Enlevage [poste privé Erzsébeth/ Eomer]

HJ: Ce rp a lieu après "Perdue" qui est à Thérinsford/HJ

Erythrine était tranqilleent en train d'attendre le retour de son père dans sa chambre. Il avait été convoqué en même temps qu'Erzsébeth pour expliquer son départ "précipité" d'Uru'baen. En attendant qu'il ne revienne, Erythrine s'amusait avec ses poupées que lui avait offert son grand-papa. Elle était en train d'expliquer la rencontre entre la princesse Padmée et le beau Anakin, jeune chevalier de l'ordre impérial. Erythrine venait tout juste de les dépose par terre quand elle entendit des bruits de pas provenant de derrière elle, elle se retourna et se retrouva face à un homme entièrement vétu de noir. Il la regarda avec un regard étrange, un mélange d'envi, de jalousie, de froideur et de méchanceté. Erythrine en avait froid dans le dos, que fasait cet homme dans s chambre à l'interieur du palais? il avait du se perdre:

Monsieur, vous cherchez quelquechose? Vous avez du vous perdre car vous n'avez pas les accès à cette partie du palais...

L'homme ne prit pas la peine de répondre et attrappa Erythrine. Cette dernière le regharda, surprise puis commença à se débattre...

Papa!!! Papa!!! A l'aide!!! Erzsé!!! madame Vanita!!! Plume!!! Pap!!! A l'aide!!!

Mais personne ne vint et Erythrine se retrouva ligotée sur le dos d'un dragon qui s'envolait s'éloignant rapidement d'Uru'aen. Dans la chambre de la petite Erythrine il y avait une lettre pour sonpapa qui disait qu'Eomer n'aurait jamais u trahir les Vardens et que maintenant ildevrait payer le prix fort.

Edit Héloïse :
J'hesitait a la dire, mais ne serait-ce pas plutot Enlèvement ?

Erzsébeth, rentrée de son voyage après avoir trouvé la petite Erytrhine s'était biensur attendue à se voir convoquée par le roi, mais pas si rapidement, ni avec Eomer. Ils étaient tous les deux devant lui qui pouvait si facilement sonder leurs esprits. Erzsébeth se rendit vite compte ue quelque chose n'allait pas, au comportement d'Eomer et de Galbatorix. Pourquoi Eomer sortit-il de la pièce si rapidement, sans leur jeter un regard ? La jeune femme regarda le roi, il n'avait eu l'air de prendre ombrage de la conduite du dragonnier. Ce qui voulait dire que c'était important. La jeune femme aux cheveux noirs suivit les deux hommes, tout en réfléchissant. Une seule chose pouvait faire réagir cet homme comme cela : sa fille. Ayant passé autant de temps à sa poursuite, le jeune femme avait peut-être autant de raisons que lui d'être inquiète. Galbatorix avait mintenant une confiance complête en elle, elle ne voulait pas la mettre en péril.

Erythrine n'était plus là. Erzsébeth n'avait lu la lettre et ne pouvait savoir ce qui s'était passé, mais elle n'était pas bête : Une disparition, une lettre, donc un enlêvement. Et elle serra les dents. Bien que n'ayant de comparaison pour la douleur d'Eomer, elle n'avait connu un amour aussi fort, elle le comprennait entièrement. Plus boulversée qu'elle n'aurait voulu l'avouer, elle s'approcha d'Eomer, et se baissa jusqu'à arriver à sa hauteur.

"Eomer, ne t'inquiète pas, nous la retrouverons"

Erzsébeth jeta un regard sur Galbatorix qui hocha la tête. Alors, rassénée, elle continua a essayer de rassurer le père en detresse. La petite n'était rien pour elle, et pourtant attachante. Mais après avoir passé tant de temps à leur poursuite, elle ne pouvait accepter de voir son travail annéanti. Elle murmura pour elle : Oui, nous la retrouverons.

'Il y en a assez de se laisser marcher sur les pied par les Vardens... Cette foix-ci, ils vont le regretter... Erzsébeth, nous partons dans l'heure. Seigneur, je reviendrai avec ma fille, ou je ne reviendrai pas... '

Quelque chose dansla phrase, fit se raidir la jeune femme : Peut-être parce qu'il lui donnait un ordre et qu'elle n'aimait pas ça, peut-être parce qu'elle avait penser devoir argumenter sa venue, mais en tout cas, elle n'en montra rien. Eomer avait accepté sa présence, et cela seul comptait. Galbatorix n'avait émis aucune objection, cela aussi l'avait laissé perplexe. Puis, comme si la réalité lui avait sauté d'un coup aux yeux, elle prit elle aussi son épée. L'épée. Celle qui devait un jour la tuer. Ce n'étais pas le temps de pnser à cela.
Eomer avait l'air de vouloir y aller à dos de dragon, et la jeune femme n'étais pas sur de figurer sur la liste de ses préocupations. Shana l'accepterait-elle ? Ou pensait-il qu'elle irait à cheval? Non cela n'était pas possible...N'est-ce pas ? Erzsébeth n'était jamais monté sur un dragon, mais elle savait que sa soeur en avait un avant. Elle avait peut-être volé avec lui. Avant sa mort...
Silencieuse, la jeune femme s'apporocha d'Eomer, ne sachant pas quoi dire, ni comment réagir. Ses yeux allèrent se porter sur Shana...Peut-être que la dragonne la rapprocherait de sa soeur qu'elle avait tant essayé de trouver...

"Eomer, je..."

Mais les mots restèrent bloqué dans sa gorge. Elle n'avait quand même pas peur n'est-ce pas ? Non, bien sur, cela ne devait être que de l'appréhension !

HJ: De temps à autres je posterais un petit message pour qu'on sache ce qu'il arrive à Erythrine et qu'on l'oublie pas aussi /HJ


Erythrine était toujours ligotée et se trouvait bien peu stable sur le dos du dragon. A chaque fois que ce dernier bougeait ses ailes elle devait relever la tête pour éviter de se prendre un coup. Ses larmes s'étaient maintenant arrêter, elle avait fini par comprendre que cela ne servait à rien. Elle demanda doucement à l'homme qui l'avait ligotée de la détachée. De toute manière elle ne pourrait pas aller bien loin...

S'il vous plait Monsieur, je n'ai rien fait de mal, je vous promets d'être bien sage...

Elle n'avait aucune envie d'être gentille... Elle voulait revoir son papa, et Plume aussi, et son grand-papa, et Erzsébeth aussi. Elle ne ovulait pas restée sur le dos de ce vilain dragon avec ce méchant dragonnier. Pour toute réponse, il la frappa à plusieur reprises et les larmes remontèrent se nicher dans les yeux d'Erythrine avant de glisser lentement sur son visage d'enfant.

[HJ. On ne risque pas de l'oublier Ery XD]
[HJ2 Ce texte me réconciliera avec le Rp...:p mais je fais petit]

Erzsébeth avait pris la main d'Eomer le coeur battant. Dans quoi s'était-elle engagée ? Elle allait voler aux cotés d'Eomer, quelqu'un qui la detestait depuis le début, pour retrouver la petite fille de galbatorix... Son coeur qui battait, c'était l'apréhension. Shana n'avait pas l'air de la rejeter, mais ce n'était que pour sauver Erythrine. Eomer lui donna deux sangles, et Erzsébeth les regarda d'un air surpris avant de les prendre. Elle était fébrile, et se maudissait pour cela. mais il fallait bien se l'avouer, elle avait peur de voler. Elle fit un signe de tete à Galbatorix en guise d'adieu, et craspa ses mains sur la selle. Oh, elle n'était pas du genre à montrer sa peur et ses faiblesse, elle avait appris très tôt à les cacher et à ne pas les montrer. Mieux, elle savait les surmonter...
Quand Shana décolla, Erzsébeth retint son souffle, en s'éfforçant de ne pas fermer les yeux. Voler la rapprochait comme jamais d'eliaura...Elle suivait ses traces, même si elles divergeaient, et qu'elles s'étaient trop vite arrêtées.
Pour se concentrer, la jeune femme pensa à Erythrine et aux différentes solutions qui s'ouvraient à eux pour la liberer. Elle devait envisager toutes les possibilitées. Elle n'essaya pas de parler à eomer, elle se souvenait encore trop bien du regard haineux qu'il lui avait adressé lorsqu'elle l'avait retrouvé en fuite avec sa fille.
Ils étaient assez haut dans le ciel, mais volaient en dessous des nuages. Les paysages défilaient devant leurs yeux, et Erzsébeth vit le palais s'éloigner, les chemins qu'elle avait déjà pris ou un jour où l'autre devait prendre. Elle econnu les endroit qu'elle avait un jour traversés, les maisons où elle s'était arrêtée...On voyait tout d'un autre oeil de là-haut.
Lorsque la nuit commença à tomber, Erzsébeth se dit qu'ils feraient mieux de s'arrêter.
Mais Erythrine devait être ammenée devant les vardens, et il était plus facile de la récupérer dans le ciel ou même sur terre, que dans leur antre.
Erzsébeth aurait bien demandé l'avis d'Eomer, mais elle n'osait briser le silence qui avait pris place après le départ du palais.