L'ombre du Liègeois [post libre]

Mila fut vraiment heureuse de voir Olivier arrivé. mais contrairement à ce qu'il était censé faire, Olivier obéit aux ordres de L'Asaîra aux yeux dorés. Mila fut déposé sur son tigre qui reçu l'ordre de la conduire jusque Galas. Mila énervée commença à engeuler mentalement son tigre:

Laisse moi ici et va aider Syriane, Seith et Eldarion.

Non

Mais moi je n'ai pas besoin de ton aide, eux si !

Non

Change de disque, si il meurt je ne me le pardonnerais jamais, tu peux comprendre ? Nous devons les sauvés !

Mon devoir est de TE protéger

Et le mien est de te LES protéger, alors s'il te plait fais demi-tour.

Je ferais demi-tour quand je serais sur que tu seras en sécurité.

Nous sommes encore loin de Galas ?

Non, on tourne à cette rue et nous y sommes.

Galas obta pour l'épée... Ils étaient nombreux, autour, partout. Elle enleva ses griffes les engouffra calmement dans ses manches tel un magicien préparant son numéro. Elle attrapa le manche de son arme derrière elle.
Concentration.
Deux épées se levèrent vers elle. L'une fila au-dessus de sa tête lorsqu'elle de baissa, l'autre s'arrêta sur sa lame. Elle la repoussa et trancha un bras. Une arme tomba dans un cri. 5 la prirent à revers. Elle sauta et s'apuiya sur une lame, trancha la gorge de son propriétaire, une lame lui coupa le bras, une autre entailla sa jambe.
Fatigue.
Elle tournaya son arme qui coupa et trancha faisant retrouver les 5 à terre dans le sang.
Mila.
" Mila ?"
Elle arrivait sur Olivier derrière les soldats qui ne l'avaient pas encore remarqué.
"Mila !"
Espoir.
Elle trancha 2 gorges en plaçant son épée paralléle au sol, bondit et transperça une armure. Une lame fendit sa chair entre ses côtes.
Douleur ? Bof, non...

Je n'attendit aucune réponse et fonça vers la ville.
Eh ! Je...
Reste là.
La porte ouest était la plus proche, je pouvais y atteindre en un rien de temps. J'allongea le pas. mais une surprise m'attendit : la porte était fermée.
Mais...
Des bruit de lames entrechoquaient me parvint. Qui était ce ? Asaïra ? Galas ?
Il faut que j'atteigne la porte nord.
Aussitôt dit, aussitôt fait.
La porte était éloignée mais j'y parvins pas trop fatigué, je continua vers l'ouest en prenant le chemin central (pour ne pas me perdre). C'est en m'aprochant de l'arène que j'aperçut les premiers gardes. Devant une taverne. Une elfe se faisait traîner avec violence. Ce fut plus fort que moi. J'encochit une flèche à mon arc. Elle se rua dans le coeur d'un garde. Une deuxième aterrit dans la cervelle du second.
Vous allez bien ?dis je en la détachant vivement en surveillant les gardes qui accouraient.

La situation dégénérait. Complaitement.
Une fois de plus, n'ayant apparement retenue aucune leçon de son précédent échec, Asaïra s'était getée sans réfléchir dans le feux de l'action.
Si elle parraissait assez douée avec une arme, en revanche elle n'ouvrait pas suffisement les yeux car une demi douzaine d'hommes en armes la suivaient à présent à l'étage du bas.
Toutefois son strtagème parmis au moins à Edldarion de se retrouver soudainement avec seulement trois gardes face à lui...
Se repliant en direction de la fenêtre, il vit sur les visages de ses assaillants planés des sourires de victoires en le voyant acculé.
Sourires qui devinrent moins évidents lorsque Eldarion les repoussa violement avant d'executer un salto arrière qui le fit atterir sans ménagement dans la rue en contre bas.
Rapidement, il fit le point. Elwing l'y aidant mentalement.
A ce qu'il savait, Asaïra et deux autres des amis de Mila devaient encore se trouver dans l'auberge.
La demoiselle ayant emmenée Mila se trouvait avec elle auprès des portes, aussi Eldarion n'eut aucune difficultées pour prendre sa décision.
Prenant immédiatement à gauche, il courut à toute jambes en direction des portes.
Soudain un éclair de fourrure passa juste au dessus de lui; déboulant d'où il ne savait où pour aller où il ne savait.
Se retournant, Eldarion vit un tien de moins qu'un tigre à dent de sabre se diriger droit sur l'auberge.

*Mais qu'elle soirée de dingue...*
*Je témoigne*
*Prépare toi à décoller, je pense que l'ont ne va pas s'attarder dans le coin.*

Arrivant soudain sur la place devant les portes, Eldarion y vit Mila, de nombreux gardes devant elle, et plus loin la demoiselle qui avait brisée la vitre de la chambre.
Mais cette dernière venait de se prendre un coup dans le corps...

*Elle tombe toute à t'es pieds ce soir...*
*C'est drôle vraiment!*

Sans plus réfléchir, Eldarion encocha une flèche qui alla se planter dans le coeur de l'individu le plus proche de Galas.
Tirant à nouveaux, cette fois deux flèches simultanément, il tua deux gardes proches de Mila.
Une vingtaine de gardes approchaient entre lui et la porte, fermée.
Se positionnant devant Mila, utilisa lancien langage pour former un cercle de flamme tout autour des gardes.
Les piégeant ainsi...
Courant aussi vite qu'il le pouvait, Eldarion pénétra dans le corps de garde, déserté par ses occupants, et actionna le mécanisme de la porte.
Sautant au niveau de la place, il alla se saisir de MIla et l'entraina à l'extérieur.
On pouvait entendre des cloches d'alarmes résonner un peut partous.
Lorsqu'il passa à côté de Galas, il se tourna vers elle avant de la dépasser:

"-Je pense qu'il vaut mieux que vous quittiez la ville également et vite, comme les autres dans l'auberge. Une fois Mila hors de danger je reviendrais vous aider si nécessaire."

L'extérieur de la ville était désert, ELdarion courut aussi vite qu'il le pouvait avec Mila dans les bras jusqu'à être suffisement loin pour qu'Elwing atterisse auprès d'eux.
Coupant court à toute protestation, il s'adressa à Elwing à haute voie pour que Mila entende elle aussi.

"-Garde la en sécurité quoi qu'il arrive. Surtout ne la laisse pas partir. Je vais voir pour les autres."

*Non! C'est trop dangereux! Tous l'Empire va te rechercher après un coup pareille. Estimme toi heureux que tous ceux ayant vu que tu es un dragonniers et étant contre toi soient morts...A part ton existance Galabatorix ne saura pas qui tu es. C'est déjà ça.*

Face au ton déterminé de son amie, Eldarion se rendit à l'évidence. Et puis il ne connaissait même pas les autres...
Montant sur Elwing avec Mila, ils allèrent se dissimuler là où elle était avant.
Trois autre dragons se trouvaient là...

Olivier tourna dans cette rue et comme il l’avait prévu Galas se trouvait là. Mila en fut heureuse mais Galas n’était pas seule, elle se battait avec cinquantes soldats qui en voulaient à sa vie. Olivier se rapprocha lentement en essayant de rester le plus possibles dans les zones d’ombres. Mila était toujours posée sur Olivier mais sentait ses membres reprendre peu à peu des forces.

Olivier s’arrêta sous une fenêtre, il se coucha à terre et d’un léger mouvement vers la droite déposa Mila contre le mur. Il regarda Galas se battre puis sa maîtresse, Mila ne pouvant aider Galas, il se demanda que devait-il faire ? Aider Seith , Syriane et ce Eldarion ou d’abords Galas, Mila répondit sans qu’il ne posa la question:

Vas voir ce qui se passe à la taverne, si ils n’ont pas besoin de ton aide reviens.

A vos ordres capitaine

Olivier repartit en direction de la taverne. Mila essaya de se relever, elle réussit à s’accroupir mais pas à se redresser complètement. Elle dégaina son épée, chose qu‘elle n‘aurait pas du faire, les gardes remarquèrent enfin la présence de la jeune elfe. Elle continua à se relever lentement voulant tenir tête à ses agresseurs . Galas venait de se faire blesser,Mila ne comprit pas tout de suite pourquoi un des gardes combattant contre Galas reçu une flèche mortel puis deux des gardes se rapprochant de plus en plus d'elle reçurent le même sort .

Mila tourna la tête et vit la silhouette de la personne qui venait de la sauver, cette silhouette se mit à courir pour se placer devant elle à quelques mètres seulement. Mila souria, Eldarion était encore venu pour la sauver. Elle n’eut pas le temps de le remercier que déjâ les gardes devenaient prisonnier d’un immense cercle de feux. Mila observa Eldarion, pouvait-il faire une chose pareil? Se cercle venait sûrement de lui puisque s’était la seul personne présente capable d’utiliser la magie de ses origines elfiques, elle n‘était même pas capable d‘allumer un petit feu de bois. Puis Eldarion se retourna vers elle. Il se rapprocha de l’elfe pour de nouveau la prendre dans ses bras.

Ils se mirent à marcher vers la sortie de la ville, Eldarion adressa une brève parole à Galas puis il se mit avec Mila dans les bras à courir. Il courut jusqu’à atteindre une petite clairière, Mila ne comprit pas immédiatement pourquoi son…...ami s’arrêter mais elle ne le questionna pas. Quelques secondes après qu’ils se soit arrêter un magnifique dragon se posa, Mila qui n’avait pas de dragon restait à chaque fois qu’elle avait l’occasion d’en voir un éberlué par ces incroyables animaux. Eldarion avança vers son compagnon

Le dragon reprit son envol, Mila était comme une petite fille à qui on donnait un nouveau joué.
Elle restait les yeux grands ouverts, elles s’impressionnait de tous se qu’elle voyait. Elle n’avait jamais eu l’occasion de monter ou de voler sur un dragon. Elle était incroyablement heureuse, elle était dans les airs, dans les bras d’Eldarion. Le dragon finit par rejoindre deux autres dragons, Mila reconnut brisingr et Stampe.

Galas grogna. Il venait de partir sauvant sa belle, la laissant seule.
- Tous pareils...
Elle fixa les gardes pris dans le rond de feu, les encerclant.
" Bon d'accord, c'est déjà ça de fait."
Elle déchira une bande de tunique d'un soldat qui n'était pas gorgé de sang et banda sa blessure. Ca ne tiendrait pas longtemps, il fallait partir.
" Mais je reviendrais."
Voyons...Asaïra et nul sait où, Mila entre de bonne main sur le dos d'un dragon... Et ouais, d'un réptile géant volant !
Asaïra, trouvons là. Elle tourna dos à la porte, dépassa les soldats et courue vers l'auberge.

Elle était trop longue. Trop. Falgoï retourna à la porte. Fermée.
Galas ! Galas...
pourquoi hennir sinon se faire repairer ?
Où était encore allée sa bipéde ?
L'odeur du sang lui venait au naseaux.
Il y en avait de trop pour savoir si le sang de galas y était.
Il fonça vers la porte nord.

Aélyhne rabattit le capuchon de sa mante sur sa tête d'un geste agacé. Elle avait beau savoir que c'était une chance, que la neige lui donnait une excuse pour dissimuler son visage, mais elle n'y pouvait rien. Elle n'aimait pas la neige, un point c'est tout.Elle était toujours un peu mélancolique, dans ces moments là. Ça lui rappelait le jour de son départ.
Le jour où son père était mort.
Secouant la tête autant pour chasser les flocons glacés que ses souvenirs, elle entra d'un pas déterminé dans la première taverne qu'elle trouva.
A défaut d'être somptueuse, L'ombre du liégeois avait au moins le mérite d'être bien tenue, malgré le désordre. Elle devina un accident, car quelques gardes au visage sévère surveillaient les environs.
Le plancher était propre et pas un grain de poussière ne paraissait sur les tables ou les meubles. Quelques serveuses s'activaient dans la salle, bien qu'il n'y eût sans doute pas plus de dix personnes, et presque aucune qui
consommait un repas. Quelques uns jouaient aux dés, d'autres se contentaient de d'avaler verre sur verre sans même sembler s'en
apercevoir, et une minorité observaient, dissimulés dans l'ombre de leurs capes.

- Que puis-je faire pour vous être utile, ma Dame ? s'enquit la serveuse, une femme élégante dont le maintien aurait égalé celui d'une dame de la cour. Presque toutes nos chambres sont vides, alors vous pourrez avoir la meilleure, Dame... ?

Aélyhne hésita quelques instants, se demandant si elle devait réfuter qu'elle était une Dame et si elle devait dire son nom.

- Aélyhne.

- C'est un joli nom, quoique peu habituel, sourit la jeune femme d'un air chaleureux. A vrai dire, je ne crois pas avoir jamais entendu de nom à la sonorité aussi... exotique.

- Je viens d'assez loin.

La tenancière perdit son sourire, présentant un air contrit.

-
Oh, pardonnez-moi, ma Dame ! Vous avez fait un long voyage et me voilà
à bavasser... Vous devez être très lasse... Désirez-vous que je vous
mène à votre chambre ou que je vous fasse servir le dîner ?

Aélyhne songea qu'elle n'avait jamais dit à la tenancière ce qu'elle voulait, mais ne la contredit pas. Elle repoussa son capuchon après s'être assurée que la pièce était suffisamment éclairée. Dans la lumière, ses yeux évoquaient ceux d'un chat à cause de leur pupille fendue, mais pour le moment ils semblaient tous à fait normaux. Quant à ses cheveux, une illusion fragile les faisait apparaître couleur de miel.

- Le dîner ira très bien, merci.

La jeune femme la fit asseoir à une table à l'écart, avant de retourner à ses autres occupations. Elle avisa alors un jeune homme qui l'observait sans en avoir l'air, les yeux dans le vague.

hj : je précise que la serveuse en question n'est pas forcemment Fidy... cela dit, si tu préfères que je change le dialogue...

Aélyhne, perdue dans ses pensées, faillit sursauter lorsque le jeune homme qu'elle avait remarqué un peu plus tôt s'approcha d'elle. Elle fut encore plus surprise quand il lui demanda s'il pouvait prendre place à sa table, et elle se sentit soudain comme une louve prise au piège. Rien à voir avec l'homme en fait, puisqu'elle se méfiait d'à peu près tout le monde. Son côté Aliron était loin de n'avoir que des avantages.

- Je vous en prie, acquiesça-t-elle prudemment. Cela fait longtemps que je n'ai pas eu d'aussi aimable compagnie.

Pendant ce temps, elle réfléchissait à toute vitesse. Comment s'en débarasser ? Elle savait pertinemment que si elle voulait des informations, elle devait se lier avec des gens. Mais pour le moment cela semblait au-dessus de ses forces. Il avait quelque chose de... bizarre, sans qu'elle puisse expliquer en quoi.
Elle faillit sourire. Elle avait une ou deux fois expérimenté une technique qui avait fait ses preuves. La plupart des gens ne s'attardaient pas aux côtés d'une noble capricieuse et superficielle. Elle espérait seulement qu'il n'était pas plus intelligent que les autres... Qu'il ne remarquerait pas l'absence de bijoux. Et qu'il n'y aurait pas plus de lumière. Évidemment, une fois tout énuméré ça paraissait presque désespéré.
Une main sous son menton, elle garda l'autre à portée de sa dague.

- Cette taverne est loin de convenir à quelqu'un de mon rang, n'est-ce pas ? reprit-elle en souriant d'un air idiot. Mais hélas, ma toilette a besoin d'être raffraichie... Et ces serveuses... Elles devraient se précipiter pour me servir, et au lieu de ça elles s'agitent comme des poules effarouchées...

Et zut. Pourquoi fallait-il qu'elle tombe sur un homme de la cour ? La dernière fois, elle avait faire croire qu'elle était une riche héritière fuyant les assiduités de deux jeunes hommes. Elle savait que ça ne marcherait pas cette fois. Elle s'était suffisamment humiliée comme ça.

"Et quel est votre prénom "Milady" ?


Aélyhne lui adressa un regard furibond. Un instant, elle voulut lui donner un faux nom mais comme personne ne le connaissait... Il fallait qu'elle se ressaisisse de toute urgence avant que ses cheveux ne redeviennent blancs. L'illusion était facile à tenir, mais...

- Je suis Aélyhne.

Elle oublia volontairement le "Dame". De toute façon, Edan avait déjà deviné. Une des serveuses alluma quelques chandelles.

- Et vous avez raison, je suis en voyage, dit-elle sèchement. A présent, si vous voulez bien m'excuser, j'aimerais me reposer dans la bibliothèque.

hj : désolée pour mes histoires de lumière, c'est l'inverse lol^^ ( j'ai changé) la pupille est fendue dans la lumière, et normale dans l'obscurité... c'est le même système que les yeux des chats en fait.

Aélyhne soupira de soulagement comme Edan ne faisait pas mine de la suivre. Mais quand même... Apparemment il n'avait pas remarqué ses yeux bizarres... Tout ne s'était pas si mal passé finallement...
C'était sans compter sur la serveuse.

- Dame Aélyhne ? fit la jeune fille d'un air désapointé. Votre dîner ne va pas tarder, mais je peux tancer le cuisinier pour sa lenteur...

La fille avait l'air un rien paniqué. Apparemment, elle était persuadée qu'Aélyhne voulait quitter l'auberge. Pour une fois, elle aurait souhaité que la fille la prenne pour une vagabonde ou une voyageuse sans le sou, au lieu d'une dame dont elle n'avait pas l'apparence.
Comme une autre serveuse alluma plus de chandelles, elle ramena son capuchon sur la tête. Elle espérait que l'autre prendrait ça pour une coquetterie de noble dame. Evidemment, l'autre se mit à s'agiter autour d'elle, son sourire effacé par sa panique.

- Je vous en prie, ma Dame ! Le cuisinier vous prépare une de ses spécialités, je suis certaine que cela vous satisfiera !

Aélyhne grogna de contrariété. Un coup d'oeil sur sa gauche l'informa que Edan semblait amusé. Elle se rendit compte de sa bêtise lorsque le visage du jeune homme s'éclaira. L'ombre de sa capuche était loin d'être suffisante...

Décidemment, ce n'était pas son jour...

Galas courait vers la porte nord, elle avait réussit à se sauver des gardes non sans plusieurs coups mortels. Elle entendit soudain le bruit d'un galop. Vraiment très rapide. Un cheval habitué à la course effrénée et longue.
Falgoï ?! Tenta Galas.
Un hannissement lui répondit. Reconnaisacle entre tout les autres équidés. Elle s'arrêta. Il tourna dans le coin de la rue sans perdre de sa vitesse. Il passa devant Galas tel une comète. Elle avait d'assez bon réflexe pour attraper sa crinière au vol, malgré sa robe noire qui le rendait fantôme et sa vitesse. Vitesse non surpuissante mais il avait un tel aura qu'il aurait fait retourner un taureau dans les pis de sa vache !
Elle flatta son encolure. Ravie d'avoir si beau compagnon.