-Nom et Prénom : Hirmal Esfir. Ou Fira pour ses proches. [c’est à dire personne, ou presque xD]
-Age : 15 ans, né pendant la saisons chaude, au cœur du Hadarac.
-Race et camp : Humaine. Fille d’une famille neutre/ Femme rebelle.
-Description du personnage :
Physique :
C’est une évidence, dés sa plus jeune enfance Esfir fut gâtée aussi bien physiquement que moralement, mais particulièrement physiquement... Jeune femme habituée aux efforts sportifs, son corps est sculpté par des heures de courses folle à travers les rues et ruelles et toutes sortes d’exercices qu’elle s’imposa un temps. D’une finesse que peu d’êtres en dehors des elfes peuvent égalés, Fira est douée d’une grâce remarquable. Rapide et souple, tel un poison elle évolue insaisissable autant en l’air que sur le sol, ses pats mi-marchés mi-dansés donnent une impression furtive de douceur à tout spectateur, qu’Esfir cultive bien évidemment. C’est vêtue de bleu et de vert que notre jeune dame parcours le monde, sobrement habillée, même s’il lui arrive de se vêtir plus chiquement. Bottes, corsés, et pantalons longs font son quotidien.
La longue chevelure noire nouée en une unique tresse barre le dos de notre demoiselle, et fait une de ses fiertés matérielles, c’est mêmes cheveux, qu’elle lâche parfois pour les laisser caresser ses épaules, encadrent un visage fin et très expressif. Illuminé d’un regard bleuté, la pâleur de son visage paraît alors parfois moins extrême. Ses lèvres d’un rose pâle pour le moins naturel, font toute la sensualité du visage de notre Fira et si vous côtoyez un temps soit peu cette jeune femme vous pourrez voir défiler sur les traits de son visage toutes sortes d’expressions, car incapable de cacher ce qu’elle ressent Esfir a le mérite de mentir très mal.
On peut qualifié Mademoiselle Hirmal de jolie brin de femme attirante par le charisme qui émane de sa personne tout autant que par son esprit.
Caractère :
Jeune demoiselle née d’une assez imposante fratrie, dans une famille aux moyens plus qu’aisés, Esfir apprit pourtant dés son plus jeune âge à faire des concessions sur les choses qu’elle ne pouvait avoir ; noble sans pour autant l’assumer pleinement, elle est de nature modeste et ne cherche ni gloire ni prestige et encore moins à inspirer l’admiration. Elle est humble.
Jeune demoiselle qui peut se faire discrète, silencieuse et solitaire, Fira n’est pas pour autant un cas social. Elle a des passes-temps (Voyager ou bien profiter de sa courte vie d’humain) des passions ( la musique est la principale suivit du tire à l’arc qui est plus un moyen de se défendre qu’autre chose.), notre jeune femme sait rire bien sûr quoi que cela arrivât rarement, elle sait sourire et par la même occasion illuminé son visage d’expressions diverses . Hirmal est une personne d’un point de vue attirante, car au dessous de son attitude parfois froide aux premiers abords, se cache une demoiselle intelligente et à la franche répartie, qui ne mâche que rarement ses mots. Drôle par les pathétiques étourderies qu’elle commet, Esfir adopte pourtant parfois cette attitude qui la rend aussi froide que la glace, et dans ses gestes aucun signe de maladresse n’est percevable, jamais, c’est d’ailleurs dans son caractère de corriger ses étourderies, défauts qu’elle traque sans arrêt.
De bonne compagnie, Fira n’est pas illettrée, dés son enfance, on lui apprit à lire, à compter, on lui fit découvrir la musique et toute sortes d’arts, sans omettre celui des armes, on lui enseigna la politesse et la politique, de façon à ce qu’elle puisse converser avec la noblesse sans passer pour une idiote, et comme une comptine Esfir retenu ce que le maître musicien du palais lui disait enfant « Le savoir est la seule chose qu’elle la nature humaine est impossible de t’enlever. Alors cultive le ! »
-Votre passé-
Née de la seconde femme du roi, Esfir ne sut jamais à quoi pouvait ressembler l’amour d’une mère. Car si celle-ci lui donna la vie, elle ne lui accorda sans aucun doute rien d’autre, ou peut-être et pour son plus grand malheur la douce beauté qui avait séduite le roi à une époque. Fira ne due donc son éducation qu’aux précepteurs que l’ont lui assigna dés qu’elle fut en âge d’apprendre à lire et à compter. Et bien vite, notre jeune princesse s’avéra être une élève studieuse.
Petite créature fragile qu’elle était, prouvant au monde qu’une fille pouvait être plus brillante qu’un jeune prince.
Enfant d’ailleurs trop fragile à sa naissance pour que l’on y fasse attention, pour qu’elle est une quel conque importance aux yeux du roi et de son peuple.
Petite fille qui passait si bien inaperçu. Invisible et pourtant bien là.
Présente, là ou elle devait l’être.
Esfir bien que très jeune se fit vite une petite place par mis les nombreux enfants royaux, ce n’était certes pas une prestigieuse place, mais elle avait l’avantage de lui accorder l’amitié, et peut-être aussi l’amour des enfants de sa famille.
Puisqu’elle n’était pas destinée au trône, Fira ne fut donc pas éduquée de manière à former une dirigeante, mais elle ne manqua pas pour autant d’éducation, car c’est à toutes sortes de cours auxquels elle fut obligé d’assister. Et ce fut de loin lors d’apprentissages musicaux qu’elle se distingua réellement de ses frères et sœurs. Car c’était d’une main experte qu’elle tirait d’un luth, d’une harpe ou encore d’une flûte de nombreuses et de douces mélodies pour le plus grand ravissement de ceux qui l’écoutaient. La musique révéla donc à sa royale famille quelle charmante musicienne ils avaient par mis eux. Esfir fut alors sujet d’une délicieuse attention, celle de son père, pendant un temps du moins… Car aussi rapidement découverte, elle fut tout aussi rapidement oubliée. Notre petite princesse n’était pas bien vieille à cette époque, et elle ne s’en formalisa pas, d’autant plus que le départ de l’un de ses demis-frères l’attrista particulièrement. Il s’appelait Iro, et Esfir était trop jeune pour comprendre ce départ soudain. Elle ne le connaissait que très peu pour avoir jouer quelques fois avec lui, mais il était son frère après tout. Et les enfants de l’âge qu’elle arborait ont tendances à pleurer pour un rien, non ?!
Les années passèrent alors, toutes identiques, trop semblables, fades et seule notre jeune princesse semblait changer, s’embellissant chaque jours un peu plus, s’intéressant à toutes choses dans ce bas monde, aussi bien aux affaires royales et d’on elle ne devait certainement pas prendre connaissances qu’aux arts que ses professeurs semblaient déterminé à lui inculquer. Esfir continua, certes avec quelques difficultés et malgré les milliers de choses qui occupaient alors son esprit d’adolescente à s’entraîner musicalement, atteignant des sommets. Fière mais néanmoins peu désireuse de se faire remarquer, elle demeurait discrète.
C’est dans sa treizième année que Mademoiselle Fira s’intéressa à cette science que ses frères appréciaient particulièrement ; les armes. C’est d’ailleurs l’un d’eux qui lui apprit quelques trucs dans ce domaine avant qu’elle trouve professeur plus qualifié pour lui monter les bases de cet art que personne ne lui avait imposé. Ce fut dans la même année que la petite princesse découvrit ce qu’était la liberté, le bonheur que l’on pouvait éprouver à se promener dans la rue de nuit et seule ! Une période de vagabondage commença alors pour notre demoiselle. Une période qui n’est pour son plus grand bonheur pas achevée.
Lorsque la famille Hirmal due subir en silence le second départ d’un de leur enfants, Efir avait 14ans et des poussières. Elle n’était plus la fragile et douce poupée qu’elle avait été pendant des années. Et la disparition de ce demi-frère la toucha une fois de plus profondément au même titre qu’il désola le reste de la famille. Néanmoins elle sembla s’y résoudre. Comment lutter contre une chose que l’on ne contrôle pas ?!
Quelques semaines plus tard, c’est notre demoiselle qui disparut. De la façon la plus mystérieuse qu’il exista. Ce jours la elle ne revint pas d’une de ses promenades nocturnes. Un enlèvement ? une fugue ? Toute personne susceptible d’avoir des informations sur la disparition de notre princesse est priée de se présenter au palais !
Une année a passé. Et Esfir Hirmal reparaît, cependant ce n’est pas aux côtés de son peuple.
Personne ne le sait, mais la petite princesse du désert se cache sous les traits d’une jeune fille alliés aux rebelles. Pourquoi ?! Comment ?! Par quels moyens en est-elle parvenue là ?! Une seule personne pourra répondre à vos questions. Et elle se prénomme Esfir.
-Description de ses pouvoirs :
Un pouvoir, si s’en est un. Esfir a une certaine affinité avec un corbeau. Il na pas de nom si ce n’est « corbeau ». Il s’est apparemment lui aussi lier d’amitié avec notre jeune demoiselle. Pour une raison qui lui est inconnu, ce Corbeau ne la lâche plus depuis le jour ou elle le trouva en train de fouiller dans un sac qui contenait ses effets personnels. Drôle d’oiseau pour une demoiselle comme Fira n’est ce pas ?! Pas d’inquiétude elle le pense aussi…
-Description des armes :
Si les instruments de musique sont des armes, alors ils font partis de cette panoplie d’arme appartenant à Fira. Une flûte en bois de chêne et une petite harpe qu’on lui à offerte pour l’un de ses anniversaire elle aussi en chêne.
En ce qui concerne les « autres » armes. Esfir dispose d’un poignard en argent massif, petit objet d’on elle ne se sert jamais, mais ne vous y méprenait pas, elle sait s’en servir.
Ma fiche Respecte-t-elle tous les critères? =D