Perdue [poste libre]

Les rayons du soleil venaient de percer lanoiceur de la nuit. La lande s'éclairait petit à petit sous la lueur du soleil. La ville de Therinsford s'éveillait doucement, sortant de sa torpeur. On voyait les hommes et les femmes sortir de chez pour aller chercher de l'eau au puit, vaquer à leurs occupations rendre visite aux-uns et aux-autres.
Plusloin sous le couvert des arbres qui bordaient la route dormait paisiblement une petite fille visiblement indifférente à ce réveil général. Elle était profondément assoupie au pied d'un des arbres qui bordaient la route principale qui menait à la ville de Thérinsford. Les convois marchand commençant à se mettre en marche, la petite fille fut réveillée par l'animation toute proche. Doucement Erythrine ouvrit les yeux et s'étira un peu. Elle s'assit et prit deux minutes pour réfléchir. Devait elle rentrer dans la ville ou l'éviter? Elle avait un peu peur qu'on l'agresse. Mais elle avait faim et n'avait pas trop le choix. Elle se leva donc et se mit en marche le long de la grande route. A 6 ans, on n'est pas très grand et Erythrine n'avançait pas très vite. Les marchands qui passaient près d'elle ne s'arrêtaient pas mais la regardait de travers. Une si jeune fille n'avait rien à faire sur les routes disaient-ils... Erythrine aurait mille fois préféré être chez elle dans le palais de son grand-père, mais elle n'y était pas, et s'était comme ça. L'air du matin était frais et Erythrine tremblottait un peu.
Elle arriva enfin à l'entrée de la ville, elle resta un moment devant la massive porte sans oser rentrer et finalement après avoir pris unze bonne gorgée d'air elle rentra. Tout l'impressionnait. Elle se sentait si petite dans cette grande ville. Elle vit que la plus part de gens se dirigeaient tous dans la même direction, elle décida donc de les suivre. Elle se retrouva rapidement sur une place très animée où il y avait beaucoup de monde. Erythrine était complètement déboussolée. Elle se sentit attirée à l'eccart...

Vanita traversait sans trop faire attentions les rues éclairaient par le pâle soleil qui commençait à peine à se lever. Elle avait passait la nuit dans une auberge douteuse ou les dirigeants étaient quelque peu dérangé mais quelle importance elle y était juste venue passer la nuit et son départ c’était fait rapidement.

Dans les rues il n’y avait pas beaucoup de monde pourtant l’on sentait dans les conversations une certaine agitation, les gens parler d’un groupe d’urgals qui avait massacré une troupe de marchant et que seule un petit groupes avait survécue, la jeune femme ne s’en soucier guère pourtant sa curiosité fut piquer au vif et elle se promit d’aller glané quelque informations quand elle aurait manger quelque chose.

Sur la place l’agitation était plus marquer et certaines personnes étaient déjà dans les magasins a faire leurs achat pour on ne sais quoi mais l’attention de Vanita fut attiré par une petite fille qui se baladait au milieu de cette foule qui grandissait peu a peu. Son regard alla de la petite fille et un chariot ou un homme plutôt sombre faisait avancer ses chevaux sans se soucier de qui il pouvait renversait.

Vanita commença à marcher plus vite dans la direction de la petite fille, elle lui attrapa le bras avec douceur et la tira or du chemin du chariot, elle n’aimait pas sauvait les gens elle était plutôt du genre a les laisser crever devant ses yeux mais cette petite fille n’était pas une de ces personnes sans scrupule et puis c’était une personne encor jeune qui n’avait pas encor goûté a la vie.

- Ça va ? qu’es qu’il ce passe ou est ta mère ?…

Elle parlait avec une voie douce et calme né en moins on pouvez entendre l’intonation de l’inquiétude.

Elle s'était fait tirer en arrirè par une grande dame au visage clair qui était vétue d'une tenue simple et blanche. Erythrine se sentait très petite à coté d'elle. La jeune femme l'impressionnait beaucoup, elle n'osait pas parler. En plus son papa lui avait toujours répéter de ne pas parler aux inconnus surtout si elle était en dehors du palais de son grand-père. Son papa disait que son grand-père avait plein d'ennemis et qu'ils n'hésiteraient pas à la tuer.

Mais la jeune femme avait l'air gentille, en plus elle avait un regard pénétrant qui lui donnait envi de parler. Erythrine regarda autour d'elle pour vérifier que personne ne la verrait parler à une inconnue (HJ: C'est mignon la naïveté^^) et elle dit doucement à la dame:

Ma mama, elle est au ciel, au milieu des étoiles. Mon papa m'a dit qu'elle est allée rejoindre les étoiles le jour où je suis tombée du ciel. Mon papa il est toujours très triste quand il parle de ma maman, il m'a dit qu'un jour quand je serais plus grande lui aussi il irait dans les étoiles.

Vanita n’avait pas l’habitude d’être aussi attendrit par une personne et par une petite fille, mais cette petite semblait si douce si calme que la jeune efle se pris à vouloir l’aider…

L’histoire de la petite fille était pour le moins triste et Vanita ce vit en cette petite, jeune perdu au milieu des grand ayant perdu sa mère dans des circonstances plutôt incroyable mais sauf qu’elle elle n’avait pas trouver de personne qui voulait l’aider et avait peu à peu sombrait ou revivre en volant, en passant son temps à dépouiller les riches puis à voyager et devenir plus ou moins connu comme voleuse dans quelque villes…

- Tu veux que je t’aide a retrouver ton père ?… comment t’appel-tu ?

Vanita regarda autour d’elle, les gens qui passaient regardait la jeune femme et la petite fille d’un drôle d’air… pourquoi les regardait-il comme ça, Vanota avec sa capuche blanche retourner sur sa tête personne ne pouvait voir qu’elle était elfe…

Elle reporta son attention sur la petite, elle avait quelque chose de mystérieux, de secret ou même d’important en elle et Vanita se pris à être curieuse ou peu-être à vouloir faire le bien pour changer…

Erythrine sourit à la jeune femme. Elle était contente, la jeune femme voulait l'aider et en plus elle avait l'air gentille. Son visage s'assombrit soudainement, elle s'aperçut que les gens qui passaient près des deux interlocutrices la regardait bizzarement. "Encore n qui a déja vu ma tête quelque part" pesta Erythrine. Elle commençait à en avoir rasd le bol. Elle avait beau être très jeune, son papa lui avait tout expliquer. Il lui avait dit que son grand-père était mal vu de la population et qu'un groupe de résistant qui se faisait appelé les Vardens luttait contre lui. Il lui avait dit ça en lui expliquant qu'Erythrine devait faire attention à eux, car elle est la fille d'un traitre (ancien général Vardens qui le a vendus pour devenir un parjure) et de la fille illégitime de Galbatorix. Erythrine était donc plutot méfiante, bien qu'encore très jeune il suffisait d'un simpe sourrire pour l'amadouer.

Elle détailla plus précisemment la femme qui lui proposait son aide et après avoir plonger ses yeux dans les siens, elle dit doucement:

Ce serait très gentil à vous de m'aider, mais c'est un peu dangeureux. Mon papa dit que je suis très recherchée par les Varen ou les Vadens je sais plus. Il dit qu'il faut que je dises à personne qui je suis... Mais vous êtes gentilles vous, je peux vous faire confiance...

L’identité de la petite fille semblait être un secret pour beaucoup de monde et son devait être dangereux pour que son père lui est dit de ne pas le révélé, elle était peut-être une personne importante mais alors pourquoi était-elle ici ? ou alors quelqu’un de recherché par beaucoup de monde au moins Vanita ne serai pas toute seule même si la compagnie d’un petite fille n’était la meilleur compagnie mais un peu d’insouciance enfantine lui ferait du bien…

- fait attention à qui tu fais confiance petit ange… beaucoup de personne paraisse gentille mais ne le s’ont pas… je pense que je suis quelqu’un de confiance est si tu crois qu’il faut que tu me dise ton nom pour que je t’aide ne te fais pas de soucis je t’aiderai à retrouver ton père de toute façon…

Je te le promet…

Elle trouvait révoltant qu’on laisse une fillette toute seule héré dans les rues mal fréquenté et faisait une affaire importante de protéger en quelque sorte cette petite…

- Dit moi a qu’elle endroit habite-tu ?… connais-tu le nom de la ville ?

Erythrine dévisagea la jeune femme. Ainsi cette dernière ne l'avait pas reconnu. Elle considérait qu'elle pouvait lui faire confiance, mais elle était incapable d'expliquer pourquoi. Elle décida d'être franche avec elle.

Avant, j'habitais à Uru'baen, chez mon grand-papa. Mais un jour mon papa il a dit qu'il fallait qu'on parte. Et moi j'étais triste parce que j'aimais beaucoup mon grand-papa. Alors, on est parti et puis, on a voyagé avec mon papa. Et un matin, quand je me suis réveillée, bah, j'étais toute seule. Mon papa il a du se perdre. En plus j'ai pas réussi à parler avec Shana. C'est une dragonne, elle est très belle. Mon papa il m'a dit que ma maman aussi elle avait eu une dragonne mais la dragonne a rejoint maman dans le ciel. J'espère qu'un jour j'aurais un dragon moi aussi. Et toi Madame, t'as un dragon?

Erythrine la regarda avec de grands yeux naïfs. Sans le savoir, elle venait de raconter des choses que bien des personnes ignoraient. Comme le fait que sa mère, Yagaëlle, n'était pas une sorcière mais juste une dragonnière déchue. Il ne fallait pas que ça se sache sans quoi la réputation de Galbatorix en prendrait un coup.

L’identité de la petite fille commença a se révélé à Vanita, il lui avait au début apercevoir en elle une ressemblance avec cet homme que tout le monde appelaient Galbatorix mais une si petite personne de sa famille ne pouvait être dans la rue sans aucune protection alors elle avait écarté cette proposition de son esprit et maintenant elle en avait presque la preuve son histoire coïncidait tellement à ce qu’il c’était passé, elle était rechercher par les Vardens, elle habitait à Uru'baen, sa mère était morte c’était trop de chose pour une simple coïncidence…

- appel moi Vanita… et toi c’est Erythrine n’es pas ?

Toute personne qui était contre Galbatorix comme elle aurait kidnappé la petite fille ou l’aurait tué mais bizarrement cette idée ne fit qu’effleurer son esprit bien qu’elle garda en mémoire toutes les informations sur Galbatorix et la disparition d’Eomer, elle ne serait pas sur ses gardes, elle venait de révélé son nom a la petite-fille d’un ennemis et quel importance elle pouvait changer de nom comme un rien…

- Oui j’ai un dragon… dit moi es que tu à faim ?

C’était bientôt l’heure du repas et une petite fille devait certainement bien avoir faim… Quali n’avait pas d’argent sur elle mais elle avait prévus d’en trouver le moment venue à sa façon…

HJ: Quali... C'est Vanita ton new nom^^.../HJ

Vanita... C'est un très joli prénom. Peut être que ça a une signification. Le Papa d'Erythrine lui a souvent dit que les prénoms déterminaient le caractère et la personnalité des gens, et que le prénom de chacun c'est le petit trésor qu'il peut partager avec les autres. Erythrine, c'est le nom d'une fleur, il y en avait tout plein au palais, c'était son grand-papa qui les faisait mettre de partout...
La jeune femme avait deviné son nom...

Oui, je m'appelle Erythrine, mais chut, faut le dire à personne, c'est un secret. Je peux te faire confiance Madame Vanita?

Erythrine regarda Vanita dans les yeux, puis elle détourna son regard comme si elle venait de trouver ce qu'elle cherchait. Elle regarda ensuite le ciel, il était sans nuage, bien dégagé. "Le jour où j'aurais un dragon, il m'emmenera près des étoiles et je pourrais parler avec Maman."
La jeune femme lui posa une question... Est ce qu'elle avait faim? Oui, elle avait faim, mais, elle ne savait pas où on pouvait avoir à manger.

Euh... oui, un peu, mais je sais pas comment on fait pour avoir à manger. Papa il m'a dit que dans les villes faut payer, parce que quand on est dans la campagne, Shana elle ramenait toujours plein de viande et moi je devais trouver des fruits. C'était rigolo, mais il faut pas se tromper parce que y'a des fruits, ils sont pas bons, si on les mange on devient tout bleu.

Erythrine avait conclus sa petite tirade comme un éminent professeur apprenant quelquechose de capital à ses disciples. Elle fit un grand sourrire à Vanita.

Tu sais comment ça marche le manger en ville Madame Vanita?

[oui loool, comment tu as deviner ? et toi tu es Yagaël ^^?]

Vanita ne c’était pas trompé, la petite fille portait bien le nom d’Erythrine, le nom d’une fleur, le nom d’une reine ou d’une futur reine, un nom que la jeune elfe garderait dans ça mémoire et qu’elle ne divulguerait à personne, pas pour rendre service a son père ou à Galbatorix pas pour que les gens saches avec qui elle voyage, simplement pour protéger la petite parce que si une personne mal intentionné elle serait mal traité et peut-être même tué…

- Je ne dirait à personne comment tu t’appel petit ange…tu peux me faire confiance…

Elle baissa la tête quelques secondes vers le sol comme pour sceller un pacte qu’elle seule pouvait comprendre, qu’elle seule pouvait choisir briser… Elle aiderait a retrouver son père, même si l’avenir des elfe était en danger à cause de lui et du roi et qu’en ce rendant a Urubaen elle risquait beaucoup…

Elle sourie à la réflexion de la jeune fille, elle avait raison les mauvaise plantes était dangereuse et même si le plus souvent elle faisait devenir verte elle savait bien les reconnaîtes…

- si tu veux je te montrerai des plantes dangereuses et des plantes très bonnes, enfin sur le chemin pour te ramener chez toi…

Ho que oui elle savait comment ça marcher la nourriture en ville, très bien même, quelques petits tours de passe-passe et le tour est joué, elle avait l’habitude de se débrouiller comme ça et elle ne risquait pas de changer et ci elle pouvait apprendre des choses a une personne elle le ferai…

- Oui petit ange, je sais comment ça marche…

Elle se baissa vers Erythrine avec son petit sourire, de celle qui préparait quelque chose et murmura a l’oreille de la petite fille…

- mais c’est un secret… reste la dans le coin personne ne te verra tout le monde regardera vers moi alors toi aussi tu ne me quittera pas des yeux… et essaye de voir les gestes que je fais… je serai tous prés tu ne risquera rien et si tu à peur tu cris et tu m’appel je ne te quitterai pas des yeux promis… d’accord ?…

Elle faisait ça pour prendre quelque bourse pour aller manger dans une auberge calme mais pour cela il lui fallait joué de ses atout les mieux…

HJ: Oui, c'est Yagaëlle, fait attention, tu as mis Quali dans un de tes rps^^... C'est pas très grave mais bon^^ /HJ

Erythrine regarda la jeune femme. Quelle était belle! Et qu'elle était gentille! Elle se sentait en sécurité avec elle! Même si elle devait l'admettre, elle préfèrereait être avec son papa ou son grand-papa. Elle écouta Madame Vanita et elle resta sagement dans un coin en essayant de se faire oublier. Les gens continuaient à la regarder bizarrement.
Ca commençait à faire un moment qu'elle attendait. Elle en avait ras le bol. Mais Madame Vanita était gentille avec elle, elle l'appelait même "petit ange". Personne jusqu'à présent ne lui avait donné de petits noms... Elle était très touchée. Elle avait envi de prendre la jeune dragonière dans ses bras.

HJ: Dsl c'est court, mais j'avais aps d'idée/HJ

[oups dsl^^ je fais attention…]

Vanita était partie depuis quelque minute, elle avait retiré sa capuche en mettant ses cheveux sur ses oreilles et elle marchait d’une démarche charmeuse certainement pour se faire remarquer…comme c’était facile déjoué avec de bon atout…

Elle s’approcha d’un vendeur, cet homme lui était connu elle avait souvent fait des coups avec lui, il l’avait souvent aidé et en échange elle lui avait reverser une partie de ce qu’elle gagnait et aujourd’hui elle allait encore une fois avoir besoin de sa musique…

Elle n’eu pas besoin de lui dire quelque chose, elle avait sentit son regard peser sur elle des qu’elle était rentrée sur la place et sans rien dire elle commença a chanter… Elle n’avait pas une fois extraordinaire, juste une voie cristalline qui faisait pensée à celle d’une elfe mais juste pensé, personne n’aurait put deviner qui était la personne qui se cachait derrières ses beaux yeux bleus et c’est cheveux noirs.

Elle ne chanter pas depuis longtemps quand le monde arriva, la foule était constitué d’un majorité d’hommes et tous aussi riche que vil, elle s’approcha de l’un d’eux, la bourse en cuir attacher à sa ceinture était la chose qui l’intéressait le plus chez cet homme or mis son regard vert…

Elle marchait doucement presque au ralentie posant son regard bleu sur toute personne qui la regardait ou qui faisait mine d’avancé, elle arriva enfin prés du jeune homme et commença à danser autour de celui-ci, son pat était devenu rapide et ses mouvements tous autant elle souriait comme toujours, et sa victime la regardait droit dans les yeux ne voyant pas le petit poignard qu’elle sortait et avec le quel d’un coup sec elle coupa la corde qui la maintenait…

Juste a ce moment comme si elle l’avait souhaitait un homme arriva par derrière et l’attrapa et l’effet qu’elle voulait déclencher était opérationnel, l’homme qu’elle avait maintenu quelques instant envoya son poing dans la joue de celui qui était derrière Vanita et la jeune elfe en profita pour s’échapper pendant que la nué de passant se rué sur les deux hommes, elle esquissa un sourire et retourna vers la petite fille qui l’attendait… Erythrine ne l’avait peut-être pas vue mais Vanita ne l’avait pas quitter du regard… La jeune femme passa devant le marchant qui joue pour elle et lui lança un partie des quelques pièces qu’elle avait volait…

- personne ne t’a embêter ? ça va ? j’ai pas était trop longue ?

Pourquoi posait-elle toutes ces questions ?, elle ne commençait quand même pas à ce faire du souci pour la joli petite fille ?…

Surhomme Nombre de messages : 2237 Age : 32 Date d'inscription : 22/10/2006

Erzsébeth avançait d'un pas rageur, pour rejoindre son cheval dans Therinsford. Galbatorix l'avait mise depuis quelques jours, sur les routes. En temps normal, elle adorait voyager, et ne voulait jamais que son cheval frène, l'idée même d'arriver la rebutait. Elle voulait un voyage sans destinations, sans arrêts, sans obligations ! Non, là, c'était par obligation pour son pauvre tyran qui voulait sa petite fille près de lui, car enlevée par son père. Quelques jours qu'elle était à leur recherche.
Et rien, absolument rien. Ersébeth avait croisée plusieurs fois la petite fille dans le château, et la connaissait de vue, et pour avoir fait ce qui pouvait s'appeller parler, mais avec une fillette et lorsqu'on a pas la notion de ce qui s'appelle la sociabilité, encore moins la joie de vivre, que voulez-vous dire ? Elle la réspéctait en tant que fille de Yagaëlle.
Erzsébeth utilisait ses pouvoirs d'elfes, qu'elle avait réussit à developper avec beaucoup de mal, du à son sang humain qui coulait dans ses veines.
Cette poursuite lui rappellait fortement celle qi avait suivit avec sa soeur. De cet échec, il lui restait un goùt amer dans la bouche quand elle y pensait. Le goùt de la mort...De cette faucheuse qui s'était reveillée trop vite pour lui permettre de parler, de dire ne serait-ce que quelques mots à sa soeur, qu'elle n'avait pas revus depuis rien d'autres que ses quatres ans. Or, cette fois, il n'était pas permis de rapporter un échec. Même si il n'y avait pas de Baen aux trousses, il y avait les Vardens, la tache n'était pas plus aisée pour autant. Deplus, si la fillette se trouvait avec son père, il y aurait neçéssairement un combat...
En réfléchissant aux meilleurs moyens magiques de faire vite et fort, elle détecta deux personnes, un adulte et une fillette...Et un sourire ironique vint se placer au coin de ses lèvres. Elle ne doutait de rien, pas même encore d'elle ou de ses pouvoirs. pourquoi le ferait-elle?
Laissant son cheval à proximité, elle s'approcha des deux personnes. Ce n'était pâs Eomer. Tant mieux, la tache contre le dragonnier aurait été beaucoup plus difficile, Erzsébeth le connaissant...C'était une jeune femme.
Erzsébeth avança, sure d'elle. Erythrine la reconnaitrait. Elle arrivait derrière l'inconnue, celle-ci lui tournait le dos. La jeune femme ne réfléchissait plus, ne pensais plus, et elle s'en rendit compte trop tard. Elle ne savait pas quoi dire, ni que faire. Elle ne sentait pas les intentions belliqueuses de la femme en face d'elle. Et la jeune femme décida de réagir par la parole.

"Bonjours vous deux...Erythrine..Tout va bien ? Je te cherchais...Tu sais que ton absence pèse à ton grand père ? Il était inquiet pour toi..."

Erzsébet n'igniorait pas l'autres personne, mais elle préférait s'assurer qu'Erythrine l'avait bien reconnue...Mais elle n'avait rien dit de très important, tout grand père pouvait rechercher sa petite fille après tout ! En espérant que la petite n'avait rien dit de facheux...

Erythrine s'apprétait à répondre à Madame Vanita, quand une silhouette se détacha de la foule. Elle intriga Erythrine... la silhouette était famillière. Elle se raprocha et Erythrine vit une femme qu'elle avait déja vu auparavant. Sa petite tête tournait à plein régime. Et tout à coup ça lui revint, elle l'avait vu chez son grand-papa! C'était Erzsébeth! Elle continua à se rapprocher et elle se retrouva finalement derrière madame Vanita qui attendait encore sa réponse. Vanita ne s'était aperçue de rien et fut surprise quand Erzsébeth se mis à parler.

Bonjour Erzsébeth! Tu viens me chercher?

Erythrine fit une petite moue déçue. Elle allait devoir quitter Vanita, alors qu'elle l'aimait bien.

C'est vrai que Grand-papa s'inquiète! Moi je croyais qu'il avait plein de travail et que il en avait rien à faire de moi.

Erythrine avait presque la larme à l'oeil en prononçant ces dernières paroles.

Vanita ne dit rien et de toute façon elle n’avait rien à dire, la petite fille avait reconnu l’inconnu et apparemment elle allait rentrée chez elle avec cette jeune femme avec son grand-père et Vanita serais oublier, de toute façon elle ne voulait pas s’attacher et elle serai toujours la si le petit ange avait besoin d’elle …

- bien…

Elle se baissa vers la petite fille avec un petit sourire sincère elle sentait de la déception du regard dans le regard d’Erythrine et quand lele parla elle avait une légère pointe de tristesse…

- je serais toujours la si tu a besoin de moi, si un jour tu a besoin de quelque chose viens à l’endroit ou on c’est rencontré et dit à l’homme qui jouait de la musique que tu me cherche et je viendrais…

La demi elfe avait parler a voie basse, juste assez pour ne pas que l’inconnu ne l’entende mais juste assez pour que la petite fille elle entende…
Vanita ne pensait pas vraiment qu’Erythrine est besoin d’elle, elle avait des tonnes de gardes à ses ordres et ne risquait pas d’avoir besoin de la jeune elfe…

Elle se releva souplement, elle n’était pas spécialement bien mais son sabre n’était pas loin et son poignard non plus, ses réflexe elfique lui permettraient de réagir en cas d’agression. La jeune femme la regardait et ce qui la mettait de plus ne plus sur ses gardes, de ses grand yeux bleu elle posa son regard sur le petite princesse…

Elle devrait partir, qu’elle dommage elle aurait bien aimé la connaître plus, et la ramener chez elle mais bon une personne était la pour ça…

Surhomme Nombre de messages : 2237 Age : 32 Date d'inscription : 22/10/2006

La jeune femme pensait à la jeune petite héritière. Elle ne savait pas, et n'arrivait pas à savoir comment Eomer avait put laisser partir sa fille ans aucune protection. Elle devait avoir dans les 6 ans, être une des persones les plus recherchéeset vadrouillait seule sans aucun moyens de se defendre. Elle ne savait même pas se battre. Et Erzsébeth se promit de remédier à cela pendant le trajet. Il y avait quand même une petite trotte jusqu'à Uru Baen, et Erzsébeth n'était pas le moins du monde pressée de rentrer. Que le voyage ne s'arrête jamais...
Maintenant qu'elle avait Erythrine sous les yeux, le noeud dans la gorge se relachait. Ce ne serai pas le même échec, l'histoire ne se répeterais pas. C'était quelque chose de rassurant, pour une jeune femme qui avait peur des fantômes de son enfance, et qui en même temps leur courait après comme le chasseur courant après sa biche.

"Bonjour Erzsébeth! Tu viens me chercher?"

"Exact miss ! Ca fait quelques jours que je te recherche...Tu ne sais pas où est ton papa ?"

La partisante de Galbatorix ne tenit pas particulièrement à avoir le père d'Erythrine sur le dos, elle savait qu'elle pourrait avoir du mal à vaincre ce traitre...

"C'est vrai que Grand-papa s'inquiète! Moi je croyais qu'il avait plein de travail et que il en avait rien à faire de moi."

"Qu'est-ce qui te fais croire ça ? Je peux t'assurer qu'il tient à toi. Il a beaucoup de travail, mais c'est pour toi qu'il le fait, qu'il se lève tous les matins...Tu es sa raison de faire tout ça."

Après un sourire un peu forcé mais cela ne se voyait pas, à Erythrine, elle se tourna vers la femme qui était à ses cotés. Elle n'allait visiblement pas faire des histoies, et lui donnait bien volontier la fillette. C'était de la chance, elle arait put tomber sur pire...Cette femme était une voleuse, mais ce n'était pas l'affaire d'Ersébeth, que les gardes s'en mêlent si ils la voyaient, la jeune femme ne s'y interessait pas. La seule chose qu'il fallait retnir, c'était qu'elle avait gardé l'héritière de l'empire à l'abris et en sécurité.
Erzsébeth déccrocha une bourse à sa ceinture et lui tendis, l'esprit fermé. Elle ne l'avait pasbeaucoup quitté des yeux, et se dmadait ce que Vanita pouvait bien savoir sur Erythrine...

"C'est pour vous remercier d'avoir garder en sécurité la petite. Je vous en suis reconnaissante. Et...quoi que vous sachiez, je vous demandrais de garder cela pour vous..."

Il ne serait pas difficile de savoir qui avait parlé, mais il vallait mieux tout de suite prévenir, que rattraper une faute.

Erythrine fut très touchée par ce que dit Erzsébeth. Elle qui croyait que son grand-papa n'avait pas le temps de s'occuper d'elle et qu'il ne s'était même pas aperçut de leur départ... Elle s'était trompée. Son papa lui avait dit que son grand-papa avait été triste à la mort de sa maman, parce qu'il ne l'avait pas vu grandir et qu'i lvoulait se rattraper avec sa petite-fille. mais quand Erythrine lui avait demandé pourquoi sa maman n'avait pas grandit au chateau, le regard de son grand-papa s'assombrissait et à chaque fois il partait. Erythrine avait compris qu'il y avait des sujets tabous, et en général ces sujets avaient un lien proche ou éloigné avec sa maman.

Erythrine vit que Erzsébeth tendait une bourse à Madame Vanita. Elle fut surprise, mais c'est vrai qu'il fallait la remercier, elle avait été si gentille avec elle. la petite fille eu une idée:

Erzsébth, et si on emmenait Madame Vanita avec nous à la maison, Grand-papa il la remercierait encore mieux et elle pourrait demander quelque chose qui lui serait utile... En plus, je l'aime bien moi et je voudrais bien qu'elle reste avec nous... Dis oui... S'il te plait...

Erythrine lui faisait des petits yeux de chiens battus, comme ceux que font les enfants à leur parents quand ils veulent quelque chose... Espérons que cette fois ci ça marcherait aussi...

Au milieu de la rue avançais un petit bonhomme vêtu de vert. Il slalomait entre les passants, regardant tantôt les troubadours et les danseuse, tantôt les échoppes d'où se dégageait de subtile parfum de nourriture qui tirèrent quelque gargouillement du ventre du jeune garçon. Il avait les cheveux d'un blanc crème et des yeux aux iris grise tinté d'acier. Ses vêtement vert un peu bouffant montraient qu'il n'était pas un garçon des rues, il était plutôt fils de noble et se balader dans les rues comme ça pouvait s'avérer dangereux.

Le jeune garçon semblais à la recherche de quelque chose ou de quelqu'un. Il fouinait par-ci par là, dans les petites ruelles mais surtout dans les grandes avenues pavée.

-C'est du joli, d'accord on ma accroché à elle alors qu'elle allait partire en mission mais bon, c'est pas une raison pour m'oublier à l'écurie, je parie qu'elle ne se souviendra même pas que j'étais avec elle depuis Uru'baen.

[Plus le temps et plus l'inspiration se soir, je fini demain Wink

]

Eomer n'en croyait pas ses yeux... Erythrine avait disparut... Il l'avait chercher partout sans succé... Il fermat les yeux et ouvrit son esprit à toutes chose autour de lui. Shana se joignit à lui et donc il put sentir les concience humaine des alentour. Il ne pouvoit pas dire exactement, mais il y en avait tellement un peu plus à l'est que Erythrine devait s'y trouvait... Eomer expliqua à Shana de l'attendre et il partit en direction de la forte concentration de concience, qu'il traduit par la ville de Thérinsford. IL s'approchait à grand-pas de la ville. Enfin il en vint sur l'entrée. De nouveau il ouvrit son esprit, qui cette foix-ci, sentit plusieurs concience connue... Erzsébeth, un partizan de Galbatorix, Plume, un jeune garçon du palaie mais surtout Erythine... Eomer fut soulager de la sentir en vie... Il s'avançat et suivit les indice que laissait la concience d'Erythine...

Eomer arrivat devant une petite auberge et entra à l'intérieur... Juste avant il avait aperçut le jeune Plume en mauvaise posture dehors, mais il ne s'en souciait guère... [ je suis trop attentioné avec les enfants^^ j'en perd un ^^ et me fout d'un autre ^^] . L'intérieur était chaud et emplit de personne. Eomer suivit les concience connue et arrivat à une petite table non loin de lui et vit Erzsébeth et Erythine, ainsi qu'un jeune femme qu'il ne connaissait pas... Eomer observat Erzsébeth et dit:

- Que vient-tu faire ici, Erzsébeth ? Erythrine ne retournat pas au Chateau avec le roi...

Erythrine regardait Madame Vanita avec insistance, elle espérait qu'elle accepterait de venir à Uru'baen avec elle. Elle avait très envie de lui montrer là où elle vivait, Madame Vanita était une très gentille personne!

Elle entendit une voix dans son dos... C'était celle de son papa. Mais elle fut déçue par ce qu'elle entendit. Son papa ne lui avait même pas demandé si elle allait bien. Il ne s'était pas excusé de l'avoir perdu! En fait, il n'en avait peut être rien à faire d'elle. Peut être que ça l'arangeait.

Erythrine se retourna, les yeux remplis de larmes et elle regarda son père... Il ne s'était pas inquiété pour elle, il n'en avait rien à faire, tout ce qui l'interessait c'était Erzsébeth!

Erythrine partit en courant dans la foule, elle ne voulait plus le revoir. Elle ne voyait pas bien où elle était parce que les larmes obstruaient sa vision. Elle percuta quelqu'un. Elle releva la tête et s'aperçut qu'il s'agissait de Plume En le reconnaissant, elle se detendit et s'effondra à ses pieds en pleurs. Erythrine admirait Plume, s'était un des rares enfants qu'elle voyait souvent au palais de Galbatorix. En plus son grand-papa lui parlait souvent du jeune homme. C'était quelqu'un de fort et d'intelligent. Erythrine voulait lui ressembler.

Vanita n’avait pas l’habitude de se laisser disparaître dans le monde mais la a cette instant elle préféré, être en compagni de la fille du roi et de ses sbires n’était pas vraiment une très bonne idée…

"C'est pour vous remercier d'avoir garder en sécurité la petite. Je vous en suis reconnaissante. Et...quoi que vous sachiez, je vous demanderais de garder cela pour vous..."

La jeune elfe n’accepta pas le présent que lui faisait la jeune femme, elle n’allait pas être payer pour avoir retrouver la petit fille, cette petite fille qui avait le visage si triste à pressent, elle avait les larmes au yeux et la jeune elfe aurait tellement voulu pouvoir la prendre dans ses bras pour qu’elle ne soit plus triste… Quel honte de faire pleuré une petite fille si douce, si gentille et insouciante…

Elle fût à moitié surprise quand elle vit Erythrine partir en courant et en un regard au père de la petite et Erzsébeth et parti…

Elle rattrapa la petite fille au moment ou elle tombait à genoux devant un jeune garçon, mais celui ci n’était un de c’est simple fils de bourgeois, il n’en avait pas les allures et malgré ses habits Vanita ne pouvait croire que ce jeune homme était un simple bourgeois…

Elle s’agenouilla a son tour prés de la petite…

- Calme toi petit ange…

Dit-elle d’une voie douce et calme, avec le même ton dans sa voir que quand elle lui avait parler pour le première fois…

- Ne pleure plus… ne t’inquiète pas tu iras ou tu voudra… personne ne te forcera joli petite ange…

Elle avait un léger sourire qui se voulez apaisant et calme, doux et sensible… Pourquoi faisait-elle ca, elle n’avait rien à y gagner… ou alors si l’occasion se présenterai elle pourrait venir avec la petite fille ?!…

Eomer prit peur en voyant Eruthrine partir en courant... Que lui arrivait t'elle ? Il jettat un regard de degout à Erzsébeth et partit à la suite de Erythrine. Quand il les rejoignit il vit un jeune femme agenouillet devant elle, face à elle il y avait Plume qu'il les regardait avec des yeux rond... Eomer s'approchat d'Erythine et s'accroupit à son côté... Il lui prit son petit visage dans ses mains et lui dit d'une voix la plus douce possible, pour empécher tous malentendue:

- Erythine, ma chérie, que t'arrive-t-il ? Je t'aime et je ne veux plus que tu me fasse pareil frayeur à t'enfuir dans la foule... Je suis désolé de t'avoir perdue ainsi, cela ne se reproduira pas... Pour me faire pardonner, je ferai ce que tu voudra au plus profond de ton coeur... Dit me le et je le ferai... Pour toi...

Eomer l'a prit dans ses bras et il essaya de mettre tous son amour dans ce simple geste...

Surhomme Nombre de messages : 2237 Age : 32 Date d'inscription : 22/10/2006

Les évenements se précipîtaient,et une voix avait retentie, Eomer. C'était même presque étonnant qu'il ne soit pas près de sa fille. C'était donc évident que l'ex-partisant de Galby et elle se retrouvent, pour l'épineux sujet qu'était Erythrine. -pfiou je tourne en rond là >.<- Et Plume ? Qui aurait pensé à Plume ? Surement pas Erzsébeth qui au premier tournant de ce voyage, l'avait éjecté de son esprit, aussi rapidement qu'on tire la chasse d'eau -sourire sadique :p - Elle n'aimait pas être accompagnée, elle n'aimait ps avoir de boulets aux pieds, qui entravent souvent bien plus qu'ils n'aident. C'est pour ça que le gamin, qui s'était fait le plus discret possible -dieu merci ^_^ - était encore là. La petite fille avait l'air boulversée par l'apparition de son père. Oh que non, celui-ci n'allait quand même pas lui ôter sa victoire de la bouche ! Elle devait absolument ramener la princesse héritiere à son grand père. Quit à se battre contre Eomer, ce qui en passant, la tentait pour voir si l'intensité de ses entrainements avaient porté ses fruits. Elle était sur le point de penser, qu'un famille posait bien des problèmes. On avait peur pour elle, pour la vie de ses membres, on se démenait pour la faire survivre ou la nourire, on était tout bonnement entravée. La fillette était parralisée par l'amour de son père, celui de son grand père. Erythrine partit en courant, suivit de près par Vanita. Eomer lui même se détourna, au moment ou Ersébeth se tournait vraiment face à lui.Erzsébeth en un soupire se retourna et parti à la recherche de tout le monde. Quelle ne fut pas sa surprise, lorsqu'elle apperçut Plume ! Oui, elle avait carrement oubliée le jeune garçon. Et piuis Vanita, Et puis Eomer. En fait, cette petite scène lui tapait durement sur les nerfs. Elle s'approcha, et arracha en gestes fluides et doux la petite fille des bras de son père. Erzsébeth savait qu'elle ne devait à aucun cas laisser Erythrine à son père, ni d'aille à Vanita.

"Eomer, tu sais aussi bien que moi, que la place d'Erythrine est chez son grand père. C'est là où elle sera reconnue comme elle doit l'être, et où elle sera en écurité...Ne lui désires-tu pas l'assurance d'une position haute, à l'insécurité des nuits dans des auberges mal famées ou sous la lueure de a lune pousuivit par tos ces ennemis ? Croit-tu pouvoir vraiment résister longtemps ?"

Après s'être écroullée au pied de Plume qui la regardait bizarrement, Erythrine entendit la voix de Vanita. Elle releva la tête et la jeune femme était devant elle. Elle lui parla doucement et lu idit juste les mots qu'elle voulait entendre:"personne ne te forcera joli petite ange" Erythrine fut rassurée par ces paroles récofortantes, elle voulut esquisser un sourire mais elle sentit quelqu'un d'autre l'attraper et la prendre dans ses bras... son père... mais cette fois ci il lui dit des paroles douces et gentilles, ertyrhine était contente... Son père l'aimait vraiment et il voulait la rendre heureuse. Elle ferma les yeux et se laissa bercer par son père. Ses larmes avaient maintenant stoppé leur chute.
Mais Erythrine se sentit soudain soustraite à la chaleur réconfortante des bras de son père. Quand elle leva les yeux elle vit Erzsébeth. Elle essayait de convaincre son papa que la petite fille serait bien mieux à Uru'baen.
Le regard d'Erythrine alla de Madame Vanita à son papa, de son papa à Erzsébeth et d'Erzsébeth à Plume. Toutes ces personnes avaient une place très importantes dans le coeur d'Erythrine, bien que la jeune fille de ne connaisse Madame Vanita que depuis quelques heures... Elle voulait mettre tout le monde d'accord, mais c'était impossible. Elle ne voulait pas voir les gens se battre et encore moins pour elle. Elle se tourna vers son père et dit tout doucement comme si elle avait peur de se faire gronder:

Je voudrais retourné chez grand-papa. Là-bas j'ai des amis et je ne me fais pas attaquer... En plus je peux voir les gens qui m'aiment dès que je veux... Tu veux bien papa?

Elle se tourna ensuite vers madame Vanita:

J'aimerais bien que vous veniez vous aussi Madame Vanita, mais vous "faisez" comme vous voulez. Mon grand-papa il vous trouvera surement du travail ,il est très gentil et très puissant vous savez.

Perdu, Plume était tout simplement perdu dans cette grande ville de province.

Il était perdu dans ses pensées, qui se tournaient vers le meilleur moyen de revenir à Uru’baen rapidement, lorsqu’il se fit bousculer par la petite Erythrine, qu’il surnommait Ery et qui le suivait partout dans le château. Elle tomba à ses pieds en pleur, perdu dans ses pensées, Plume avait continué à marcher sans percevoir les éclats de voix des divers protagonistes qui se retrouvèrent bien vite à coté de lui sans qu’il ait pu esquisser un geste. Trop de donnée se bousculait dans sa tête, la première, Ery, en pleur, assez pitoyable dans cette position mais Plume l’aimait bien alors il la prenait sous son aile… d’habitude mais là c’était une jeune femme aux traits fin qui s’était occupé de la petite suivit par Eomer, Plume avait quelque info sur l’homme, il avait été Varden, avait trahis par amour pour la fille du roi, et maintenant il était en cavale pour on ne sait quel raison. Enfin ce fut Erzsébeth qui intervint dans la scène, Plume avait un conte à régler avec elle mais cella attendra Uru’baen, quand le roi serait à même de donné un jugement arbitraire.

Ery était hors de porté et lorsque sa petite voix pris la parole au milieu des grands, elle ramena Plume à la réalité, il écouta, analysa et s’exclama ave un regard triste pour Ery

-Que peut la parole d’un enfant dans l’obscure obstination des hommes ?

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