the boulet attitude

a quand même.
moi j'ai commencé au début de l'an scolaire...

Ryuu no sei a écrit:

si la cervelle et la tripaille ne gicle pas c'est pas marrant!

citation d'une amie : si y'a pas de morts c'est pas marrant

et j'essaie de l'appliquer au mieux dans mes romans^^

comme tous le monde ici apparement

ouais mais est-ce que tu envoies tes trucs à des maisons d'édition ?

enfin bref dans la catégorie boulets : Dales'na herself !!!

je viens de participer a un concours "claude nogarot"
et après j'écris pour moi...et pour les deux personnes qui me lisent

moi j'envoie, même si pour le moment ça ne donne pas grand chose

Bon je vous m'es les passage les plus sadique ?

Fais toi plaisir.

Hem vous êtes sur ?

oui, et à la rigueur je met mon intro assez bourrine si tu veux après.

Cool !! Ben voila:(Je peux pas le raccourcir plus sinon on pige plus rien !)

Le soleil chauffé beaucoup et elle accueilli l’ombre d’un défiler avec plaisir. Mais elle ne fit pas plus de trois pas qu’elle fut assailli par des chevaliers. Heureusement elle était devenu très bonne avec son épée et qu’elle était habituer à se battre contre plus fort qu’elle. Elle tira son épée de son fourneau et celle-ci étant enchanté elle commença à chanter doucement la triste réalité de la mort. Les 4 chevaliers un instants déstabilisés ralentirent, se fut un très mauvais choix ! Galasse se mit en mouvement et 2 chevaliers tombèrent à terre la gorge tranchée. Un troisième chevalier arrêta son épée juste attend, il tenta de la prendre par surprise mais pour toute réponse il obtint le droit de voir son bras vol dingué dans les airs avant de se retrouver la tête tranchée comme les deux autres. Le dernier tenta de s’enfuir mais, il fut stopper par un coup d’épée qui lui trancha les tendons du pied. Galasse le bouscula et il tomba le cul à terre, elle posa son épée contre la poitrine du survivant et lui demanda :
-Qui ta envoyer ?
Le chevalier terrifier secoua la tête. Se fut une très mauvaise idée Galasse leva son épée et elle l’abattit sur sa deuxième jambe. Elle le regarda droit dans les yeux et dit dans une voix on ne peut plus calme et glacial :
-je te le demande pour la dernière fois qui t’a envoyé me tuer ?
-Messire Voilio, c’est Messire Voilio qui nous à dit de nous embusquer ici pour vous tuer! Je vous en pris ne me tuer pas !
- Silence !cria Galasse, Laisse-moi réfléchir, où est Voilio ?
-Dans la ville de Gua, c’est a 4 heures d’ici vous n’avez qu’a suivre le chemin…ne me tuer pas ! Galasse l’ignora et lui trancha la tête. Elle continua dans la direction indiquer bien décider à tuer se certain Voilio. Elle était furieuse, « Mais je ne le connais pas celui-là en plus ! Non mais je vous jure ! Il y en a qui cherche vraiment les embrouilles ! » Elle avait bien l’intention de découvrir qui était cet homme qu’elle n’avait même pas offensé elle en était sur ! Le chemin fut plus cour que prévue…évidement elle avait dû marcher vite pour en découdre au plus vite avec Voilio de façon à se qu’il s’attende pas à la trouver à ses trousse toujours vivante. Elle c’était arrêter en chemin pour se nettoyer du sang des chevaliers et pour changer d’habits. Arriver devant les portes de la ville, elle hésita quelque seconde puis avança. Elle franchit les portes et elle prit la rue principale pour se renseigner sur le mystérieux personnage. Elle entra dans une auberge et posa quelque question, mais tous la regarder d’un air hostile, elle soupira et ressortit pour s’éloigner. Malheureusement elle n’eu pas l’idée de regarder derrière elle et ne vit pas les ombres qui se glisser a sa suite. Elle se retrouva devant un stand où un jeune homme vendait de la nourriture elle en profita et acheta quelque provision puis repartit. Elle leva la tête et vit que le soleil avait bien baisait, elle ne savait que faire mais finit par choisir de dormir à l’extérieur de la ville. Elle ressortit donc toujours suivit par les ombres et elle chercha un endroit propice pour installer son camp. Elle le trouva prés de la forêt à quelque pas d’un ruisseau. Elle remplit sa gourde qui était presque vide et elle mangea avec plaisir un morceau de veau cuit sur le feu. Elle farfouilla dans son sac et elle en extirpa une couverture de couleur kaki dont elle s’enroula pour se tenir chaud. Elle s’endormit rapidement en regardent les étoiles. C’est à se moment là que les ombres se mirent en mouvement, elles encerclèrent le camp de Galasse et sortirent leurs armes, elles s’approchèrent doucement et sautèrent d’un seul coup sur Galasse ! Celle-ci fut prompte à réagir et brandi son épée qu’elle avait toujours à porté de mains et coupa des gorges par ci par là. Mais les ombres étaient nombreuses et Galasse dû se rendre écraser par le nombre. Malgré tout elle fut satisfaite d’elle quand elle vit que trois hommes était à terre et qu’il ne se relèverait plus et que bon nombre des survivants était blessés. Ils la trainèrent de force jusqu'à la porte et entrèrent discrètement sans se faire remarquer par les sentinelles placé là. Quand elle tenta de se défendre elle fut rouer de coups jusqu'à se qu’elle perde connaissance. Quand elle se réveilla un visage qui n’avait pas l’air très rassurant la scruter, elle sursauta et voulu se jeter en arrière mais une chaine la retenez dans la position dans la quelle elle était c'est-à-dire à genoux. L’homme souri d’un air peu plaisant et fit un salut ironique :
-Voila enfin cette cher Galasse ! Je crois que tu me connais je m’appelle Voilio. Je te retrouve enfin !
-Heu….j’ai loupé un épisode là ! Je ne crois pas vous connaitre moi mis à par le nom que j’ai appris grâce a un de vos chevalier…
-Ils sont vivant ? Je les ferais fouettait pour incompétence ! -Hem…je crois qu’ils ont un peu perdu la tête si vous voyer se que je veux dire…j’ai fait un peu de chirurgie esthétique…bref je vous connais toujours pas !
-D’accord…tu les as tués ? Ok…mais je crois que tu a fais la connaissance de ma sœur…mais quand tu la laisser elle avait aussi « perdu la tête » et je compte bien te le faire payé ! Et pour que cela sois plus intéressant, je t’ais fais un « emploi » du temps. Tu veux le voire j’espère ! Jours après jour je l’ais remplis en pensant au moment ou je t’aurais enfin en mon pouvoir !
-Ta sœur ne s’appelait pas Taria par hasard ? Parce que si c’est elle j’y suis pour rien elle n’avait pas à intervenir en plein milieux de mon combat ! Et je n’ais pas envie de le lire ton « emploie du tems » à la noix !
-C’était bien ma sœur et tu te battais contre son amoureux alors c’est évident qu’elle ait voulu intervenir ! Bref tu va commencer des maintenant toutes les activités que je t’ai préparé…
Il prit un fouet et commença à fouetter Galasse. Celle-ci cria de douleur, Voilio ricana de sa douleur et fouetta plus fort encore et encore. Quand il n’eut plus la force de frapper, il regarda sa victime avec un sourire satisfait. Galasse était tasser sur elle-même le dos zébré de coup de fouet, le sang coulé à flot, ses vêtements était déchirer et des larmes de douleurs coulés le long de son visage. Il s’approcha et il lui donna plusieurs coups de pieds avant de sortir de la pièce. Galasse se mit à sangloter, sans dos lui faisait affreusement mal. La pièce était sombre, humide et puer le moisi, elle secoua tristement la tête les chaines retentirent cela la fit encore plus pleuré. Elle tenta de dormir mais à priori Voilio avait décidé de lui laisser aucun répit car toute les 30 minutes un homme venait pour lui versé un seau d’eau salée sur son dos pour la maintenir réveillé. Galasse ne put dormir cette nuit là ni les nuit suivante car Voilio recommencer tout les jours à la fouetter puis il s’en aller laissant Galasse de plus en plus mal au point et la nuit un homme lui versé des seaux d’eau glacial et salé. Enfin au bout de quelque jour un autre homme entra dans sa cellule. Elle leva la tête avec espoir mais cela n’alla pas plus loin elle comprit bien vite qu’elle n’avait pas grande chance d’être secourut par cet homme. Il s’approcha et s’accroupit au prés d’elle :
-Tu as de la chance, mon père ma accorder le droit de jouer avec toi ! Tu es heureuse ? On va tout d’abord te laver ainsi tu seras présentable puis tu viendras chez moi. D’accord ?
-Vous êtes pitoyable toi et ton père et ne nie pas c’est bien ton père tu lui ressemble trop !




C'est un peu grand mais c'est le plus raccourci que je peut sinon on comprend pas tout !

moi, je tape la fin du premier tome et je vous la met avec ou sans les remarques sadiques?

argh...jes',t'étais obligés de mettre tes histoires sadiques.....argh...aucune délicatesse!
*air outragée

chochotte!
:ssort:

Et je suis fière de moi !!
AU oui les remarque sadique Ryuu !! Sinon c'est pas drole !!!

Avec Ryuu! (Asaïra je lirais et posterais ce soir, avec mon avis)

le mieux avec Ryuu, c'est l'auto-lapidation...mais hors du contexte les remarques sont nulles parce que c'est souvent en rapport avec la façon d'écrire. Du genre repasser quinze fois le "b" et ça donne: "tomba"<=avec un gros "b" ça fait plus mal.

Tssss.... Moi sa m'amuse le sadisme dans mes histoires.

Asaïra je viens de lire ton histoire, c'est pas mal mais, à mon avis, tu peux améliorer:
- L'orthographe (Word, tu connais?)
- Les répétitions
- Les discutions niaises


Les dernières répliques ("mon père..." "c'est ton père ne le nie pas")

Ho j'avais pas vue...
Mais sa fais rigolo ! Bon je corrigerais.
Word je conner mais il ne corrige pas mes genres de fautes. Je le sais par ce que je l'écrit dessus...
Et toi des truc sadique ?

fin, par sadique (mais bourrin) et pour Word, met le en corriger la grammaire aussi.

il fait mon père la réglé pour mais sa marche pas !

Tiens, ce que je te disais, la "petite" présentation du personnage principale de mon roman (les premier mots du texte, les seules que j'ai pour l'instant retravaillé et qui sont les plus proches de la version finale)









Ilséa était dans la forêt, tous ses sens en alerte. Un bruit parcourut les fourrés. L’elfe tourna la tête, faisant voler sa longue tresse sur le coté.
Elle tira doucement son arc et encocha sans bruit une flèche. Ses yeux verts parcouraient les alentours à la recherche d’une proie, son nez fin analysait les odeurs environnantes.
Les oreilles pointues de la jeune elfe surprirent un bruit derrière elle. Une flèche partit dans la seconde vers cet endroit, sifflant de l’air et frappant un arbre dans un bruit sourd. Elle encocha une seconde flèche et, dans le même geste, courut vers sa proie qui s’enfuyait.
Sans ralentir, elle arracha la flèche plantée et la remit à sa place, dans le carquois. L’animal qu’elle traquait partait, c’était un daim. Ilséa stoppa et tira, la flèche fendit l’air et rafla une patte de l’animal, entaillant la peau et perçant quelques petits vaisseaux sanguins, blessant à peine l’animal qui ne parut pas avoir sentit le coup.
Le daim s’éloigna vers une partie plus dense de la forêt, laissant sur le sol une trace coloré et odorante, avant qu’un autre tir ne parte. L’elfe rangea rapidement son arc, sachant qu’il serait inutile là-bas, et tira de sa ceinture une longue dague acérée.
Ilséa se remit à courir, ramassa au passage sa flèche puis, suivant la trace rouge de sa proie blessé, avança. Elle courait très rapidement, et sa tresse volait derrière elle, assez en tout cas pour rattraper le daim dans les cents premiers mètres de course, un exploit, malgré la faible blessure de l’animal. Un coup de dague dans la patte déjà blessé força l’animal à ralentir en boitant. D’un coup, une odeur forte se dégagea, un changement radical par rapport à avant, où seul les odeurs habituelles de la forêt étaient présente.
Ilséa l’acheva d’un coup à la nuque, tout en essayant autant que possible de ne pas être dans le jet de sang. Elle dépeça la bête d’une main habile, certains organes fonctionnant encore, le reste encore chaud et le tout plein du sang qui coulait encore dans l’animal qui s’agitait périodiquement. Elle mit la peau et la viande dans des sacs différents, et laissant les viscères sur place pour que la nature se charge de les récupérer.





Elle s’éloigna un peu et l’odeur disparut. Autour d’elle, la forêt était calme, les grands arbres s’agitaient légèrement sous la brise fraîche du matin qui soufflait, alors que les fleurs s’épanouissaient sur le sol herbeux. Autour d’elle, aucun animal ne se montrait, par peur de l’elfe, et le bruit de son travail les avait éloigné. Elle ne s’en formalisa pas, et resta là, tranquillement, assise, à écouter le silence. Elle resta là un bon moment, ne pensant plus à rien, regardant la beauté de la forêt sauvage, que nul être n’avait altérée.
L’air était pur, et finalement, Ilséa s’allongea complètement dans l’herbe, se laissant aller, écoutant ses pensées, sombrant dans un état second. Au bout d’un moment, un papillon s’approcha de l’elfe, il était magnifique et ses mouvements étaient gracieux. Ilséa se laissa à le contempler pendant plusieurs minutes.





Ilséa sursauta, entendant un bruit, puis se retourna en posant la main sur sa dague. Elle se releva, se retourna et se retrouva face au responsable, un imposant ours. Elle lança son arme pour le ralentir, tout en sachant pertinemment que la lame n’était pas assez grande pour le blesser gravement. Elle profita du temps pour enlever son arc et son carquois, se retrouvant ainsi plus libre dans ses mouvements.
Du fer grattant du fer se fit entendre, et une épée apparut dans sa main. L’ours attaqua à se moment-là, passant presque derrière l’elfe, sa patte frappant hors de portée de toute parade de l’épée.
Pourtant, celle-ci n’atteignit jamais l’omoplate elfique car sa main droite, tenant le fourreau de métal, se tenait entre la peau et les griffes. Ilséa évita la seconde attaque en roulant sur le coté et en arrière, le tout en frappant la patte arrière gauche, déjà éraflé par la dague, mais qui portait à présent un longue estafilade sanglante mais peu profonde. Le sang commença à s’écouler sur les poils de l’animal, les collant entre eux et effaçant l’odeur de fleurs qui était dans la clairière.
Ilséa se releva à bonne distance de l’animal qui chargea. Jugeant plus prudent de rester à distance pour plus de sécurité, elle évita l’attaque. En trois puissants appuis sur ses longues jambes, elle était derrière l’ours et prête à frapper. Elle passa à l’attaque.
A une vitesse surhumaine, Ilséa feinta un coup à la tête déjà retourné avant de retomber lourdement. L’ours, vif d’esprit, l’avait frappé à l’épaule droite. Elle recula précipitamment.
Une fois sur ses pieds, l’elfe chargea sur la petite distance, se donnant de la force en criant. Le carnivore la regarda et alla pour la frapper quand Ilséa le toucha sur sa patte qui recula, blessé, bien que l’ours n’eu point le temps de s’en faire, l’elfe percuta son adversaire, lui assénant un puissant coup d’épaule qui le fit chuter.
Alors que l’animal tombait, la chasseuse s’appuya sur lui pour se propulser dans les airs. Une fois au-dessus de l’ours, elle passa son arme entre ses jambes. La lame frappa le sommet du crâne, cassa l’os, s’enfonça dans le cerveau, coupa le cervelet et continua à descendre, enlevant la trachée et séparant en deux parties distinctes le cœur. L’animal était mort avant d’avoir touché terre.
Ilséa récupéra sa dague, essaya ses armes et récupéra arc et flèches. Elle rangea le tout et fit subir à l’ours le même traitement qu’au daim. Seules les tripes et quelques traces de sang restait du combat acharné, ainsi qu’une forte odeur que la douce brise eu vite fait d’amener à des prédateurs et des charognards plus ou moins proches.
Satisfaite, ses sacs sur les épaules, Ilséa rentra d’un pas vif chez elle.

Pas mal du tout sa ! Félicitation !

J'ai mis du temsp à l'écrire. Merci!