Départ pour ceunon

Par un matin, dans un petit village au coeur de la fôret Du Wellenvarden, survint un long cri strident...un grand homme recouvert d'un long manteau noir s'approche de nous, tends la main... Je vois Martin tomber raide mort. Effrayé, j'attrape la pierre et je cours, je cours encore et encore...



Oromis se reveilla en sursaut, la sueur lui coulant le long du dos. Encore ce rêve horrible! Il n'en finira donc jamais de le hanté... Qu'est ce que cela signifie...
Il se leva, s'habilla rapidement et descendit au rez de chaussé. Il entra dans un petite cuisine douillette où sa mère fesait la cuisine. Il s'assit a la vieielle table en bois de chèene robuste et attrapa un bout de pain et du beurre pour commencer son petit déjeuner.

- Où est papa?

- Il est parti à la chasse..

- Sans moi!!!

- Tu dormais il ne voulait pas te reveiller

- Rohhhh... *au moins je vai pouvoir allé voir glaedr plus longtemps* Tu as besoin de moi ce matin? *autant ne pas eveiller de soupçons en disant que j'ai des choses a faire :/*

- Non tu peux faire ça que tu veux.

- Ok je vais allé voir tonton au village il doit être à la forge avec les autres elfes.

- Fait attention à toi surtout.

Mais Oromis était deja parti retrouver Glaedr

*rejoinds moi à la clairière habituelle*

*D'accord petit homme*

Oromis aimait bien passer du temps avec son dragon, dans le plus grand secret bien entendu... Il n'oserait pas affronté la réaction de ses parents. Arrivé a a clairière, Glaedr l'attendait déjà, prenant la moitié de l'espace. Il était deja grand, mais d'après ce qu'il lui a dit, il existe de bien plus grand dragon. Oromis avait bien du mal a le croire, mais bon les dragons étaienet encore une nouveauté pour lui.
Pendant trois ans il était parti à la capitale pour reçevoir une formation de dragonnier. Mais bon il n'avait pas un grand pouvoir magique mais par contre il se trouve qu'il se bat très bien. Son professeur lui avbait dit que son entrainbement était finit et qu'il aprandrait désormait seul. A regrés, oromis avait quitté la caputale elfe pour revenir dans son village.
Toute la matiné, il resta avec Glaedr à s'entrainer et à s'amuser à survoler la forêt.

Mais pendant qu'ils étaient en train de rentré, un bruit strident retentit qui glaca le sang d'Oromis qui fallit tomber. C'était le même bruit qu'il y a 10 ans lors de se funeste jours oùMartin est mort.
mais d'où venait le bruit que s'était-t-il passer...




HRP Bon c'est histoire de me remettre dans le bain je le fait en trois partie surement^^ mais bon ça vous met deja le debut. par contre je craind qu'il y est des fautes désolé... /HRP

Le crépuscule était tombé sur la forêt, un point doré avançait à une vitesse considerable. Glaedr battait des ailes frénétiquement en descendant le flan de la montagne. Oromis, le regard noir tenait fermement les lanieres de cuir. Anxieux il regardait passer devant lui la derniere montagne qui le separait de son village.

Quans il l'aperçu, une maison était en feu, il y avait de l'agitation dans les rues. Des gens sortaient, amres aux poings et se precipitaient vers la petite place au coeur du village. Il était encore plus anxieux notament par ce cri qui lui fesait froid dans le dos et cette batisse en flamme.

Plus il s'aprochait, plus il aperçevait les differents combattants. Plusieurs elfes fesant partient de ces connaissances se battaient contre une sorte d'armée de montres vert, pas très distincte à cette hauteur. Il n'avait jamais vu son peuple se battre, peut-être s'était il fait une vision de ces villageois qui n'était aparement pas conforme à ce qu'il voyait.

Il aperçut un homme, ou plutôt une sorte d'homme vêtu d'une grande cape noir avec une ample capuche couvrant son visage. Il tenait une grande épee d'un noir qui donnait des frissons. Ce devait être le chef de la bande. En tout cas il feintait et se battait avec une agilité déconcertante. Il se posa non loin de la place et courut à tout vitesse, l'arme au poing. Une main se posa sur son épaule, l'arretant dans sa course. Il se retourna presipitement et faillit couper la tête a son père!

- Ne me sureprend plus jamais comme ça! Que se passe-t-il ici? Qui sont ses monstres!

Sont père était en sueur, tenant une longue épée simple mais imposante dans sa main.

- C'est une troupe d'Urgals commandé par un Ra'zac.

- Qué que quoi? Qu'est ce que c'est que c'est urgmachinchoses!

- Je t'expliquerais plus tard, cela fait 50 ans qu'ils n'ont pas remis les pieds sur nos terre, cela peu ne signifier qu'un chose, tu nous a caché quelque chose d'important.

- J'a...

- C'est pas le moment aller viens!

- Mais...

- Viens on a besoin de toi!

Il fit un signe de tête et reprit sa course vers les combats. Il s'engagea avec les premier Urgtrucs qu'il croisa. Il était vraiment horrible. Il se battait avec une grande hache qui aurait egorgé un taureau. Il se debarrassa rapidement de se premier adversaire.

Ses combats le menèrent rapidement au centre de la confrontation et il se retrouva bientot face a cet homme, ce ra'zac comme ils l'appelaient. Il se deplacerent tout deux en cercle, s'epiant l'un l'autre, mesurant la force de l'adversaire avant de lancer la première attaque...

HRP : Bon aller je suis mechant j'arrete la /HRP

HRP : Suite et fin de ce rp, pleurez pas y en aura d'autre^^ et les autres seront surement avec ceux qui le souhaitent, enfin je verais mais en attendant profitez de la fin et du départ pour ceunon /HRP

Oromis regardait la face de son adversaire, ou plutot il regardait le trou d'un noir impénétrable qu'il pouvait aperçevoir derrière cette capuche. Mais il sentait parfaitement un regard glacial posé sur lui, un regard qui le fesait frissoner. Que pouvait être cette chose face lui?, comment pouvait-il existé un monstre pareil?, et pourquoi était-il ici par sa faute? Tant de questions sans réponses... Mais l'heure n'était pas aux questions mais aux armes, Oromis n'était pas sur de gagner mais il ferait son possible pour tenir cet ennemi à l'ecart de son peuple.

Le coup arriva si vite que Oromis eut du mal à l'esciver. Le Ra'zac s'était élançé sur lui à une vitesse surprenante. Même les meilleurs guerriers n'étaient pas si rapide. Les coups s'enchainèrent sur la même cadence, les deux adversaires tournoyaient, feintaient, attaquaient. Des éticelles s'envolaient à chaque contacts des deux lames qui s'entrechoquaient avec violence et rapidité. Oromis commençait à s'habituer au jeu du Ra'zac. Anticipant les coups, cherchant une faille. Mais regulierement, le Ra'zac changeait de tactique, se retournant, changeant de coté ou même en sautant par dessus Oromis pour reprendre le combat...

Oromis commençait a fatigué, les coups pleuvaient, avec un rapidité telle qu'il avait du mal à suivre. Cet adversaire était vraiament trop fort.... Alors qu'il se croyait perdu, il ferma les yeux mais entendit un bruit de de corde qui se relachait brutalement, la corde d'un arc; Puis un cri horifiant surveint, ce cri, celui qui le hantait tout les jours. Il ouvrit les yeux et vit le Ra'zac fuyant, une flèche dans le dos et criant. Tous les hommes autour de lui avaient les mains plaquées sur leurs oreilles...

Oromis aperçut sont père qui courait vers lui, un arc à la main, la tête recouvert de sang et de sueur. Son armure de cuir habimée par les coups. Il aprochait, le ragard plein de peur. Il avit peur, peur pour son fils...

- Comment vas tu mon garçon?

- Ce cri...

- Tout va bien maintenant. Viens avec moi, les Urgals sont partient, nous avons peu de temps mais assez pour discuter.

- Ils vont revenir? Mais le ra'zac tu l'as touché!!

- Ils reviennent toujours. Mais ils ont compris qu'il auraient du mal à te capturer donc ils vont allé chercher du renfort avant de revenir.

- Me capturer!!!!

- Viens on a beaucoup de choses à ce dire.



Oromis fut conduit jusqu'a l'auberge du village où étaient rassemblés tout les guerriers pour prendre un peu de repos. Son père le conduisit à une petite table au coin du feu et ils s'assirent et prirent quelque chose à boire. Ils étaient exténués. Ils y avait plusieurs morts malheureusement... Leurs corps allaient être mis en tombe sous peu...

Alhin, le père d'Oromis,regarda son fils avec inquiétude.

- Comment s'appelle-t-il?

- Qui?

- Ton dragon.

- Mon dr... comment l'as tu appris?

- Tu auras du mal à me cacher un dragon, et ce voyage à la capitale pour soi-disant une formation de guerrier m'a mis la puce à l'oreille. Je me suis douté qe tu allais a la capitale pour te formé comme dragonnier. Depuis le jours ou tu nous est revenu de la forêt, en lames... Tu avais vu un Ra'zac se jours la n'est'ce pas?

- Oui..Il a tué Martin.

- Je sais...et seul un dragonniers peut faire venir un Ra'zac jusqu'ici. Tu aurais du te confier à moi.

- J'avais peur de ta réaction... Mais quand je vous est vu, tout le village se battre, je me suis dit que je m'étais surement trompé. Je vous croyais de simples paysans qui renient leurs statue d'elfes.

- Nous sommes des guerriers, nous l'avons toujours été, ce n'est pas en reniant les autres elfes que nous avons perdu nos talents. Il faut que tu sache quand dans ce monde, un homme fait reigné la terreur. Galbatorix, c'était un ancien dragonnier. Il a perdu son dragon lors d'un bataille et en a volé un autre pour se proclamer roi! Les Urgals sont sous ses ordres et les ra'zacs aussi... Si ils sont la c'est qu'il te cherchent. Tu représente une menace pour eux.

- Une menace?

- Tout les dragonniers vivant sur ces terres sont soit alliés soit ennemis de galbatorix. Certains d'entre vous ont été corompu et on rejoind les rangs de Glabatorix. Un petit nombre se bat pour faire regner la paix... trop peu malheureusement. Tu dois les rejoindre! Il seront te protéger. Mais tu sera poursuivis par ces Ra'zac. Va à Ceunon et fuit vers les montagnes. Tu y trouvera les vardens. Ils pourront t'aider. Notre village c'est allié avec eux. Ils seront te conseiller.

- Mais et vous?

- Nous te couvriront, mais le ra'zac comprendra vite que tu est parti et nous laissera tranquil, enfin je l'espère.

- Je refuse qu'ils vous arrivent quelque chose!

- Ne t'en fait pas pour nous, tu doit partir et faire le bien dans se monde. Tu dois combattre galbatorix.

- Oui... Glaedr.

- Glaedr?

- C'est son nom, il m'attend dans la forêt depuis le debut de la bataille.

* Et il se fesait un sang d'encre pour toi! *

- Prend bien soin de toi mon fils.

* J'y veillerais *

Oromis se leva et rentra chez lui. Il se lava, s'habilla rapidement et emporta plusieurs choses pour le voyage. Il accrocha bien sa ceinture et prepara un selle pour Glaedr comme on le lui avit appris. Il approcha de la bordure de la fôret. Gladr l'attendait, majeustueux, pret à s'envoler. Il monta sur son dos et s'envola jusqu'a la place du village. Il embrassa son père une dernière fois et parti pour Ceunon sous les yeux ebahient des villageois...