Révélation et Rencontre. [Post Privé]

Asaïra était sur le chemin depuis peux. Elle vit un lac et s’arrêta pour se reposer. Elle regarda Brising faire mille acrobaties. Elle souriait, cela était rare depuis l’embuscade. Brising était heureux de la voir sourire ainsi. Au bout de quelque heures ils se remirent en marche Le soleil était de plomb. Brising dans les airs, Asaïra dans les plaines. De loi elle voyait la capital, mais depuis le matin Asaïra l’évitait. Elle se s’avait recherché. Elle aimait l’aventure plus que tout mais pas au point de se jetait dans la gueule du loup !
Asaïra ?
Oui ? Qu’y a-t-il Brising ?
Un bon nombre de soldats t’encercle et la seule voie possible c’est la capital.
Que ? Quoi ? Comment ?
Des soldats…
Oui j’avais compris mais depuis quand ?
Je ne sais pas, ils devaient attendrent depuis un certain temps. Je ne les aient pas vus venir.
Ils nous attendaient tu crois ?
J’ais l’impression.
Ils font des mouvements ?
Oui…ils t’encerclent et se dirigent droit vers toi.
Mince…il est hors de question que j’aille à la capital ! Je me bats ! Ils sont si nombreux ?
Si je t’aide non.
Bien…
Asaïra s’attacha les cheveux, se débarrassa de sa cape et sortit son épée. Elle attendit patiemment les soldats. Ceux-ci arrivèrent, celui qui paraissait être le chef ouvrit la bouche se préparant à parlait. Asaïra ne lui en laissa pas le temps et se rua sur lui. Les soldats lui barrèrent le passage. Elle en repoussa un et blessa un autre. Se fut le début de la bagarre. Asaïra dansait semant la mort sur son passage. Gracieuse et souple, meurtrière et sans pitié…elle prit rapidement l’avantage sur les soldats aidait par Brising qui plongé sur eux et les éventré de ses griffes acérés.
D’autre arrivent Asaïra.
Quoi ? Mais tu rigole ! je n’en peux plus !
Asaïra acheva un soldat et se tourna vers le suivant. Son bras fatiguait, la sueur dégoulinait le long de son corp. Elle en termina de son combat d’un coup horizontal. Elle regarda autour d’elle. Les cadavres des soldats étaient nombreux, plus personne à combattre pour le moment. Asaïra s’écarta donnant des coup de pied dans les corps. Elle s’éloigna de quelque mètre et se nettoya sommairement du sang de ses adversaires. Elle voyait que d’autre soldats l’avaient entourés, ils semblaient plus nombreux et plus sur d’eux. Ils ne dépassaient pas de beaucoup la centaine mais c’était déjà trop pour une elfe et un dragon. Les soldats furent rapidement à moins de deux mètres d’elle.
Brising ? Tu m’aides hein ?
Demanda-t-elle désespérer.
Bien sur je ne vais pas te laissait tomber Asaïra !
Merci Brising.
Asaïra se jeta dans la bataille. Sa fatigue la rendait plus lente à réagir et bien vite elle fut blessait un peux partout. Elle n’attaquait plus et se contentait de repoussait les attaques sans force. La guerrière, la tueuse ne pouvait plus se défendre. C’est à se moment là qu’elle retrouva un sentiment perdu depuis longtemps : la peur. Dans un dernier assaut elle utilisa toute sa rage et ses forces. Elle fut repoussait facilement. Des larmes lui coulés le long du visage, pas des larmes de faiblesse comme pour les enfants, non, des larmes de la rage de c’être fait prendre au piège et de ne pas mourir en se battant contre les Urgales. Brising sentit sa fatigue, son désespoir.
Courage Asaïra !
Courage ? Je ne peux plus rien Brising, je suis fatigué de fuir.
Asaïra sentit une présence derrière elle. Vite elle se retourna et se trouva nez à nez avec un soldat. Il l’attrapa et mit une dague contre sa gorge. Elle s’immobilisa aussitôt. Il hurla :
Dragon ! Si tu ne veux pas que ta maitresse meurt arrête le massacre de mes hommes et reste tranquille !
Brising tourna sa tête vers lui. Ses yeux lançaient des éclaires. Il reposa l’homme qu’il se préparerait à éventrait et se posa docilement à coter du champ de bataille.
Tout va bien Asaïra ?
Oui..Sauve-toi Brising !
Je ne peux pas il te tuera !
Je ne veux pas être emmené là bas ! Part !
Non je refuse de te laisser tuer.
Asaïra le regarda tristement. Le soldat qui l’avait attrapé et qui semblait être le chef promena son regard et vu avec plaisir que plus de la moitié de ses hommes étaient vivant et moins du quart était mort, le reste était blesser. Il appela un soldat et lui ordonna de ramener des menottes. Il attacha Asaïra en serrant bien fort. Elle grimaça mais ne lâcha pas un cri.
Dragon ! tu tentes une seul fois de fuir et c’est la mort pour elle. T tente quelque chose contre nous et c’est la même chose. J’espère que j’ais était clair.
S’exclama le Chef. Brising le regarda et inclina doucement son énorme tête pour approuvait. La colonne se mit en marche ; Asaïra surveillé par 4 gardes. Brising volant à basse attitude. Ils entrèrent en ville et Brising vola un peux plus haut. Les villageois montraient Asaïra du doigt et riaient à gorge déployé de son malheur. Elle baissa la tête humiliée. Soudain une maison prit feu. Un soldat leva la tête mais Brising était bien sagement dans les aires. Une autre maison prit feu à leur passage, puis une autre et encore une autre. Les villageois crièrent et commencèrent à faire la chaine pour éteindre les incendies. Le chef regarda Asaïra les yeux flamboyant. Elle sentit son regard et releva la tête d’un air désolé.
Arrête immédiatement cette foutu magie ou mes archers abat ton dragon !Aboya-t-il.
Impossible je ne la contrôle pas dans se genre de situation.Demande à ton dragon de l’aide ou fait comme tu veux. Mais arrête cela sinon ton dragon mourra.
Asaïra poussa un cri étouffer et entra immédiatement en contacte avec Brising.
Brising ? Peux tu m’aidais à contrôler ma magie ? Elle fait encore des siennes.
Je crois que je l’avais remarquais. Je vais bloquais ta magie pour le moment.
Tout de suite les incendie cessèrent de s’allumaient et les villageois soupirèrent de soulagement. Le chef des soldats poussa Asaïra pour qu’elle accélère. Bien vite ils se retrouvèrent devant le château. Brising se posa.
Le Dragon entre avec nous. S’il tente quoi que se soit tu meurs.
Brising entra facilement l’entrée étant assez grande pour lui. Aussitôt des servants apparurent et lui attachèrent des chaines un peux partout sur le corps. Il se laissa faire et fut emmener dans des couloirs sombres.
Brising ! Que font t'ils avec mon dragon ?
Ils l’emmènent à sa cellule. Ne t’inquiète pas il sera bien traiter.
Mais où allons-nous ?
Voir le roi Galbatorix.
Asaïra se laissa trainer jusqu'à Galbatorix. Ils parcoururent de nombreux couloirs pour enfin se retrouvaient devant la porte. Asaïra était angoissait pour se qu’il allait se passait derrière cette porte. Elle fut littéralement jetait dans la pièce. Elle se retourna oubliant un moment où elle se trouvait et injuria la personne qui l’avait jeté ainsi. Quand elle s’en rappela elle mit ses mains devant sa bouche l’air de rien. Asaïra regarda autour d’elle et il s’arrêta sur l’homme présent dans la pièce. Elle eut une envi subite de le transpercer de sa lame mais trouva l’idée un peux risquer et s’abstint de la mettre en application.
-Ainsi c’est toi la fameuse elfe…
Celle que vous rechercher partout ? Oui c’est moi, avec quelque écorchure en plus.
Coupa Asaïra ironique
Moi ? Te rechercher partout ? Laisse-moi rire ! Je n’ais pas que cela à faire.Comme c’est étrange ! Mais ma tête est afficher à chaque coin de rue…je suis poursuivit par des mercenaires, des urgales, des Ra’zacs et autres créatures, mais à par ça vous ne me recherchait pas.
Les soldats et les Ra’zacs c’est moi. Le reste s’est tes amies les elfes. J’étais curieux de voir l’elfe qui état rechercher si activement par les siens. Et j’avoue être déçu. Tu es tombé dans un piège on ne peut plus simple et tu n’as rien d’extraordinaire.
Asaïra le regardait avec des yeux ronds. « Des elfes voulaient sa peau ? Rien que ça ? Mais il croit que je vais le croire ? »
Des elfes vouloirs me tuaient ? Et vous croyez que je vais gober tout cela ?
Oh mais je m’en contre fiche moi. J’étais curieux et je t’ais rechercher pour comprendre pourquoi des elfes voudraient la peau d’une des leurs. Et je me le demande toujours…Enfin cela n’a plus d’importance, tu es ma prisonnière pour toujours je le crains. Crois se que tu veux mais tu y penseras dans ta cellule.Galbatorix cria un ordre et des soldats apparurent pour l’emmener au cachot.
Et mon dragon ?
Cria Asaïra désespérait.
Il restera enfermé où il est. Sa prison est adaptée. Ne t’en fais pas il va bien. Mais je crois que tu ne le reverras plus jamais.Asaïra fut entrainé dans les couloirs sombres menant aux cachots. Les derniers mots de Galbatorix résonnant en elle. Ne plus revoir Brising était la pire sanction que l’on pouvait lui faire. Elle fut fouillait et dépouillait de toute ses armes. On l’enferma dans les cachots. Elle tenta de joindre Brising…Impossible. Elle essaya la magie…Impossible aussi. Asaïra s’écroula à terre et pleura toute les larmes de son corps Tristesse, Rage et Douleur se mêlant à un sentiment de doute envers les siens. Elle était traqué des siens mais n’avait rien de spécial, bon ses parents l’évitaient le plus possible mais…Une idée traversa son esprit…et si ce n’était pas ses vrai parents ? Elle réfléchissait longtemps et décida de dormir.

[Mes pensées.Les pensées de ma jument ailée.Mes paroles.Les paroles des autres.]

Syriane plissa les yeux…la ville d’Urû’baen se dessinait lentement au loin. Elle se decida enfin à descendre de Soudaine.
Va te cacher dans la forêt,Soudaine.
La jument s’éloigna d’un air résignée, elles avaient longtemps débatue sur ce sujet, mais Syriane avait du se rendre à l’évidence ; jamais Soudaine n’ariverais à passer inaperçue dans cette ville.
Syriane continua donc à pied, sa légère tunique battait l’air autour de ses jambes, quant le vent s’y engouffra, elle retint un cri de surprise, il n’aurait jamais fait aussi froid à Ellesmera ! Elle enfila la cape verte qu’elle avait acheter dans la ville précédente, puis, elle en remonta la capuche sur son visage, cachant ainsi ses oreilles qui, malgrés leur rondeur inhabituelle chez une elfe, auraient paru beaucoup trop fines pour une humaine.
Elle entra sans la moindre difficultés, seul un soldat à moitié endormi était posté à gauche de l’immense porte de fer, grande ouverte.
Elle s’avança dans une des rues secondaire de la ville, en fredonnant un air elfique pour se rassurer.
-Gala O wyrda brunvitr…Abr Berundal vandr-fòdhr…Burthro laufsblädar ekar undir…Eom kona dauthleikr…
Elle s’arrêta devant un étal couvert de fruits et légumes venant d’autres contrées. Elle se tut et s’aprocha du vendeur pour observer ses produits ordinaires qu’elle n’avait pourtant jamais goûter…

-Que puis-je pour vous,damoiselle ?
Syriane tressaillit légèrement, elle n’avait pas porter beaucoup d’attention au petit marchand barbu et se dit qu’elle devrait rester un peu plus sur ses gardes.
-Rien, merci, lui répondit simplement la jeune fille.
Mais le marchand ne semblait pas l’entendre de cette oreille là. Il prit une poignée de framboise aux senteurs étonnantes et les déposa de force dans la main de Syriane qui semblait de plus en plus angoissée, que lui voulait-il ?
Dans la forêt, Soudaine soupira.
Dans quel pétrin tu t’es encore fourrée…
Chut !
Mais le vendeur se contenta de lui dire, en se raprochant :
-Tenez…voilà pour vous…non non, ne me demandez pas le prix ,ajouta-t-il en voyant que l’adolescante s’apprêtait à protester. Après tout, ce n’est pas tous les jours que je vois une aussi jolie elfe dans les rues de cette capitale miteuse, termina-t-il aves un sourire, d’ailleur, je crois savoir quelques chose qui vous interessera sans doute… ,il se pencha sur l’oreille de Syriane, …il y’a eu, il y’a un peu prés sept jours, l’emprisonnement d’une elfe dans cette ville et, si vous voulez mon avis, vous devriez tenter de la libérer, elle est assez spéciale pour une elfe et elle vous sera sans doute d’une grande aide dans votre quelquonque quête…si tenter que vous en ayez une ,termina-t-il ,avec un clin d’euil malicieux.
Il lui lacha enfin le poigné et s’éloigna pour acceuillir de nouveaux clients, Syriane songea à le remercier mais elle abandonna vite son idée en voyant qu’il l’ignorait à présent royalement et semblait avoir oublier leur courte, mais récente, discussion.
Syriane ressortit de la ville le plus rapidement possible. Si le vendeur avait dit vrai, il y’avait un risque que Galbatorix ai tué l’elfe.
Elle n’avait pas énormément de chance de la libérer et elle comptait sur la magie pour la maintenir envie, en effet, elle savait à peine manié une dague et les gardes seraient sans doute nombreux dans la tour.
Soudaine l’attendait dans une clairière.
On va la libérer ?
Oui ! C’est une elfe et nous devons absolument l’aider.
Elles installèrent donc un camps et attendirent que la nuit tombe, Syriane put donc dormir quelques heures avant que sa jument ne l’éveille. Le noir était complet quant la jeune fille sentit le doux chanfrein de Soudaine contre sa joue.
C’est l’heure, Syriane…
Hm…oh…déjà.
Elles défirent le camp et se rapprochèrent des murailles d’Urû’baen.
On va voler le plus haut possible et piquer sur le donjon. Ensuite, il faudra que je descende, encore et encore, jusqu’au cachot de cette fameuse elfe.
Elles décolèrent d’un bond souple et, de quelques battements d’ailes, Soudaine commença par longer le mur.
Puis, quant elles furent au plus prés du donjon, elle vira brusquement à droite et se mit accélérer, encore et encore, les lumières de la ville passait à toute allure sous elles…
Attention ! Accroches-toi Syriane !
Elle piqua brutalement vers le bas et la jeune cavalière vit le toit de la tour se rapprochée à une vitesse vertigineuse. Mais, bien sûr, la jument ralentit juste au moment où elles allaient s’étaler sur le sol de ce toit sinistre, et se posa doucement.
Je pense que personne ne nous a vu…
J’espère.
Alors que Syriane descendait de sa jument, elle poussa un cri de surprise et trébucha sur une pierre, en reculant. Elle finit assise sur la roche froide de la tour.
Brr…
Qu’est-ce que c’était ??
Une espèce de gros…
Elle sembla hésité, face à la futilité de sa réaction.
Une espèce de gros quoi ?
Rat.
Bheu...
Tu l’as dit.
Syriane se releva tant bien que mal et s’approcha de la porte de fer donnant accès à la prison.
Je force ?
Vérifie si elle est ouverte avant…
Et, en effet, quant elle posa la main sur la poignée, le mécanisme émit un horrible *Clack* et la porte s’ouvrit en grinçant.
Quelle bande d’idiot ! Laisser la porte d’une prison ouverte…faut le faire.
Bah…c’est pas tout le monde qui peut monter sur une tour sans prendre l’escalier…
Je vois ce que tu veux dire. Bon, j’y vais, à tout de suite.
Fais bien attention !
Ne t’inquiètes pas…
Elle s’engouffra dans l’embrasure de la vieille porte usée et entra dans une salle presque aussi noir que dehors. Heureusement, aucun garde ne gardait cet étage. Elle commença donc à descendre l’escalier rond et qui se trouvait au centre de la salle. Les murs étaient longés par des cellules toutes plus sinistres les unes que les autres. Elle eut à peine quelques gardes à tuer et n’eut rien à faire pour les cinq autres qui passèrent par les fenêtres en évitant se sorts. En revanche, le dernier garde qu’elle tua avait des clés et elle s’en saisit immédiatement.
Enfin, elle atteint l’étage où l’elfe était prisonnière, elle le sentit car, brusquement, sa magie s’arrêta et son contact avec Soudaine, qui était permanent, fut brutalement coupé. Alors qu’elle s’apprêtait à essayer d’ouvrir la porte de fer, elle entendit les pas précipités de trois gardes quelques étages au dessus d’elle. Dans un geste instinctif, elle se retourna vers l’escalier, s’apprêtant à combattre, mais elle se rappela soudain que la magie était impossible à ce niveau de la tour. Elle se re-retourna vers la cellule, en faisant voler ces cheveux noirs, et enfonça la première clé du troussau qu’elle eut en main et la tourna à toute vitesse dans la serrure. Gros coup de chance. C’était la bonne. La porte s’ouvrit lentement et Syriane l’ouvrit entièrement avec brusquerie. L’elfe était assise au sol, contre le mur du fond et son front était posé sur ses genoux.
Kvetha Alfakyn !
A peine eut-elle lancer cette simple phrase de salutation qu’elle se tourna vers l’escalier. Les bruits des pas se rapprochaient, s’amplifiant de seconde en seconde en même tant que l’angoisse de Syriane montait.
Si elle ou l’autre elfe ne faisait pas quelques chose tout de suite, s’en serait finit de cette aventure. La magie leur était impossible et elles étaient toute deux désarmées.

Asaïra était enfermé là depuis 7 long jours. Elle avait pleurer et maudis mille et une fois Galbatorix.
Elle était assise dans se cachot au sol gelé, son manger avec un peu d'eau quand on voulait bien lui en donner. Les gardes passer et l'insulter, Galbatorix lui render de petites visite pour obtenir des informations qu'elle n'avait pas.
Asaïra voulait mourrir, Brising n'était plus là et sa voix bourru ne résonner plus dans sa tête.
Elle frisonna, un bruit de course et d'un seul coup sa porte s'ouvrit. Asaïra ne réagit pas. Une voix s'éleva et la saluat en ancien langage, Elle sursauta et regarda, une jeune elfe se tenait devant elle lui tournant le dos. Asaïra se leva d'un seul coup et bondit sur elle. Elle la renversa et la tint fermement dos contre le sol.

-Que me veux tu !!!

Hurla t'elle folle de rage, persuader que c'était un coup monter par Galabatorix.
L'elfe bredouilla des explications en expliquant qu'elle venaut l'aider. Asaïra ne l'écouter déjà plus, elle avait entendu le bruit des gardes qui approcher. Elle se releva laissant l'elfe désemparer et se précipita vers la sortit, récupéra les clés qui pendouiller et ouvrit la porte d'a coter. Ses armes s'y trouver. Asaïra les récupera et sortit, les gardes la virent.
Elle sortit 3 étoiles et les balança sans regarder, elle fit quelque pas pour s'éloigner des gardes...elle entendit le bruit des corps qui s'effondrait au sol sans vie.
Asaïra revint soudain sur ses pas et récuppera ses étoiles. L'une d'elle si bien enfoncer refusa de revenir.
Elle injuria le garde et lui donna un solide coup de pied. Asaïra partit ver l'escalier et passa la tête par la porte de sa celulle:

-Je te remercie Elfe. Mais vaut mieux pour toi que tu parte maintenant !

Elle se détourna et repartit, soudain ses jambes lachèrent. Elle s'effondra, son corp ne pouvais plus rien faire, elle avait exagérer.
Elle se tint au mur et se releva difficilement en jurant violament....

Elle ne s’y attendait pas. Et cela suffit ; un hoquet de surprise s’échappa de sa gorge et Syriane se retrouva plaquée au sol par un genoux de l’autre elfe. La violence avec laquelle cette inconnue la maintint collée sur le sol froid la surprit à peine. Ce qu’elle sentit surtout, c’était sa respiration de plus en plus saccadée et une horrible impression d‘ oppression, comme si, par sa seule force, l’autre elfe lui écrasait les poumons. Elle tenta de s’expliquer, mais son souffle était de plus de plus en plus rauque, et, quand l’elfe s’écarta brusquement, elle inspira avec un immense soulagement, tendit qu’elle reprenait lentement sa respiration. Elle n’était guère effrayée par l’inconnue violente, ce qui la gênait, c’était surtout le peu de reconnaissance, et même d’attention maintenant, qu’elle lui accordait. Malgré ses cheveux humides de sang et de sueur, elle se redressa avec assurance et fut debout en un temps trois mouvement. Par malheur, elle sortit de la cellule juste au moment où la deuxième étoile se plantait dans la gorge du dernier garde. Même si la scène aurait dut l’horrifier, Syriane ressentait surtout un profond dégoût pour cette femme qui tuait sans la moindre preuve de courage ou d’une quelconque force. Tout ce qu’elle savait faire, c’était profiter de son pouvoir pour de véritables massacres débiles et sans attractions, aucune rage de vaincre ou envie de vengeance n’avait parue dans les gestes de l’autre elfe et Syriane trouvait ce comportement absolument idiot et inutile.

Elle se tira de ses réflexions alors que l’inconnue s’écroulait pitoyablement à ses pieds. Sans hésiter, elle porta secours à l’elfe. Mais quand elle s’en approcha, celle-ci se releva pour reprendre son chemin, cette fois en s’appuyant au mur. Les paroles de cette femme lui revinrent alors en mémoire, notamment son conseil de fuir, mais elle écarta rapidement cette pensée, la considérant comme un acte purement lâche.
-Je… ,commança-t-elle, mais elle s’interrompit devant la faiblesse de l’autre, elle reprit alors, …est-ce que je peux vous aider ?
La douceur avec laquelle elle posa cette question lui rappela son âge et le comportement qu’elle était censée avoir envers les elfes plus vieux qu’elle. Elle ne put néanmoins cacher sa déception quand l’autre secoua négativement la tête avec une lenteur témoignant de sa fatigue. Alors, décidant brutalement que l’autre n’avait pas le choix, elle enfonça quelques feuilles médicinales, qu’elle venait de sortir de son sac, dans la main de l’inconnue avec une assurance qu’elle était loin de ressentir.
-Je vais pas vous abandonner comme ça, ce serait de la folie.
Et puis, s’apercevant que l’elfe ne savait peut-être pas comment s’en servir, elle expliqua, d’une voix un peu radoucis.
-Mâchez ça un petit moment et ça ira mieux.
Dans un silence qui en devenait presque effrayant de lourdeur, Syriane se mit à faire les cent pas dans la salle dont le sol était à présent repaind en rouge par le sang qui avait coulé en abondance des cadavres. Elle ressassait douloureusement les heures précédentes de son existence avec un pessimiste et une impression d’impuissance grandissante. Sans même jeter un regard à l’inconnue, elle étudiait leur situation avec un calme apparent qui cachait très mal sa nervosité. D’ailleurs, elle se rendit compte brutalement que, de toute sa vie, elle n’avait jamais était aussi nerveuse et angoissée qu’à présent. Elle, d’habitude si posée et même détachée, était totalement prise par des pensées de plus en plus effrayantes ou pessimistes. Finalement, elle stoppa net et resta immobile quelques instants, son regard fixant l’inconnue sans la voir. Maintenant, seul restait en elle un sentiment d’attente, comme si tout son être était tendu vers les faits présents. Elle poussa un soupir quasi lasse et se secoua pour remettre en état sa robe tunique qui ressemblait à présent à un vieux chiffon. Cette robe, c’était sa mère qui l’avait tissé pour ses 19 ans. Le tissu épais avait protégé Syriane lors de ses fréquentes escapades avec sa jument, alors que la forme élégante et confortable lui laissait sa grâce et sa liberté de mouvement habituelle. A présent, cette fameuse robe n’était que le détail d’un immense tableau donc chaque partie était plus effrayante que la précédente. Le regard froid de l’inconnue, qui reprenait lentement des forces, toujours adossée au mur. Les murs, tout aussi froid, qui l’entouraient et soulignaient le fait qu’elles étaient au beau milieu d’une des plus grandes prisons d’Alagaësia, autrement dit dans un véritable guettau de gardes et autres soldiers en tout genre. Enfin, le trou, tout au fond de son cœur, qui résonnait comme l’aurait fait une blessure particulièrement douloureuse. La distance entre elle et Soudaine oppressa soudain Syriane qui préféra s’asseoir pour éviter de tomber dans ce sang qu’elle considérait comme ayant indignement coulé. En songeant à cela, la flamme de colère qui sommeillait au fond d’elle se raviva brutalement, la faisant se levait avec, au fond des yeux, une lueur identique et tout aussi vengeuse. Elle s’approcha de l’autre, d’un pas cette fois réellement décidé, et demanda d’un ton réfutant la rage sourde qui s’était emparée d’elle.
-Et bien ?Pensez-vous avoir assez de force pour remonter à mon bras ?
Syriane attendit qu’elle réponde avec une très légère attention, car l’image de Soudaine était revenue se coller à son regard avec insistance, la poussant à précipiter les choses. Elle sourit. Elle avait reconnu là l’œuvre de sa jument, car même cette horrible tour ne pouvait contenir entièrement les tentatives de Soudaine à entrer en contact avec sa jeune compagne. Ainsi, seul une idée avait atteint l’esprit de Syriane ;plus vite elles avanceraient et plus vite elles atteindraient le sommet. Sommet où attendait impatiemment celle qui était venue, il y’a bien longtemps, nicher son esprit dans celui de Syriane…

Asaïra n'en croyait pas ses oreilles ! L'inconnu la traiter comme un bébé ! Et bien elle allait voir ! Asaïra se releva difficilement et ignorant l'aide de l'inconnu elle avança, elle s'avait qu'elle ne tiendrait pas longtemp si personne l'aider mais son amour propre était en jeu ! La sueur dégouliner le long de son visage mais elle insista. Soudain ses jambes cédèrent, l'inconnu la ratrappa de justesse. Asaïra put lire dans ses yeux un mélange de dégout et de douceur, elle était sur que le dégout n'était pour rien dans la mort des soldats non non mais de la façon qu'ils étaient mort. Elle n'avait pas eut le choix ! Trop faible pour se battre !
-Merci...
Se seul mot lui arracha la gorge. Elle n'avait jamais dit merci.La suite ne fut pas mieux, jamais elle n'avait du demander de l'aide.
-Si tu pouvais m'aider à monter et me soigner là haut...aprés je retrouverais mon dragon...
Elle attendait la réponse se jurant de ne plus devoir demander de l'aide à l'avenir.

Bie sûr que je vais vous aider. Je ne suis pas venue jusqu'ici pour attendre bêtement en vous regardant tuer des soldats.

Elle passa un bras autour des épaules de l'elfe et l'aida à grimper les escaliers jusqu'à la tour. Arivées en haut, elle attendit avec angoisse que la jeune femme réagisse à la présence de Soudaine. Mais elle ne parut émue par l'étrangeté de la jument. En passant la porte, Syriane poussa un soupir de soulagement et lacha l'elfe pour passer un bras autour de l'encolure de sa compagne.

J'ai cru ne jamais te retrouver, lui glissa-t elle.
Tu as eue tort, petite soeur. Jamais je n'aurais permis qu'on te fasse du mal.

Syriane lui sourit en réponse et s'approcha de l'elfe qui s'était adossée au mur pour reprendre son souffle.

Comment allez-vous ? ,demanda-t elle d'un ton sec.

Asaïra fixa l'elfe d'un regard pas très gentil. Elle ne répondit pas pendant un certain temps puis se passa une main dans les cheveux :
- Je vais bien.
Un ton assez sec mais elle détestait montrer ses faiblesses.
Brising ?
As !! Tu es enfin à portée !
Où es-tu je viens te chercher !
Dans un bâtiment au sous-sol. Le plus grand je pense. Ils me menaçaient de te tuer si je tentais quoi que ce soit.
Hé bien rends leur la monée de leur pièce, je suis libre.
Bien. Je vais détruire cette maudite cage alors.
Tue les pas tous ! Gardes en pour moi !
- Il est dans le bâtiment à l'écart.
Elle ne fit même pas attention au cheval ailé sous ses yeux, trop préocupée par son dragon.
Ella avait retrouvé toute son énergie, et la suite promettait d'être super.

- Bon. Dans ce cas allons-y, marmonna la jeune fille.

Elle en avait un peu marre du comportement d'Asaïra, mais ne s'en plaint pas. Elle grimpa distraitement sur Soudaine qui regardait l'autre avec des gros yeux méfiants.

- Laisse-la monter, lui dit-elle.

La jument lança un regard à Syriane, mais ne protesta pas quand le poids qu'elle portait doubla brusquement.
Dans un mouvement presque brutal, la jument se propulsa du haut de la tour. Ses ailes s'ouvrirent soudain, et l'air se mit à siffler aux oreilles des deux cavalières, alors que le reste des cachots défilaient lentement sous elles.

- Je vous accompagne, décréta Syriane.

L'autre ne protesta pas. La jeune fille était sûre que si elle l'avait seulement proposé, Asaïra se serait plaint qu'elle pouvait se débrouiller. Alors qu'elle était dans un très mauvais état. Leur monture décrivit quelques cercles à soulever le coeur de ses cavalières, puis se posa avec bien plus de délicatesse qu'à son envol, sur une tour à peu près identique mais plus basse.
Elles se laissèrent tomber sur les pierres humides, Soudaine replia ses ailes, et les deux elfes s'engouffrèrent dans le bâtiment, Asaïra devant.
Alors qu'elle suivait l'autre elfe, Syriane sortit son couteau, réarrangea sa cape puis repoussa ses cheveux. Elle ne tenait pas à se faire attraper, surtout en compagnie d'une fugitive, ex-prisonnière du roi qui plus est.

Lorsqu'Asaïra atteignit l'endroit où était supposé être Brisng, quelle ne fut pas sa surprise de découvrir la cage déchiquetée ainsi que des cadavres un peu partout.
Je t'avais dit de m'en laisser Brising !
Mais ils me manacer, je me suis défendu!
Il avait parlé sur un ton suffisant, tout en apparaissant d'une démarche entre élégance et ridicule. La tête haute, qu'il se cogna peux après contre le plafond qui descendait un peu plus loin.
-Stupide dragon.
Marmonna Asaïra un peu vexée de ne pas avoir d'adversaires.
Ne t'inquiète pas les renforts arrivent, tu veux les attendre ?
Mais tu es fou, j'ai pas envie de perdre mon temps à les attendre non plus.
Asaïra se tourna vers Syriane et pointa Brising du doigt:
-Ce dragon qui à l'air stupide s'appel Brising et il est à moi. C'est pas un cadeau.
Malgré les paroles qui étaient un peu dur on pouvait sentir une pointe de fiertée dans la voix d'Asaïra.
-Bon à présent partons, l'alerte à dû être donnée depuis un bout de temps. Toi tu baisse la tête pour ne pas te prendre le plafond à tout bout de champ. Tu vas nous faire repérer avec tes BOUM assourdissant.
Brising lui lança un regard indigné mais ne répondit rien.