La ville des bandits.

Galas se tenait droite sur Faldaco. Ils avaient passé la frontière ni vu ni connu sans problème. Même avec Faldaco son Chapki, un animal étrange vous conprendrez après.
Sa longue crinière noire cachait ses branchies des deux côtés de son encolure. Ses griffes rétractaient dans ses sabots, les crocs sous les babines bref, tout le monde croyait croiser un petit cheval noir comme on en voit souvent.
C'était jour de marcher. Une foule s'étendait un peu partout. Galas n'allait pas souvent dans des endroit où la bonne humeur vit. L'Albine souriait. Heureuse. Une Albine c'est (il va falloir tout vous espliquez !) la maîtresse d'un Chapki.
Faldaco aussi regardait de cî et de là, de droite à gauche. Son sens du nez très développait de loup découvrait mille chose épouftouflante.
Galas regardait à sa droite quand elle regarda à travers une ruelle. Presque invisible.
" Faldaco."

Faldaco tourna sa tête vers la ruelle noire que précisait Galas dans son esprit.
Une femme venait de se faire arrêter par un homme. Elle fit demi-tour mais un autre l'en empêcha. Faldaco sentit Galas se frémir. L'homme attrapa la jeune femme malgré elle. Leurs doigts la frôlaient.
" Intervenons." répliqua Faldaco sur le point de sortir ses griffes.
" C'est justement se que j'allais proposer mais ne montre pas tes origines !"
Les hommes soulevèrent la jupe de la femme.
" D'accord..."
Galas pressa légèrement les jambes sur les flan de son Chapki. Mais Faldaco, lui, bondit dans la ruelle.
Autours d'eux, le marcher. Personne ne les avaient remarqué. Des fillettes regardaient de beaux bracelets.

" Alakaad s'était appraché de la femelle, comme convenue, puis Joe et moi même sommes intervenus. On était submergé par les mouvemants de notre victime, sa beauté. Alors que mes copains s'amusaient bien et que je me décidais à m'inviter à la fête, une nouvelle omvre parmis les ombres de la petite rue surgit. C'est mon instin qui me la dit, mon sixième sens dont je suis fier. Mais il n'a pas empêché le massacre. Je vis la tête de Joe s'envoler dans les airs ! C'était une jeune femmme sur un petit destrier. Alors que je sortait mon couteau, je me suis figeait et partit en douce. Vous savez s'qu'il a fait l'animal ? Vous savez c'que j'ai vu ?
Alakaad venait de mourrir lui aussi, il se faisait dévorer par le ch'val !"
Le récit d'Irin, appelé "Rin", avait eu beau amuser sa troupe, le Chef réfléchit. Il entortillait ses moustaches. c'est vraie que l'histoire était farfelus avec ce cheval qui mangeait les hommes. Mais en même temps ces hommes avaient trop l'habitude des délits simple à accomplir. La police était surpassé. Meurtre, viols et autres étaient qu'habituel. Il garderait l'oeil ouvert.

Galas ouvrit les yeux avec peine. Quand elle découvrit qu'elle était dans une chambre inconnue. La porte s'ouvrit. Elle sauta du lit prête à tout :
- Pitié ! Pitié votre seignerie. Pardonnez moi. Je ne voulez pas. c'était pour vous remercier.
Galas découvrit alors la femme qu'elle avait sauvé.
- Où est mon cheval ?!
- Un cheval ? Non, pas un cheval et vous le savez. Un Chapki. Oui, un Chapki.
Galas ouvrit la bouche comme un poisson or de l'eau. La jeune dame sourit, pouffa, ria :
- HIhi ! Je m'appelle Sorraya. Je suis une amie d'un Albin. Je suis l'une des seules à connaître votre existances. Ah ! Vous avez surment faim. Je parle et j'en oublie les bonnes manières !
- Mon...
- Albin ? Oui il est à l'écurie, il est déjà servit.
Galas décourit qu'elle était en tenue de nuit. Elle s'installa à table ave Sorraya.
- Cela se passe régulièrement.
- De quoi . Demanda Galas.
- Qu'il y est des bandits, violeurs, tueurs. On a beau être dans le Surda, il y en a qui appartienne à une guilde que personne n'a trouvé appelé : "Les Surdiens impériaux"
- Quoi ?
- Oui, ils croivent que la ville doit leurs appartenient et ils ont presque réussit bien qu'ils ne soivent pas les maires ! Tout le monde à peur.

Rymoï se leva de son lit. Voîla une bonne semaine qu'il restait à la ferme de Sorraya. C'était son record. Le record de "rester le plus longtemps dans une maison et d'y vivre". Eify, sa Chapkie et lui, l'Albin, c'étaient abrités chez cette bonne amie alors qu'ils étaient à moitiés morts. Ce serait trop long de vous en expliquez la raison mais ils étaient en piteux états. Les voîla à aider Sorraya dans sa ferme et à ce rétablir. Il fit sortir les moutons dans le près, donna l'eau au boeuf etc.
Pour Sorraya, ils étaient une bénédiction : ils arrivaient et l'aidaient au moment le plus redouté de l'année pour une femme seule. Cette aide était formidable, sans fatique, sans paye et de la bonne compagnie.
- Sorraya ? Appela t-il. La fille, est-elle levée ?
- Non, que lui veux-tu ?
- Lui faire des remerciment !
- Va plutôt nourrir les volatiles pendant que je vais la voir.
Il y alla immédiatement, ce ragardant dans le miroir au passage. Il était vétu d'une tenue de paysan mais il du reconnaitre qu'il gardait du charme. Il sourit et obéït à l'ordre de son aubergiste. Après sa corvé il décida de passer à l'écurie voir Eify et le nouvel hôte.
- Salut ma jolie ! Lança t-il en entrant.
Il caressa l'encolure de son ânesse aux yeux perçants des aigles. Ses ailes d'oiseaux se déplièrent.
" Va voir le Chapki. Tu vas voir."
Il se posa des questions mais ne répondit pas. Il s'éloigna vers l'autre box. Il resta figé. Un Chapki cheval noir aux dents de loups avec des branchis tourna la tête vers lui et sourit.
- Faldaco ?! Mais alors...
Il courut vers la maison et y entra en coup de vent. Il repéra Sorraya l'air interrogatif et...oui c'était bien elle.
- Galas !
Il la prit dans ses bras, un large sourire aux lèvres.
- Galas, c'est si bon de te voir ! Que fais tu ici ? Oh, désolé...comment vas tu ? Tu as sauvée Sorraya ? C'est bien toi ça !
Il ne s'arrêtait plus. Sa joie était débordante, il retrouvait cellle qui l'avait guidée, sauvée, bref...qui lui a aidée en tout.