir personne. Gordon était un vieillard grincheux qu'aucun villageois ne dèsiray fréquenter. Un jour, un jeune garçon avec un nom aussi idiot que son air, Eragon, avait voulu lui proposaix de boire un thé avec lui et un autre vieillard avec lequel le jeune homme avait un genre de relation louche et malsaine, Brôme. Pour toute réponse, le vieux Gordon avait envoyé ses chiens à la poursuite de ce petit emmerdeur. Il avait de l'humour, le vieux Gordon, sa oui... Mais personne ne venait jamais le voir. Alors quand un mandian encapuchonné vint frapper à sa porte, il y a eu du bruit dans le village. Il apparut un jour de pluie. Ont dit que c'est toujours comme ça qu'il apparaît. Il avait apparemment voyagé à pied jusqu'au village, mais personne n'a jamais su d'où il venait. Il portait un grand mantôt noir, couvert de boue, de poussière et de pluie. De sa capuche dépassaient çeulement ses longs cheveux blancs. Il avait l'air d'un type qu'on ne veut pas voir arriver dans son village, mais à qui personne ne demande de partire.
Une fois au centre de la cour de la fairme, l'étranger s'arrêta net. On entendit ensuite les aboiements énervés des deux molosses de Gordon. Ils auré bouffé le cul de n'importe quel voyageur égaré... Cependant, lorsqu'ils arrivèrent jusqu'aux mendiant, ils hésitèrent un instant, puis détalèrent en couinant. Le voyageur reprit alors son chemin vers la porte de la demeure. Il frappa une foix.
"Allé-vous-en!"
Il frapa une deuxième fois.
"Je veux pas vous voire! Barrez-vous!"
Il frappa une troisième fois, et la porte tomba comme... une porte qi tombe. Comparé au reste de sa ferme, l'endroit où vivait le vieillard était minuscule. Une sinple pièce carrée pourvue d'un lit, d'une table et de quelques chaises. Même pas une étagère ou un déssin sur le mur. Lorsque l'étranger entra en enjambant la porte hors d'usage, Gordon était assis à sa table, en train de manger une souppe avec force bruit. En voyant avancer son visiteur, il laissat tomber sa cuillère dans son assiette. Sans dire un mot malgré sa bouche bêtement ouverte, il poussa du pied une chaise vers le mistérieux inconnu. Ce dernier s'assit en souriant, sans jamais quitter des yeux le vieux fermier, qui après un long silence, s'exprimma avec une voix se voulant dure et ferme.
"C'est Jarod qui t'envoit?"
L'étrangé se fendit d'un sourire encore plus vicieux que le précédent, un étrange éclat naissant dans ses yeux sonbres.
"Oui... On peu dire ça comme ça... Tu ne m'en veux pas si je me joins à ton repas? Je suis sûr que non."
Il sortis de son ample manche un petit sac de graines dans lequel il commença à picorer.
"On peut dire que c'est lui qui m'envoie... Ou alore que je l'ai tué et que dans un dernier soupir il m'a avoué que c'est toi l'unnique détenteur des informations que je recherche."
Le vieillare referma aussitôt la bouche en se ruant vers le dessous de son lit. Avant qu'il n'ait pu s'y réfugier ou cherchet quelque moyen de défense, il sentit contre son crâne le fracas du bois et la douleur des échardes se fichant dans le cuir chevelux. S'il avait pu dire quelque chose pour exprimer ses sentiments, le vieux Gordon aurait tout simplement adressé des injures à tout les dieux qu'il connaissait... Pas tout à fait deux.
"Mintenant écoute-moi bien, espèce de vieille merde ravagée..." lui grogna doucement à l'oreille son agresseur en lui coinçant la tete entre le sol de sa maison et le pied d'une chaise.
"Tu vas meuh dire le nom de tous tes petits copains qui aiment tellement se cacher avant que je ne tapisse ton taudis avec ton propre sangue."
"Tu... ne le ferais pa! Tu ne pourras jamais les retrouver si tu me tues!"
"En réalité je pourrais dé maintenant t'ouvrir comme un porc et découvrir le nom de tes complices dans tes entrailles, mais je te laisse une chanse de sauver ta peau, histoire de faire durer le plaisir. Dis-moi ce que je veux entendre, fils de chiène!"
San plus de cérémonie, le voyageur plaça un des pieds de la chaise au-dessus des doigts de sa victime, puis donna un grand cou de pied sur le meuble. Les os émirent un craquement... délicieux. La tête tirée en arrière par la main de son bourro, Gordon bégaya en pleurs.
"Harold... Jonyr et Didier... s-s-s-sont morts... il ne reste plu que moi, Nathanael et... Régis. Tu les trouveras a..."
"Je meuh débrouillerai avec leurs noms. Et ce n'est pas la peine de me déballer tous tes secrets dès maintenant... Il te reste neuffe doigts... deux yeux... une langue..."
Il ne termina jamé sa phrase, mais parmi les villageois appeurés massés devant la porte de Gordon, écoutant ses cris de douleurt, personne ne demanda de précision.