Bon, moi j'ai écrit le début d'un livre. Je voudrai savoir ce que vous en pensez.
Histoires de créatures
Chapitre 1 : présentation
Cette histoire se passe dans un monde nommé « Oloy ». A son origine les Elfes des montagnes et les dragons le peuplaient. Les Elfes des montagnes étaient des êtres dotés de taille moyenne, ils avaient une vue perçante et pouvaient utiliser de grands pouvoirs magiques. Les Dragons, eux atteignaient cinq mètres une fois adultes, avaient le pouvoir de voler et de cracher du feu, et pouvaient vivre plus de trois mille ans. Les Elfes et les dragons ne purent que se battre, car le continent leurs paraissait trop petit. Mais un jour, un Elfe monta sur le dos d’un dragon et la paix fut établie. Une paix bien fragile. Pour la consolider, les deux peuples firent un pacte: ils unirent leurs forces pour créer un nouveau peuple : les Elfes des forêts. Ce nouveau peuple hérita de la vieillesse des Dragons, et conservèrent les talents de leur autre créateur. Leur tache était d’assurer la pax dans le continent entier.
Un jour, malheureusement, un Elfe montagnard tua un Dragon et les deux peuples rentrèrent en guerre. Les Elfes des forêts utilisèrent la magie pour empêcher un confrontation, mais le sort rata. Des milliers d’Elfes des montagnes et des forêts furent massacrés ainsi qu’un grand nombre de Dragons. Les Elfes montagnards partirent du continent laissant les Elfes et les Dragons a leurs tristes sort. Les Elfes disparurent dans les lieux les plus profonds de leurs sombres forêts, et les dragons, établirent leurs terres sur des îles rocheuses. Les grandes plaines jadis si fertiles devinrent des déserts et trois des cinq grands fleuves furent asséchés. Deux peuples avaient encore a naître: les nains et les hommes.
Les montagnes virent naître d’étranges créatures; les nains. Les petits hommes naissaient en fait de rochers. Les nains, explorèrent les montagnes en creusant des galeries, mais s’aperçurent rapidement de leurs talents : ils étaient d’habiles forgerons et de bons mineurs. Il étaient également bon au combat. Les hommes, eux apparurent, crées par leurs dieux célestes : Elastor était le plus connu, car il avait crée la vie sur terre, il y avait aussi Celsa, la déesse de l’agriculture et Cernag, le dieu de la guerre. Les hommes s’établirent sur la plus grande partie du continent. Ils ignorèrent longtemps la présence d’autres peuples.
Les nains furent les premiers a se monter sur la surface. Les hommes, les considérants comme demi-hommes, crurent bon de les rendre esclaves. Malgré de nombreuses batailles contre les hommes, les nains furent vaincus et réduits a devenir des moins que rien. Un seul espoir les faisaient vivre, celui de voir un jour naître l’élu, celui qui les libéreraient et qui les vengerai. Il ne vint jamais. Les dragons ne donnèrent aucun signe de vie car affaiblis, ils ne souhaitaient pas revoir la guerre. Quand aux Elfes, conscients du sort du reste du monde, ils se tinrent a l’écart avec leurs sombres pensées.
Notes : 18/20
Chapitre 2 : esclavage
Odyr abattit sa pioche dans une roche. La sueur coulait de son front. Il rabattit sa pioche dans un gémissement. La chaleur était insupportable. Un nain s’écroula a ses cotés. Il était pale et tremblait.
- Relève toi ! hurla un garde, la lance au poing. Relève toi !!!
Le garde donna des coups de pieds au mineur qui semblait incapable de se relever. Odyr ne supportait plus cette vie. Dès dix ans, il avait travaillé dans cette mine. Sans relâche, la poussière dans la figure, et avait été battu un grand nombre de fois. Trop de fois. Il se rua sur le garde et le plaqua contre la paroi du mur. Un craquement sourd se fit entendre. Le garde venait de rendre l’âme. Une flèche siffla a deux centimètres d’ Odyr. Il courut a la sortie, ou une dizaine de gardes étaient placés. L’un d’entre eux bondit vers lui. Le mineur sentit la lame de son adversaire le transpercer. Il ressentit une douleur d’incroyable intensité. A présent, il allait mourir, comme les plus braves soldats nains, jadis. Que les hommes soient maudis,se dit il. L’homme devant lui eu un rictus de douleur et une bulle rouge éclata sur ses lèvres. Un éclair jaillit du ciel, pourtant le ciel était bleu, et une explosion frappa tout le monde. Des roches volèrent en tout sens, tuant des mineurs en grand nombre. Expulsé a terre, Odyr eu de la chance, car il ne subit aucun gros dommage, seulement quelques blessures. Il tenta de se relever, mais tout s’embrouillait dans son esprit : que s’était il passé ? Comment le garde était mort ? Y avait t il des survivants ? Puis tout devint noir…
Chapitre 3 : Erreur Elfique
Le monde des Elfes était vaste, et peuplé de nombreuses créatures. Les villes principales étaient : Elna, ville de l’histoire, Loupir, ville du commerce, et Restar, ville de la magie. Ce monde était aussi constitué de nombreux villages, tels que celui des voleurs, celui des morts et celui de le rivière ( la rivière était une grande étendue d’eau qui était la seule a traverse entièrement le monde Elfique). Chaque habitations étaient faites à partir de bois mort et d’une protection magique. Celna était la fille d’un conseiller et d’une artisane. Les conseillers se réunissaient pour gouverner le pays, car il n’y avait pas de roi. Sa mère, elle, était la meilleure du monde elfique pour fabriquer des épées, des arcs, et des dagues. Celna avait grandit avec ses amis jusqu’à 11 ans : la fin des cours élémentaires. Elle avait alors fait des études de magie. Les Elfes avaient tous un dont pour la magie, mais beaucoup ne connaissaient que le strict minimum en cette matière. Les autres, ceux qui avaient un vrai dont, apprenaient a maîtriser un élément et a partir de celui-ci, apprenaient de nombreux sorts. C’était cette voix, tout a fait honorable, qu’avait choisit Celna. Ce jour là, elle cherchait un livre de magie avancée et avait eu l’autorisation d’aller dans la partir interdite de la grande bibliothèque. En temps normal, ce privilège était réservé aux sages et aux érudits, mais l’apprentie magicienne eut tout de même la chance, ou malchance, d’y pénétrer. Elle passa dans un couloir et déboula dans une rangée de livres sur l’histoire. Elle regarda distraitement les noms des livres et ses yeux se posèrent sur : Histoire des Elfes depuis l’avant guerre. Or, il n’y avait jamais eu de guerre, d’après les sages. Etrange. Elle fit mine de chercher l’autre livre, mais partit avec cet étrange livre. Une fois chez elle, elle s’enferma à double tour et s’allongea sur son lit. Elle lut le livre en une seule traite. Une fois qu’elle eut finit, elle se révolta. Comment les anciens avaient put ? Comment le conseil … ? Qui avait décidé cela ? Pourquoi le conseil ne l’avait pas dit ? La colère éclata dans le cœur de Celna. Elle avait à parler avec son père. L’apprentie magicienne sortit de sa chambre et bondit dans la chambre de ses parent.
- POURQUOI N’AS TU RIEN DIS A PERSONNE, TOI ET LE CONSEIL ?!!! VOUS AVEZ LA TACHE DE PRENDRE DES DESCISIONS POUR LE PEUPLE, MAIS VOUS NE LE PREVENEZ MÊME PAS LORSQUE LA GUERRE EST A NOS PORTES !!! SAIS TU QUEL SCANDALE CELA FERA SI JE PROUVE AU PEUPLE QUE DEPUIS PLUS DE CENT ANS, VOUS NOUS AVEZ MENTI ??? LES NAINS ET LES DRAGONS SOUFRENT DEPUIS PLUSIEURS SCIECLES ET VOUS NE DAIGNEZ PAS D’EN INFORMER LE PEUPLE !!! LES ELFES NE SONT PAS LES MARIONETTES DE FOUS QUI DIRIGENT LE CONSEIL EN PRETENDANT MENER LEURS PEUPLE VERS UN HAVRE DE PAIX !!!!
Le conseiller était vert pale et Celna était pourpre. Des boules d’énergies s’étaient formées dans ses mains. Elle s’avança vers son père, en le foudroyant du regard.
- Je demande audience devant le conseil.
Chapitre 4 : La décision
Une semaine s’était écoulée depuis l’entrevue entre le père et la fille. Celna était allongée dans un champs, au milieu de fermes Elfiques. Elle admirait la prospérité des Elfes, mais elle savait que cette prospérité, était dut à de la traîtrise de la part des Elfes. Un vieil homme vêtu de noir vint la voir. Il avait les traits affinés au fil du temps, ses cheveux lui tombaient aux épaules, et son regard était perçant et lucide.
- Celna, je te connais plus qu’aucun Elfe. Je connais la raison de ta colère, et pourquoi tu demande audience au conseil. Cela m’impressionne que tu connaisses déjà autant de choses sur notre passé. Mais ton intention est vouée à l’échec : personne ne retrouvera l’élu. Enfin, si, on le peux, mais pas seul. Si tu réussit à obtenir raison, je t’accompagnerai, et nous seront alors deux, à tenter une noble tache.
Celna se leva et regarda Calanar en se demandant si il était sincère.
- Merci Calanar, mon maître, pour votre soutient. Je tenterai une expédition, avec ou sans accord du conseil. Je suis consciente du danger de la tache, et du nombre de personnes nécessaires pour accomplire un tel but. Mais je jure au nom de mes ancêtres que je trouverai l’élu et l’aiderai à vaincre les hommes. Quelles que soient les années de travail, je le ferai !
- Et avec tes parents, ça va ?
- Très bien avec ma mère, beaucoup moins bien avec mon père.
- Je m’en doute… au fait, quand est l’audience ?
- Dans une heure. Ils vont en baver.
- A dans une heure !!!
En éffet, Calanar était âgé et avait droit à assister aux audiences.
Celna sentit une boule de tension se créer dans son estomac quand elle alla vers la salle du conseil.
Et si ma preuve n ‘est pas suffisante ?
Quel sera mon châtiment pour avoir accusé le conseil des sages ?
Elle vit de nombreux passants se tourner vers elle en grommelant des insultes, et d’autres s’écarter d’elle comme la peste.
Mais Celna se fichait de se savoir non-respectée, même par ses anciens amis. Elle était prête à tout pour trouver l’élu, pour tenter de faire oublier les tares de son peuple. Et si pour cela elle devait être oubliée par ses proches, tant pis. Si elle devait le faire seule, elle le ferai. Celna arriva enfin devant l’entrée du Conseil : la Grande clairière. Cette Clairière était réputée chez le peuple des forêts ; une légende racontait que les premiers Elfes habitaient là. On y avait retrouvé de nombreuses traces d’occupation et la fameuse légende était possible. Un guerrier fit signe a Celna de renter. Elle y pénétra et se retrouva rapidement dans une grande clairière, éclairée par le soleil, où étaient placés une grande table en chêne et une rangée de chaise. Une dernière chaise était placée en face de la table, où l’apprentie magicienne alla s’asseoir. En passant, elle regarda les Conseillers, vêtus de tuniques brodées d’or et de vert, avec une lueur de défit dans les yeux. La plus part étaient âgés, mais certains étaient assez jeunes, comme son père. Le Grand conseiller était facilement reconnaissable : c’était le plus grand et le plus imposant. Il était vetu d’une robe pourpre et argent, signe distinctif. Ce fut aussi le premier à prendre la parole :
- Bonjour à toi Celna, fille de Daiklan et ce Naosis. Tu es venue ici demander audience au Conseil sur un sujet qui ne nous à pas été dit. Pourrais tu nous éclairer de ta lucidité ?
-Bonjour à vous, Kyle, et je salue en vous les trente sept membres de ce Conseil. Je suis venu vous demander audience pour vous monter ceci.
Elle sortit de son en cuir le vieux livre et le montra au Conseil, qui semblait ignorer son existance.
- Qu’es ce que ceci ?
-C’est la preuve de vos mensonges. Ecoutez :
Nous autres Elfes, après avoir faillit à notre tache, nous nous sommes réfugiés dans nos forêts pour échapper aux hommes. La guerre éclate dans la vallée mais nous ne combattrons pas, car trop de sang a été coulé. Le savoir de notre passé sera uniquement transmit au membres du Conseil, jusqu’à ce qu’aucun Elfe ne soupçonner se passé. Il faut un élu pour protéger les nains, mais ils n ‘en méritent pas un.
Car ce qui c’est passé, vous le savez comme moi, mais nous sommes tellement bien chez nous qu’il ne faut surtout pas se soucier de ceux qui souffrent de notre faute. C’est vrai que ce serai dommage.
-En effet, tu as raison. Nous sommes en tort.
- Et le direz vous au peuple ?
- Non.
-Dans ce cas, je demande l’autorisation de quitter notre belle forêt pour aller chercher l’élu.
La stupeur se lut sur le visage des Conseillers.
- Tu ne partira pas sans notre soutient. De quoi as tu besoin ?
- D’une caravane, de vivres, d’armes, de chevaux et peut être de tranquillité ?
- Nous te fournirons ce dont tu as besoin.
- Merci. Je n’ai rien a ajouter.
- Dans ce cas, le débat est clos. Tu as l’autorisation de partir dans trois jours, et nous te souhaitons bonne chance.
Les conseillers se levèrent un par un pour partir et Celna foudroya du regard son père. Elle rencontre au retour son maître Calanar, qui semblait inquiet.
- Le départ sera ici, dans trois jours. Je compte sur vous.
Elle pensait qu’en lui disant cela, elle l’apaiserait, mais Calanar était toujours aussi pale et ses yeux brillaient maintenant de peur.
- Celna, si tu as un délai de trois jours, c’est beaucoup trop long. Le Conseil manigance quelque chose. Tu ne l’as pas remarquée ? ils ont cédés beaucoup trop rapidement. Ce n’est pas normal. Tu es en danger.
Celna sourit faiblement au vieillard, et lui murmura :
- Je serai sur mes gardes.
En rentrant chez elle, elle fut violemment plaqué à un arbre, incapable d’émettre le moindre geste. Il y eu comme un souffle glacé, suivit d’un murmure :
- Tu n’aurai pas du faire cela. A présent, tu vas payer.
La magicienne sentit alors un métal froid pénétrer dans sa peau, puis une vague de douleur. Elle tomba a genoux, le souffle coupé, la vue brouillée. La dernière chose qu’elle vit, avant de sombrer dans l’inconscience, ce fut la silhouette d’une ombre verte et or s’éloigner.
Une mauvaise nouvelle ?
Depuis la révolte des esclaves au centre de Goula, Tomas était traité en vermine et battu en constance. Son histoire était bien triste et Tomas essayait de l’oublier. Mais à chaque coup qu’il recevait, il avait un goût amer dans la bouche en pensant à sa vie. Aujourd’hui, il encaissait à la place de tout les nains révoltés, ou plutôt, morts… Un violent coup de fouet le frappa à la nuque et Tomas tombas a genoux, le sang lui coulant dans le dos.
- Rat ! Lève toi !
- Non maître. Je ne suis pas un rat… mais bel et bien un adolescent battu par imbécile.
Un coup de fouet le frappa dans le dos, suivit d’un deuxième. La douleur était insupportable, et Tomas se mit à crier.