Concours n°2 d'écriture - Textes

Voilà, normalement ce topic aurait du paraitre hier mais comme on était toutes les deux absentes, je le poste aujourd'hui.

Je rappelle que vos textes ne doivent pas dépasser les trentes lignes et que la contrainte est décrire un texte versifié.

Dans ce topic, seuls les textes ont le droit d'être postés pour tout commentaire ou réflexion c'est dans l'autre topic

A vos claviers!

Mon texte:

Douleur

Quand tout est sombre et plein de brouillard
Le monde apparait calme et insipide.
Quand on se ballade ainsi l'oeil haggard,
La vie est plate, la vie est vide.

Mais un soir au bout du couloir ça explose
La vie nous rattrape, reprend sa place.
Tout ce qui est caché, enfoui, ces ecchymoses
Nous revient fort, dur et puissant en pleine face.

On peut toujours pleurer, crier, voire même hurler
Le monde est vide, hostile et inhospitalier.
Peut importe les peines et les difficultés
Le tout est d'avoir une chose à laquelle se rattacher.

Pourtant je veux me battre et leur prouver
Que malgré leurs fautes inavouées
Je réussirais ce que je me suis promis
Et ce jour là vous regretterez d'avoir terni

La joie, la bonne humeur, la générosité et l'amour que je vous accordais.

Il faut savoir être à l'écoute,
Il faut savoir être patient,
Mais vous l'avez compris à vos dépends...

SO4

Tu crois que je ne t'entends pas.
Je sais que tu te moques de moi.
Tu me penses trop bête pour le deviner.
Et sans savoir qui je suis,
Tu cherches à me blesser
Mais prenez garde,de ce que je subis
Tout finis par revenir à l'envoyeur
Les mots sont mes armes
Le silence et le secret mes alliés
Je suis derrière ma carapace
Tu n'arriveras pas à m'atteindre
Jamais tu ne m'entendras m'en plaindre.
Essaies au moins de me regarder en face
Tu vois, tu ne supportes pas mon regard
Qui de ce que tu veux cacher est le miroir
Nies si tu le veux, tu ne feras que renforcer
Ce que je pense de toi.
Tu te crois si grand, tu n'as jamais remarqué
La bassesse que tout le monde voit
Oui tu peux rire de moi
Je n'en ferais pas grand cas
Tout simplement, les gens verront plus clairement
La façon don tu te mens.
Et la je saurais que les mots que tu as prononcés
M'auront vengée, sans que j'agisse jamais
Tu regretteras alors la fois où sans arrières-pensées
Je t'ai tendu la main même si tu m'avais blessée
Toi qui te prends pour un roi
Avant de parler maintenant tu réfléchiras
Et peut-être je te pardonnerais.

Depuis toujours, on m'a oublié,
De moi , on se rappelait ,
Toujours, mes méfaits passés.

Depuis toujours ,on m'a ignoré,
De moi ,on reconaissait ,
Toujours, ma sombre identitée.

Depuis toujours ,on m'a classé,
Moi, comme ennemi à jamais.

Jamais ,on ne m'a laissé,
Démontrer, que mon passé,
Ne fesai plus partie de moi en ce jour.

I remember /Je me souviens
C'était parfait/ It was perfect
I remember /Je me souviens
Avec toi / With you
I remember/ Je me souviens
Un sourire, un rire / One smile,one laugh
I remember/ Je me souviens
C'était en été / It was in summer
I remember / Je me souviens
Il y a si longtemps /There is longtime ago
I remember / Je me souviens
Comme dans un rêve / Like in a dream
I remember / Je me souviens
C'était si bien / It was so good
I remember / Je me souviens
Tu es mon frère / You're my brother
I remember / Je me souviens
Toujours avec toi / Always with you
I remember / Je me souviens
Tu es mon jumeau / You're my twin
I remember / Je me souviens
Tu m'as fais sourire / You make me smile
I remember / Je me souviens
Alors que je pleurais / While I cried
I remember / Je me souviens
Tu m'as fait oublier / You make me forget
I remember / Je me souviens
La folie d'un autre / The crazy of an other
I will remember it forever / Je m'en souviendrais toujours
Merci / Thanks

Petits ? Cela dépend.
De loin, ils ressemblent à de petites taches, et quand ils se rapprochent, ils ne sont toujours pas bien grands.
Mais, quand leurs ailes se déploient,
quand ils volent au-dessus de moi,
Finalement, ils m’apparaissent grand et majestueux.

Noir ? Absolument.
Jamais, je ne leur ai vu une petite tache de couleur,
mais cela ne me fait pas peur.
Toujours j’ai admiré ces oiseux des ténèbres, qui pourtant m’apportaient une lumière au fond du cœur.

Gracieux ? Pour moi oui, pour d’autres non.
Leur façon de marcher me fait rigoler. Mi sautillant, mi marchant sur deux pattes raides, ils sont aussi à l’aise sur terre que dans les airs.

Une jolie voix ? Je vous l’accorde, non.
D’autres oiseaux ont un chant beaucoup plus harmonieux que ce croassement. Leurs cris fait un peu peur, surtout dans un lieu reculé.

Pourquoi cette admiration devant ces créatures ?
Parce qu’en écoutant le professeur divaguer sur son court de latin, mon regard se porte au de las de la fenêtre, et je regarde ses oiseaux se posait dans la cour.

Puis, je m’endors, sur ma table du premier rang, des corbeaux plein les yeux.