Histoire encore sans nom...

Prologue

Quand les Hommes vinrent en Avegan, la terre était sauvage. Au fils des ans, ils parvinrent à la dompter ; elle était à l'image des chevaux un moyen de transport et à l'image des chiens leur fidèle compagne. Mais en perdant sa liberté, toute la magie qui se trouvait en son sein sembla s'évaporer.
C'est ainsi que les dragons firent leur apparition. Fiers béhémots au coeur pur et à l'intelligence acérée, ils ne devaient allégeance qu'à eux-même. Pendant des décennies, ils livrèrent bataille contre les humains. Les deux peuples faillirent totalement disparaître. Mais l'évènement qui les sauva fut la rencontre fortuite entre un jeune garçon d'écurie et la matriarche des dragons. Du dialogue qui se tint entre les deux représentants, il n'en reste que des rumeurs. Et la plus populaire est celle-ci :

- Que... Que veux-tu de moi ?! Haletai l'humain.
« Je désire lier un pacte. »
- Quoi... Quoi ? Tu parles ? Mais, enfin...
« Silence. Oui, je parle, tout comme toi. Et je te propose de stoper le bain de sang qui sépare nos deux peuples. As-tu compris ? » Grogna la dragonne.
- Un pacte ? Soit. Qu'y gagnerai-je, Ô Puissante dragonne ?

La matriarche ferma les yeux, s'accordant un temps de réflexion. Elle ne pouvait pas leur accorder tout et n'importe quoi. Les humains sont si cupides qu'ils seraient capable de se mettre en tête de rechercher les autres dragons pour obtenir un don... Mais le problème ne résidait pas là : d'une part, il n'y avait qu'avec l'autorisation de la dragonne-mère qu'ils pouvaient leur offrir quoi que ce soit et d'autre part, certains risqueraient de très mal réagir à leur requête. En d'autres mots, de les dévorer, ce qui risquerait de re-déclencher la guerre. Cependant, Bjartskular ne pouvait essuyer un refus ; la vie de sa race et d'Avegan toute entière reposait sur le choix de ce jeune individu. La magnifique dragonne posa la tête au sol et souffla bruyamment :

« Je t'offre l'immortalité et la magie qui vit en moi ».

Le garçon d'écurie, qui se nommait en réalité Frédric, ne s'attendait pas à une telle proposition. Malgré son jeune âge, il était beaucoup plus sensé que les plus vieux, et cela, la matriarche l'ignorait. Il l'admira, fière et immobile sous le coucher de soleil, ses écailles d'un noir profond reflétant les couleurs sans toutefois les altérer. Il aposa sa main sur le front de la dragonne, comme s'il s'agissait d'un quelconque remède pouvant la sauver.

- J'accepte. Je suis conscient que cela te coûte énormément et je te jure, sur mon honneur et sur mon sang, de protéger Avegan, au péril de ma vie.
« Je t'en suis reconnaissante, Pendragon, chef dragon. »

C'est ainsi que la terre d'accueil des hommes sembla revivre. Les nains, qui étaient jusque là restés cachés dans leurs demeures souterraines pointèrent enfin le bout de leur barbe à l'extérieur.
Frédric et Bjartskular eurent du mal à se faire accepter de leurs congénères ; surtout que le jeune Pendragon avait presque perdu la totalité de son apparence initiale pour devenir plus beau, plus fort aussi. Ses oreilles s'étaient allongées, en forme de pointe, son visage s'était sculpté pour arborer des traits fins, et son corps tout entier était devenu plus svelte, comme s'il avait été taillé pour ne faire qu'un avec le vent, afin d'acquérir puissance, grâce et vitesse. De même que sa dragonne avait perdu son air agressif, devenait plus docile et montrait beaucoup plus de compassions pour les êtres humains, qu'elle méprisait auparavant.
Un jour, Frédric demanda à sa partenaire de former un Ordre. Il semblait évident désormais qu'il faudrait toujours un Pendragon, voir plusieurs, en Avegan pour faire maintenir la justice et la paix. De plus, un ennemi, venu du Nord, venait d'apparaître, brisant l'équilibre précaires de leurs peuples. Pour l'instant, le duo avait réussi à repousser les vaines attaques de ces derniers : les Orcs, ainsi qu'ils les avaient nommés, étaient beaucoup plus grands qu'un homme, car ils atteignaient sans peine les trois mètres, leur peau avait une étrange teinte vert sombre et leur musculature impressionnante avait de quoi faire pâlir l'humain le plus musclé. Malgré leur ressemblance avec cette race, leur visage défiguré par leurs crocs prohéminents trahissaient leurs origines. Ces féroces combattants avaient émigrés des montagnes Nordiques à cause de la rudesse du climat. Pour parer à toute éventualité, Frédric avait alors songé à former un Ordre de Pendragons.

Voilà. L'épilogue n'est pas encore fini ^^ voui, je sais, c'est peu, mais c'est surtout pour savoir ce que vous en pensez
A vos claviers !

C'est vraiment pas mal du tout !!
Ca fait vraiment pensé à Eragon . C'est normal ??

personellement je changerai le premier mot, je mettrai PROlogue...

Sinon Calypso à raison, par certains point, ça fait penser à Eragon.

même avis, mais c'est pas mal. J'aime bien le coup du Pendragon ( sachant que j'aime bien tout ce qui est Celte...mais je m'égare là)

Mais ca fait bien. En plus ce n'est que l'épilogue si je comprend bien; Donc dans le livre ca ne va peut être pas être identique.

prologue, confond pas début et fin, et dans tous les cas, si c'est un copié-collé, ça ne passera pas, et si les influence sont trop forte non plus.

Oups ! C'est vrai : prologue !

Je l'ais lus rapidement, je ne vois pas trop les ressemblances...

parti lié un pacte, vie plus longue que la normal (poussé à l'extrème dans ce cas), garçon jeune mais censé...

Dans l'oeuvre de Paolini, et dans d'autres livre, il y a des ressemblances plus frappantes. La c'estsoft. Peut etre le nom Pendragon est à réviser... et encore, le plus important, c'est le fond.

Moi je trouve ça pas mal du tout...pour les ressemblance...on s'en fiche ^^ Du moins c'est mon avis !